la marque pastabal : toujours finir par une remauque desobligeante quand on est pas d accord avec lui. Ta prose est alambiquee, et incomprehensible, comme d habitude. quand tu ecris du haut de ta superbe, tu penses t adresser a de pauvres paysans incultes. Tout ca sent un peu la nevrose du journaliste que tu n as pas pu ou aurait voulu etre. Tu devrais nous faire un recueil de tes pensees rugbystiques, oh pas pour les lire – faut pas deconner non plus -, mais je pourrais caler une table ou une commode avec.