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Aujourd’hui c’est avec grand plaisir (plus que d’habitude) que je vous fais parvenir les articles du Midol 😀 :
– L’exploit des « pestiférés »
– Macro…
– En bref…
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L’article du jour de Sud-Ouest: La preuve par dix
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La joie des Montois au coup de sifflet final témoignait de leur soulagement d’avoir remporté leur premier match dans ce TOP 14 2012-2013 dont ils restent la lanterne rouge. Cette victoire vient avant une trêve qui les verra ensuite recevoir Castres, début décembre. Si les Montois ne peuvent donc pas profiter de ce succès pour enchaîner et rester sur la confiance engrangée à Colombes, ils ont mis à fin à un sentiment d’injustice après des matchs intéressants qui auraient pu tourner en leur faveur. Pour le Racing, l’heure est à l’introspection après avoir mené 13-6 à la mi-temps et 16-14 jusqu’à la 76e minute. Ces trois semaines sans match seront consacrées au travail afin de se sortir de la seconde partie de classement, loin de l’objectif initial de renouer avec les phases finales. Mont de Marsan compte 10 points de retard sur Bordeaux et Agen, et les Altoséquanais neuf sur Grenoble, le dernier qualifié virtuel aux Barrages. Leur prochain match les voit recevoir le Stade Français pour le derby francilien. Défaite interdite ! (lnr)
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Les Montois font fort
Le Stade Montois signe enfin une victoire en Top 14, qui plus est chez le Racing-Métro 92 (16-17), qui encaisse là une cinquième défaite de rang.
Olie Barkley qui manque deux pénalités sur des temps forts du Racing. Vignau-Tuquet qui claque un drop dans les dernières minutes du match pour prendre l’avantage. Deux actions qui symbolisent le match entre le Racing et le Stade Montois. Après un début convaincant, notamment marqué par un superbe essai de Barkley (25e) bien servi par Bobo, le Racing s’est progressivement effondré. En se compliquant la vie, il perdait des ballons importants, comme sur l’essai des Montois (Lucu, 46e). Les Montois ont donc attendu onze journées avant de signer leur première victoire en Top 14, qui plus est à l’extérieur chez une grosse écurie (16-17). On imagine que la soirée sera longue et belle. Pour le Racing, en revanche, on peut se poser des questions. Cette série de défaites (5) en Top 14 commence à devenir inquiétante. (lequipe.fr)
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Côté parisien:
Au Racing pointe la crise
Vaincus par Mont-de-Marsan samedi (16-17), les Racingmen s’enfoncent dans la crise après une cinquième défaite de rang en championnat. Certainement privés de vacances, ils doivent s’inspirer de leur parcours de la saison passée pour repartir.
« Le programme peut changer. » Comme Gonzalo Quesada l’a laissé entendre samedi dans les couloirs de Yves-du-Manoir, les Racingmen vont certainement être contraints de revoir leurs plans pour la semaine prochaine. Des vacances étaient initialement prévues pour le groupe et les joueurs avaient certainement déjà réservé leur séjour au soleil. Mais ils ont finalement rendez-vous au centre d’entraînement du Plessis-Robinson lundi matin. Le manager argentin n’a pas digéré la défaite contre Mont-de-Marsan, la cinquième consécutive en championnat (16-17). Mal en point depuis plusieurs semaines, les Franciliens ont touché le fond contre le promu, qui n’avait toujours pas gagné le moindre match après dix journées de Top 14. « A la fin du match, on était tous conscient qu’on s’est mis dans une situation difficile, reconnaît Quesada. On savait que depuis un peu plus d’un mois on avait perdu notre dynamique. On a juste fait le constat qu’aujourd’hui, les joueurs ont une grosse part de responsabilité. Malheureusement ces derniers temps, on n’a pas été capable de gérer un contexte un peu différent, que ce soit le staff ou les joueurs. »
Au moment d’analyser cette déconvenue, Henry Chavancy ne s’est pas défilé. Le centre du Racing-Métro pointe les défaillances mentales du groupe. « Finalement, le rugby c’est simple, c’est souvent l’équipe qui a le plus envie qui gagne et cela s’est encore démontré ce soir (samedi). Mont-de-Marsan était venu avec beaucoup d’envie et nous, on a cru à la mi-temps que le score était fait alors que l’on n’avait que sept points d’avance (13-6). On a également raté plusieurs occasions d’augmenter cette avance donc on a laissé le Stade Montois dans le match et ils nous ont crucifiés à la fin. » Jamais décrochés au score et relancés en début de deuxième période par un essai de Simon Lucu (45eme), les Landais ont passé le drop de la victoire à trois minutes de la sirène, grâce à Antoine Vignau-Tuquet. « On pensait que Mont-de-Marsan nous gênerait durant une heure mais qu’avec une mêlée dominatrice ça finirait par payer, explique Quesada. J’ai du mal à comprendre comment on a perdu ce match. » Avec ce nouveau revers, le Racing s’enfonce dans le ventre mou du classement (10eme) et doit regarder désormais derrière lui. Le début de saison prometteur semble loin.
