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J’ai mal pour mon club de coeur!
La réalité est que nous avons perdu quatre rencontres sur cinq ; face à cet état de fait, comment ne pas être en souffrance ?
Nous l’avons bien compris maintenant, la saison sera difficile pour nos couleurs et nous en connaissons tous les raisons. Cependant, tout n’est pas imputable au destin.
Comment imposer son jeu lorsque l’on perd huit ballons en touche sur notre lancer ?
Comment imposer son jeu en faisant preuve d’un manque récurrent d’efficacité ?
Comment imposer son jeu en commettant autant de maladresses ?
Comment imposer son jeu en étant autant sanctionnés ?
Alors dans cette ambiance maussade, soulignons tout de même l’engagement de Yoann Laousse Azpiazu qui, durant tout le match, que ce soit en 10 ou en 15, a su maintenir son groupe à flots par son jeu au pied et ainsi, nous laissant croire en un succès possible.
Sauf que nous n’avons pas su effacer la tôle reçue à Aimé Giral et au terme de cette journée 7: les jaune et noir s’enfoncent au classement.
En plus des masques, ce sont des mouchoirs que nous allons devoir acheter…
Ce matin encore, j’ai mal pour mon club de cœur.
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Juste on va à Grenoble et on accueil oyonnax…. on peut être très mal mentalement très très vite. Il ne faudra pas regarder le classement et se mettre au boulot. La touche c était juste une blague hier!!!
It’s Now or Nevers
On pouvait déjà redouter cette rencontre, le staff savait que le résultat déciderait en partie des objectifs du club cette saison. La déception est à l’aune des espoirs que nous avions avant le coup d’envoi. Nevers pour sa part venait dans les Landes pour se racheter d’une défaite à domicile contre d’ambitieux catalans. Il leur fallait 4 points.
Les montois pris par le rythme des nivernais en début de partie, privés systématiquement de ballons en touche, encaissent un essai logique d’une équipe qui joue à sa main, Raisiuké fait le ménage et l’enchaînement dans le tempo des bourguignons voit son épilogue entre les barres par le même Raisuké, 0 à 7 et un petit manque de rythme. Les abeilles trouvent cependant les ressources par le jeu pour revenir dans la partie. YLA éclaire le match de sa classe, son jeu au pied positif et ses accélérations sont un danger constant pour la défense des visiteurs. C’est d’ailleurs sur une de ses fulgurances qu’il envoie De Nardi, son suppléant du jour en 15, derrière la ligne. Et si avec Smaili, c’était lui l’autre 10 ? 13 à 10 au retour aux écuries, avec aussi peu de ballon en touche, comme un petit miracle !
J’imagine sans peine quel fut le sujet de discussion dans les vestiaires, l’incroyable faillite du secteur aérien occupant sûrement les esprits du staff et des joueurs et alimentant les discussions dans des travées ou l’affluence est ce soir largement supérieure à celle d’un RACING / TOULOUSE.
Le repos forcé des troupes landaises allait-il leur donner des ailes pour cette seconde période ou au contraire le manque de compétition allait-il peser sur la durée ?
Rey a remplacé Durand, même si enfin nous captons quelques munitions, la récolte est maigre, la mêlée jusque-là en place donne des signes de faiblesse, les montois sont sanctionnés dans ce secteur mais aussi au sol, leur efforts sont rapidement réduits à néant et ils perdent rapidement un terrain durement gagné, les Bourguignons en profitent, au pied d’abord par leur buteur maison, puis par leurs avants qui nous imposent maintenant leur densité. Le jeu des montois s’étiole, les multiples changements opérés par le staff n’ont pas l’effet escompté et on voit mal comment le match pourrait échapper aux partenaires de Durruty entré à la mêlée et qui se rappelle aux bons souvenirs des supporters montois. C’est sur une action dangereuse des locaux dans les 22 visiteurs que va se décider le sort du match. Sur un côté fermé joué au pied que YLA et Jacquelain en poursuite sont à 2 doigts de remettre les montois devant, la vidéo en décidera autrement et la pénalité pour un très léger hors jeu de position sur le coup de pied à suivre ramène le jeu dans nos 5 mètres. La touche qui suivra scellera définitivement le sort du match, le ballon porté finira inexorablement derrière la ligne. 16 à 26 score final, je vous passe les pénalités qui ont agrémenté le planchot.
