Adiou Maison des sports née Maison du rugby

Je ne suis en aucun cas l’auteur de ces quelques mots qui vont suivre, mais seulement l’interprète de X et Y pour évoquer avec une nostalgie certaine les regrets d’une grande « dame », et je serais tenté de dire d’une petite institution de ce qui a été durant des decennies un lieu inoubliable de rencontres rubystiques à savoir l’actuelle Maison des Sports bientôt feue Maison des sports, née Maison du Rugby.
Pour rendre hommage à ce lieu en quelque sorte mythique, parce qu’il a influencé aussi, je le pense la vie sociale, il faut de plus témoigner sa gratitude avec beaucoup de respect à des grands Messieurs qu’il faut citer, parce qu’ils l’ont fait naître : LOUIT, Jacques, BAPTISTAN Laurent, SABATHIER,Bernard, BOULOUIS Emile et tant d’autres qui ont mis la main à la poche pour que le Stade Montois Rugby puisse avoir un siège digne de ce nom.

Hélas ceci se passait  » au siècle dernier », en d’autres temps pour être plus pragmatique; mais sans retracer la vie de ce lieu oh combien sacré qui a accueilli dans ses murs le gratin du rugby Français et je dirai international ( Maoris-Sud-Af), je ne veux pas oublier de mettre en exergue toutes ces troisièmes mi-temps où n’était pas un vain mot cette convivialité; ce lieu qui n’a pas eu droit à un coup de pinceau pour le rafraîchir et atténuer les quelques »rides » qu’il prenait avec le temps … et maintenant dire que cet édifice va disparaître, mais laisser beaucoup de souvenirs qui continueront à faire saliver.
Fini les repas entre amis, dirigeants, joueurs supporters et même troisième âge du quartier Barbe d’Or; fini aussi les petites recettes qui faisaient du bien au trésorier de l’Association.
Tu vas nous manquer beaucoup chère Maison des sports; nous garderons les bons souvenirs; nous te regretterons, mais encore une fois de plus on ne t’oubliera pas;
Une page du Stade Montois Rugby va se tourner et c’est encore avec nostalgie qu’on te dit adieu ou adiou; je n’ose pas penser que sans toi, nous , les amateurs nous allons être  » les émigrés » de Guy Boniface.