Chavancy : « Prouver que le Racing n’est pas mort »
Si l’infirmerie pleine et l’absence des internationaux pour cause de doublon pouvaient être des excuses recevables, Quesada refuse de se cacher derrière ces arguments. L’ancien ouvreur des Pumas assume après cette contre-performance retentissante. « Je vais prendre mes responsabilités, je sais que les joueurs vont le faire aussi. Si les joueurs ne parviennent à trouver de la lucidité, de la patience et de la discipline en cours de match, c’est qu’il y a un truc qui ne va pas, qui n’a rien à voir avec le jeu. Je dois trouver la clé pour que le groupe retrouve un peu de sérénité ». Les Racingmen avaient réussi pareille prouesse la saison passée. Après la mise à l’écart de Simon Mannix et l’arrivée de…Quesada pour le remplacer, ils avaient connu un gros trou d’air de décembre à février, avec un seul succès en six rencontres de championnat. Mais ils avaient su se retrouver pour finir la saison en trombe. « C’est vrai que l’année dernière aussi, on avait fait un très bon début de saison avant de s’éteindre un petit peu sur cette période.
Lucide, Chavancy n’a pourtant pas d’explications à cette situation. « Je ne sais pas à quoi cela est dû mais c’est vrai que cela devient un petit peu récurrent. Si nous pouvons nous appuyer sur ce que l’on a fait en fin de saison l’année dernière, cela nous laisse un peu d’espoir. » Mais le contexte extra-sportif pèse sûrement dans les esprits. Le 15 octobre dernier, Laurent Labit et Laurent Travers ont annoncé leur départ du Castres Olympique en fin de saison. Ils sont annoncés avec insistance au Racing, même si aucune communication officielle ne viendra confirmer l’information avant l’ouverture du marché des transferts le 20 avril prochain. Mais en dépit des rumeurs, le groupe reste soudé derrière ses entraîneurs, selon Chavancy. « Nous les joueurs, on garde la confiance envers le staff et on garde cette envie. On a le match contre le Stade Français qui arrive, ce sera un bon test pour prouver à tout le monde que le Racing n’est pas mort. » En mai dernier, le derby parisien avait permis aux Racingmen d’assurer leur place en phases finales. Ils devront cette fois s’imposer pour rester dans la course. Et surtout pour éloigner la crise. (365rugby)
Merci Mounlight, grande prêtresse des bonne nouvelles !!! 😉«Au Fidji, on mange les gens» Timoci Matanavou
Merci mounlight pour toutes ces infos 😉
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Le tour de Midi Olympique:
Racing-Mont-de-Marsan: 16-17.
Il y a une justice dans le rugby. Même en Top 14. Le vestiaire montois était rafraichissant samedi soir. La joie de Julien Tastet et ses partenaires était à la fois communicative et sympathique. Elle reflétait réellement les valeurs éternelles du rugby de village. En guise de prime de match, ils ont obtenu le maillot du match et toute la délégation se préparait à une inattendue mais bien méritée troisième mi-temps parisienne. La tournée des grands ducs, c’était pour les Montois. Chapeau à eux.