Inquiétant, même si l’ on peut avancer un manque de rythme , la différence hier soir était flagrante essentiellement dans la maîtrise et le réalisme. La semaine sera dure pour le staff et les joueurs d’autant que se profile un bloc de 3 matches pour le moins compliqué. Grenoble, Valence et Oyonnax savent désormais qu’ils peuvent prendre des points face au Stade Montois.
Je continue cependant de croire fortement en cette équipe et à cette jeunesse même si elle va devoir maintenant rapidement trouver ses marques. Tout deviendra alors plus facile et les résultats suivront.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Bonjour.
J’ai une pensé pour David Auradou qui a été désigné coupable idéal de la saison médiocre de l’an dernier, on voit bien que les gens qui lui ont mis des bâtons dans les roues ne font pas beaucoup mieux. Si David Auradou aurait eu la possibilité de choisir avec quel entraîneur bosser pour les 3/4 se serait une autre chanson.
Le niveau de jeu est inquiétant et la touche a frôlé le ridicule.
.Cela me rappelle un dicton qui dit : « On ne crache pas en l’air sans prendre le risque que cela vous retombe dessus ! » C’est fou ce que les ambitions personnelles peuvent nuire à l’intérêt général. Nous sommes entourés d’un nombre incalculable de « yo soy » !
Bonjour.
Sans doute un des plus mauvais match à domicile depuis longtemps, mais surtout pas d’envie et un sentiment que l’équipe n’a pas le niveau pour rivaliser avec ce genre d’écurie.
Nous jouerons le maintien c’est une certitude.
Par rapport à la situation globale du club nous regressons chaque année depuis la finale perdu contre Agen et nous perdons nos meilleurs éléments tous les ans sans que ces derniers soit compensé.
J’ai une pensé pour David Auradou qui a été désigné coupable idéal de la saison médiocre de l’an dernier, on voit bien que les gens qui lui ont mis des bâtons dans les roues ne font pas beaucoup mieux. Si David Auradou aurait eu la possibilité de choisir avec quel entraîneur bosser pour les 3/4 se serait une autre chanson.
Le niveau de jeu est inquiétant et la touche a frôlé le ridicule.
Seule notre 10 a été bon, prions pour qu’il ne se blesse pas, mais clairement nous sommes pas bien en ce moment.
Courage.A ton avis si aujourd’hui on n’a aucun sauteur de premier plan du niveau de la Pro D2, c’est à cause de qui ?
Merci mais j’ai déjà la réponse.
La philosophie et la construction du pack depuis 3-4 ans est d’un autre temps et une immense supercherie, on le paye aujourd’hui.On peut avoir les meilleurs entraîneurs du monde, mais s’ils n’ont pas à leur disposition l’oseille nécessaire pour recruter il leur sera difficile de construire du solide.
Le budget de nevers approche les 12 millions ( il était de 15 millions avant la crise sanitaire)- ce qui leur permet d’acheter quelques tours de contrôle.
Soyons pragmatiques et pensez que si nous avions leur portefeuille nous aurions la meilleure équipe de Pro D2 capable de monter en top 14. En écrivant ceci, je pense à Marc Dal maso qui, en pleurs, m’avait dit vouloir recruter 3 joueurs importants, mais qu’il se heurtait à un refus par manque de fraîche.
