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, le il y a 1 année et 11 mois. This post has been viewed 11534 times
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Patrick Milhet (manager de Mont-de-Marsan) : « Ça suffit à notre bonheur. Ces matchs, il faut savoir les gagner. Ce sont quatre points qui vont faire du bien comptablement, même s’il y a beaucoup de choses à revoir. Ils ont une meilleure qualité de jeu au pied que nous, on n’a jamais pu les mettre sous pression. On a été très maladroits, on prend deux bras cassés et deux pénalités sur mêlée… C’est un match moyen en termes de qualité, mais on a su le gagner. On a une marge de progression mais il faut savoir prendre ces points-là. On n’a jamais pu lancer le jeu, même si Wakaya nous a fait avancer. Il y avait trop de déchets techniques pour mettre Nevers à mal. »
Xavier Péméja (manager de Nevers) : « Ça fait râler, ça ne bascule jamais du bon côté… Aujourd’hui, on va chercher du détail mais je n’ai rien à redire. Mais c’est incroyable d’avoir des terrains comme ça en Pro D2. C’est injouable, ce n’est pas normal que Mont-de-Marsan joue sur un terrain comme ça. »
extraits du journal SO du samedi 26.11.2022
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Quand on lit l’interview de L. Coly sur le journal dit spécialisé, je suis abasourdi par sa réflexion sur le degré de sérieux dans la préparation qui existe entre le SMR et Montpellier. Quand on se veut être dans les 20 meilleures équipes françaises cela me laisse pantois.
Qu’il y ait une différence notable dans l’approche entre le SMR et Mugron par exemple je veux bien l’entendre. Mais qu’il y ait une grande différence entre nous et Montpellier, non. Surtout que nous sommes censés avoir eu le meilleur staff de ProD2.
Alors???
Oui bien sûr, le 100% de Laousse au pied, mais n’oublions pas non plus que c’est lui qui tape à suivre ce judicieux coup de pied dans l’en-but pour l’essai de Rasaku. Carton plein pour YLA ! Seule la victoire est à retenir avec notre très (trop ?) vilaine pelouse.
Pesage, heureusement qu’il y a une différence entre la prod2 et le top 14, certains joueurs trouvent des différences juste en changeant de club et en plus s’ils vont à l’étranger !! Les clubs de top 14 doivent être plus exigeants, les salaires ne sont pas les mêmes et plein d’autres chose qui rentrent en compte, le staff, les préparateurs ect…
Benoit40 La majorité des pelouses des grands clubs sont hybrides, et pour les plus fortunés la pelouse change minimum 1 fois par an.
Nevers en position de relégable montre bien l’homogénéité de cette pro d2. Il va être très difficile d’être dans les 6 cette année.
une bonne fois pour toute la pelouse c est la mairie. En juin devant une assemblee de partenaires, dirigeants, joueurs le maire avait dit etre conscients pour la pelouse, qui a 60 ans qu il allait falloir la changer. Pas d autres precisions quant au timing, chacun jugera. De plus la mediocrite de nos resultats cette saison n est a mon sens pas un accelerateur de travaux. Pour le match hier soir , j ai trouve notre paire de demis tres imprecis dans sa gestion du jeu, des fautes inacceptables sur les renvois, une 3eme ligne jamais en soutien des lignes arrieres, et puis even chaque fois qu il a un ballon il tape. Notre ailier fidjien fait peur en defense, bref concretement on a mis de l envie pour aller gagner, pour le reste c est pas avec ce type de production qu on va jouer le haut de tableau. Et pour finir il faudrait arreter de faire constamment tourner derriere pour enfin retrouver des automatismes.
Pesage, je ne vois pas en quoi Coly balance sur la prépa ici.. Il dit juste qu’il a découvert un monde différent, car davantage de sollicitations de part le fait d’être en Top 14. Jusque-là rien d’étonnant..
Le problème n’est pas derrière, ni au niveau de la paire de demi, mais au niveau du mouvement général, lorsque les conditions meteo et un certain confort moral nous le permettront, nos avants retrouveront la confiance pour jouer dans la défense et debout et feront reculer la ligne défensive adverse, ils donneront la vitesse initiale au jeu, les demis seront moins contraints et les trois quart auront automatiquement de la vitesse sur la prise de balle face a une défense maintenant sur les talons. Il faut a terme éviter de passer par le sol ou alors par des pick & go furtifs.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
match brouillon pas mal de faute de main trop de jeu au pied
mais l’envie était là
un laousse impeccable
une victoire et c tout mais c l’essentiel
derrière ça tourne en fonction des blessures mais tous n’ont pas le même niveau
Oui je pense ! On prend les ballons arrêté et la défense nous met donc sous pression, si elle est sur les talons c’est elle qui la prend la pression et on trouve les espaces. Je n’ai pas pu enregistrer le match mais je voudrais savoir lesquels des ballons qu’à touché Even aurait mérité un meilleur sort. Le seul du match qui est discutable, c’est celui que tape Du Plessis e long de la touche alors qu’il aurait pu servir De Nardi.
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Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Bonsoir à tous, je n’ai pas vu le match, et pourtant en tant que supporter les 4 points mes suffisent, que l’écart soit de +1point ou de +40points, d’un point de vue comptable c’est 4 pts!
Après je vois qu’il y a discussion sur l’opportunité du jeu au pied pour un centre : de nos jours les défenses sont tellement resserrées et linéaires qu’un petit coup de pied par dessus avec des joueurs dans l’avancée va créer un décalage suffisant à créer une situation de marque. Mais c’est un art subtil et le dosage importe, après c’est comme au loto tant qu’on ne tente pas, on ne sait pas.
C’est une tentative de création d’intervalle, en tout cas plus agréable que le ping – pong rugby que l’on voit pour une bonne partie des matches.
Arrêtons également d’évoquer la météo ou l’arbitre, de nos jours, entre la résine, le grip sur le ballon, le poids du ballon, il n’y a pas lieu de débattre (ceux qui ont déjà joué en hiver sous la pluie avec un maillot en coton manches longues avec un ballon Wallaby Adidas en cuir me comprendront ;-)). Par contre dans l’intelligence de jeu qui fait développer une forme de rugby ou une autre, plutôt qu’une répétition de gammes stéréotypées, là il y a de l’intérêt.
Cela requiert de l’innovation (ou de l’inventivité) au risque de se faire chahuter par son coach, car les initiatives perso actuellement, hormis les Iliens qui respectent peu les consignes (pour le grand plaisir des spectateurs), excusez moi, mais j’en vois peu. Au même titre qu’on doit, en entreprise, s’adapter au marché, au contexte et aux concurrents, nos joueurs doivent se comporter « différemment » à chaque rencontre afin de surprendre l’adversaire et d’être là ou personne ne les attend. Mais le rugby de 2022 laisse peu de place à ce « risque » (si cela marche c’est super, sinon cela peut se retourner contre vous…).
Mais a contrario honnêtement en 30 ans de carrière professionnelle, je dois confesser que toutes les entreprises qui n’ont pas su s’adapter ont soit coulé, soit été absorbées par d’autres!
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