Le reste de l’article —> ICI
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« Rugby-transferts » n’a pas aimé ce week-end:
1. L’inquiétante défaite du Racing-Métro
Après quatre revers de rang en Top 14, le Racing-Métro avait l’occasion de remettre la marche avant en accueillant la lanterne rouge montoise. Il n’en fut rien. Manquant d’envie, peu inspirés et très indisciplinés, comme l’attestent ces deux cartons jaunes infligés à Ghezal et Estebanez, les Franciliens sont passés complètement à côté de leur sujet. Avec cette cinquième défaite d’affilée, les Ciel et Bleu pointent désormais à la 10ème place, à neuf longueurs de la dernière place de barragiste détenue par Grenoble.
Le reste de l’article —> ICI
L’article du jour de Sud-Ouest: Il faut y croire!
Et puis, Me…e; surtout que personne ne se casse la tête parce que le Métro a perdu … 😀 ( avec tout le respect que l’on doit à l’adversaire )
» Allez les petits » ce n’est que le début 😉
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
La victoire de l’abnégation pour Mont-de-Marsan
Après avoir couru derrière pendant trois mois, les Montois ont décroché samedi dernier leur premier succès de la saison contre le Racing-Métro. Une récompense de leur abnégation, qui ravive l’espoir du maintien pour le promu.
« On est champion de France ». Avec un large sourire sur son visage mais surtout une bonne dose de second degré, Antoine Vignau-Tuquet savoure. Après un début de saison catastrophique, sanctionné par dix revers en dix matchs de championnat, le Stade Montois a enfin débloqué son compteur de victoires samedi dernier. Un succès décroché à l’extérieur, sur la pelouse du Racing-Métro, un candidat déclaré à une qualification pour les phases finales (16-17). Un moment exceptionnel pour un groupe nourri à la défaite depuis le mois d’août. « C’est un résultat extraordinaire parce que je ne vous cache pas que c’était dur ces dernières semaines, avec pas mal de matchs serrés. C’est un immense soulagement. On est très fier et très heureux. On savait qu’on n’était pas très loin, que ce groupe avait des valeurs. On ne lâche rien, c’est notre force aussi et juste avant les vacances, on s’offre un gros cadeau. »
Souvent proches de la victoire mais jamais récompensés au final, les Landais n’en pouvaient plus d’attendre. La réussite semblait les fuir inexorablement, comme face à Clermont (6-14 le 15 septembre), au Stade Français (28-30 le 6 octobre) ou à Bordeaux-Bègles (12-17 le 27 octobre). Mais ils n’avaient certainement pas prévu dans leur tableau de marche d’empocher leur premier succès à Colombes. Ils avaient néanmoins préparé minutieusement leur coup et ont exécuté leur plan à la lettre. « On voulait essayer de les faire douter et tourner à la pause avec un écart au score pas trop important (13-6), explique Vignau-Tuquet. Pour qu’ensuite en deuxième mi-temps, avec l’appui du vent, on essaye d’occuper le terrain car plus le match avançait et plus on allait les faire douter si on était pas loin au score. C’est ce que l’on a fait et avec les opportunités, on a réussi à s’imposer. »
Dantin : « Du coeur et de l’organisation »
Humble et modeste, l’ouvreur montois ne s’attribue pas la victoire. Mais c’est bien lui qui a passé le drop de la victoire à trois minutes de la sirène pour offrir un succès libérateur. « On est très satisfaits de la ténacité des joueurs et de leur solidarité parce que c’est une saison difficile. Ils ont montré qu’ils ne lâchaient pas et qu’ils aimaient être ensemble. » Avec des moyens incomparables à ceux du Racing, les Landais ont réussi un véritable exploit. « On ne trouvait pas d’excuses par rapport à des problèmes d’effectif, même si coacher c’est le pouvoir des riches et on ne peut pas toujours le faire, d’où les derniers quarts d’heure difficiles, estime Marc Dantin. Notre mêlée était en difficulté en fin de match. Quand le Racing rentre un pousseur de plus, nous on n’en avait pas, on a fait avec ce que nous avions : du coeur et de l’organisation. »