Avec les petits budgets on ne peut pas aller sur le long terme. La démonstration en .a été faite et pour certaines équipes ça ne durera pas» Le signal d’alarme a été tiré après la défaite contre Nevers, la deuxième déjà à domicile, qui est venue mettre cruellement en lumière les limites de l’effectif montois, en danger
[…[ La défaite montoise face à Nevers (16-26), la deuxième déjà en trois matchs à domicile, va faire très mal : elle ancre en bas de tableau les jaune et noir, qui vont désormais devenir une cible pour tous les candidats aux phases finales, qui ne feront aucune impasse cette saison à Boniface…
[…] La réalité est que les Montois ont été dominés à domicile par un outsider du championnat, et que cela ne tient en rien aux circonstances. Comme on pouvait le craindre en début de saison, cette équipe manque tout simplement d’un peu de talent et de profondeur d’effectif, notamment dans le cinq de devant, pour s’assurer une saison tranquille…
[…] Le gros point noir qui ne nous permet pas d’enchaîner le jeu, c’est la touche. Ce sont nous les avants qui avons complètement failli, et moi le premier. On s’est peut-être trompé dans la composition d’équipe, cette contre-performance, elle est pour ma pomme», a assumé Julien Tastet en jouant les paratonnerres.
[…] Sonnés, les Montois pourront-ils remonter la pente? Le tableau est sombre mais pas tout noir non plus. Il y a tout de même quelques individualités dans cette équipe, et certains retours vont faire du bien: compte tenu des difficultés de Paulino, Cedaro est aujourd’hui indispensable en 2e ligne, Naituvi peut débloquer un match à lui tout seul, et Smaili va apporter des solutions derrière. Pour les phases finales, ça ne suffira pas, mais pour le maintien, il n’est pas encore temps de céder à la panique. À condition d’enfiler le bleu de chauffe dès maintenant. »
Extraits journal SO du 24.10.2020Le ciel bleu au-dessus de Mont de Marsan, aurait-il disparu ?
En tout cas, en oubliant que le rugby se joue d’abord devant, nous sommes englués dans le bas du classement. Et ça, » je ne peux l’accepter » compte tenu des possibilités de cette équipe.ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Même si Montagner donne satisfaction , je me demande s’il ne fallait pas à sa place un autre joker médical deuxième ligne. On voit bien qu’en l’absence d’un autre « spécialiste » style Rey , nous éprouvons quelques difficultés. Tastet reconnaît s’être trompé dans la composition d’équipe, OK mais dans le domaine de la touche notre équipe manque de sérénité.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
De sérénité et de solutions..
Je veux bien qu’on sorte tout de suite l’excuse (facile) du budget.. Mais que je sache, avant de recruter un joueur et un salaire, on recrute avant tout un profil. C’est dans ce sens-là que je dis qu’on se plante royalement depuis 3 ans.
Et quand Nevers va chercher Bradshaw (le n°4) à Auch il y a 3 ans, qu’on ne me dise pas que ce ne sont pas des choses à notre portée..
Après, il ne faut pas oublier que malheureusement pour nous, Hezard s’est fait les croisés cet été.. Et que d’un autre côté, on rencontrera rarement des équipes aussi équipées que Nevers dans ce secteur. Jusque-là, c’est un secteur qui avait d’ailleurs plutôt bien fonctionné. Jeudi soir, clairement ce secteur nous a mis la tête dans le seau..Et raccourcir les touches ? Jouer des touches à 3 par exemple. Il me semble que quand on avait des problèmes en touche, c’était une solution.
J’ai regardé le match Angoulême / Carca ça envoie du jeux ,c’est ce qui me fait le plus peur il n’y a pas de petites équipes dans cette pro d2.
Et raccourcir les touches ? Jouer des touches à 3 par exemple. Il me semble que quand on avait des problèmes en touche, c’était une solution.
Il faut avouer que ce noyau d’avants manque singulièrement d’intelligence de jeu… il n’y a pas de pilote … dans l’avion ! Comme si on ne savait pas faire autre chose que ce qui a été appris à l’entraînement. Je dirais qu’à plusieurs reprises, on joue des fonds de touche où à chaque fois l’on se fait contrer … et on insiste !!!! Comme tu le précises JL40, il existe moult variantes à ce jeu, mais personne n’est en mesure de combiner. Pourquoi ne pas avoir alterné des lancers sur un premier sauteur. Cela a fonctionné une fois suite à la rentrée de T.REY où c’est Paulino en 1° sauteur qui la capte ( à la surprise générale…) .
A contrario, l’absence de HEZARD ne nous rend pas la vie facile, il est vrai, ainsi que celle de Paulino …( cqfd )
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