Une recette qui a fini par payer pour des Montois accrocheurs. Mais s’ils savourent, ils savent que l’opération maintien reste compliquée. « C’est extraordinaire pour nous, pour notre ville et pour nos supporters, se réjouit Vignau-Tuquet. On montre qu’on ne lâche rien, on a beau être les plus petits, on s’accroche. On espère que ça va être une sorte de déclic et faire que ça puisse enclencher quelque chose de beau. Mais on n’est pas dupe, on a beaucoup de retard et on sait les adversaires que l’on a en face. » « On a dix jours de vacances, et pendant dix jours, on va penser à cette victoire et pas à ce qui va se passer après, enchaîne Dantin. On est condamné depuis le début de la saison par tout le monde. On va juste bien préparer la réception de Castres, ce match ne va rien changer pour nous. » Un peu quand même. Il a ravivé un espoir qui semblait éteint depuis longtemps chez les Montois. (source: rugbyrama)
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Mont-de-Marsan : l’exploit majuscule
Habitués de notre rubrique Flop depuis le début de la saison, les Montois ont frappé un grand coup samedi en s’imposant d’une courte tête (17-16) sur le terrain du Racing Metro. Personne n’aurait pourtant parié le moindre copek sur les coéquipiers de Julien Tastet alors qu’ils se déplaçaient sur la pelouse des Franciliens, candidats annoncés aux six premières places. Mais ce groupe a des ressources, il refuse ce rôle de faire-valoir qu’on semble vouloir lui coller à la peau depuis le début de la saison. Cette victoire a finalement un goût rafraichissant. L’air de rien Mont-de-Marsan n’est plus qu’à 10 points du premier non relégable (Agen), et si personne n’ose croire en leurs chances, les joueurs en restent persuadés, ils ne sont pas condamnés.
L’intégralité de l’article: Top & Flop du week-end.
Comme on ne s’en lasse pas
, un article paru sur ercrugby.com :Des Montois démontés !
Après dix défaites consécutives, Mont-de-Marsan a décroché sa première victoire samedi dernier là où personne ne l’attendait : à Colombes, face au Racing. Le tout petit poucet du Top 14 savoure, enfin.
Un drop à la 76 décoché par l’ouvreur Vignau-Tuquet, quatre minutes de résistance pour une incroyable bouffée d’oxygène.Pour les Jaune et Noir, cette victoire sur le fil face au Racing Métro 92 (16-17), en terres franciliennes, a tout de l’incroyable exploit. Fanny après dix tentatives, le promu landais commençait sérieusement à craindre pour son honneur, sa fierté.
Juste avant dix jours de vacances de toute façon mérités (toujours battus, rarement ridicules), le talonneur John Caudullo et ses partenaires ne pensent qu’à savourer « Comme nous n’avons pas l’habitude de gagner, on a vu les têtes changer, c’est sûr. On est condamné par tout le monde depuis le début de la saison. Des fois, on s’est nous-mêmes condamné. Pendant nos dix jours de vacances, on ne va penser qu’à cette victoire, pas à la suite. Ce match n’a rien changé pour nous », rapporte-t-il dans Sud-Ouest.
A part quatre points de plus, il a bien raison, rien n’a changé, surtout pas la dernière place des Montois, encore à dix longueurs d’Agen. « Mais cela change beaucoup de chose dans les têtes, raconte un autre pilier, Sébastien Ormaechea. À la maison, on n’a pas été capable de battre des équipes à notre portée, et là, à l’extérieur, on va s’imposer face à une équipe cinq fois meilleure que nous sur le papier. Ça veut dire que par la suite, il y a peut-être des points à aller gratter à droite à gauche. Sachant qu’il reste quatorze matches à jouer, rien n’est fait », poursuit-il dans le quotidien régional.
C’est donc le cœur léger et un large sourire aux lèvres que les Landais sont partis pour dix jours de repos. Après avoir décroché cette première victoire tant attendue, ils espèrent bien renouveler l’exploit au plus tôt, pour continuer de voir la lumière et communier enfin avec son public.
Première tentative le dernier week-end de novembre, contre Castres. « Cette victoire, j’espère que c’est une rampe de lancement pour bien travailler ensuite. Enfin, on a montré quelle était la vraie équipe du Stade Montois, que nous ne sommes pas en Top 14 pour rien », conclut Ormaechea. Ce serait bien de ne pas attendre dix matches pour le confirmer.
Ce drop….. ce coup de pied tombé! Comme on l’a vu en direct et qu’on n’avait pas le ralenti, je l’ai re-visionné plusieurs fois et je suis scotché à chaque fois!!! Il est magnifique…. Fallait le mettre celui-là!!!
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