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, le il y a 5 années et 9 mois. This post has been viewed 22662 times
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Il y a quelques années, la SOPHROLOGIE était utilisée pour l’entraînement des sportifs.
Qu’en est il aujourd’hui ?
Sans nul doute, une préparation mentale -tant en EDF qu’au Stade – serait très utile.
Ces gallois semblaient avoir un mental inoxydable.
Côté français, la fatigue et la peur de mal faire ont fait déjouer l’équipe en 2eme mi temps.Je regrette de te dire mon cher Benquet que tu abondes dans mon sens lorsque tu affirmes que la victoire galloise ne tient qu’à 2 cadeaux de 2 joueurs français! Huget et Vahaamahina font 2 très grosses fautes sous la pression adverse, ce qui démontre leur fébrilité, leur défaillance morale dans des situations où il faut garder son self-control et toute ses facultés mentales!
Par contre, cher Lapaloume, laisse-moi te dire toute ma sympathie et mon empathie émotionnelle par rapport à ton vécu; dans des circonstances souvent dramatiques, tu as toujours réussi à te redresser droit dans tes bottes et à surmonter des conjonctures particulièrement angoissantes et quasi pathétiques…
Tu n’as certainement pas à te justifier ni à t’excuser sur ces évènements, ton récit ressemble à un exutoire que tu avais envie de partager avec nous. C’est fait et te revoilà finalement parmi nous…
Je te salue amicalement.bien sûr qu’il faut 1 préparateur psychologique dans tous les clubs pros!!
premiérement tout le monde s’accorde à dire qu’en rugby qu’il vaut mieux 1 bon collectif qu’une somme d’individualités
on nous parle sans arrêt des valeurs de ce sport , que c’est 1 école de la vie etc………..
mais hélas le rugby moderne est devenu (n’en déplaise à certains) professionnel et l’on retrouve des équipes de mercenaires ,comme il est dit plus haut par lapaloume, qui n’ont aucune culture voire passé rugbystique
notre équipe de 63 n’était autre qu’une bande de potes qui ont fait les 400 coups ensemble
ils se fichaient pratiquement de tout et de tout le monde à partir du moment ou ils vivaient de bonnes fêtes et des parties de rigolade ensemble et c’est ainsi qu’un groupe et 1 histoire est née
c’est justement cet esprit qui a permis au stade de survivre , il est porté par les régionaux (tastet brethous ,cabannes et autres )cet esprit de gamins qui ont grandi et évolué ensemble au sein d’un club et baigné dans la culture et l’histoire de notre club
aujourd’hui avec l’argent tout celà n’existe plus , on laisse sa ville et ses potes pour qqs billets….
le coach psychologique est maintenant necessaire afin de cimenter 1 groupe fait d’individualités autour de valeurs ,d’histoire de vie et d’objectifs communs, et celà au travers de séjours , d’échanges et de discussions animées par ce préparateur
ce prépa doit faire naitre de ce groupe,1 cohésion, 1 esprit , des valeurs et des objectifs communs.
au delà des qualités physiques d’un joueur il faut aussi s’interesser aussi à ses qualités psychologiques afin qu’il puisse se fondre dans le collectif et les valeurs portées par le groupe qu’il integre
ce préparateur psychologique doit aussi être partie prenante dans le recrutement car il est garant de l’ambiance et des valeurs d’un club
tout cela se fait bien sûr de façon innée la plupart du temps tant par les joueurs que l’encadrement voire la direction….
mais personne n’est vraiment garant de celà et le professionnalisme exige que l’on ne laisse rien au hasard
on voit bien cette année que l’annonce de laussucq de quitter le club a mal été gérée et mal encaissée par 1 groupe qui était pourtant parti sur les chapeaux de roue ….dans cette circontance et dans bien d’autres 1 coach peut s’avérer trés utile!!Dans une équipe de rugby, il n'y a pas de passagers, il n'y a qu'un équipage.
Bonjour a tous, oui Mitch a raison : l’esprit de camaraderie inhérent au rugby doit perdurer. Les joueurs ne perdent pas leur savoir faire rugbystique d’un match a l’autre mais leurs repères relationnels dans le groupe. D’ou des incompréhensions, des malaises et des dissenssions qui font transparaître le caractère de chacun (certains subiront alors que d’autres se rebelleront).
Je sais bien que l’on ne pourra jamais revenir a l’état d’esprit de 63 et leurs blagues potaches, ainsi que les banquets pantagrueliques (le moindre gras est pourchassé de nos jours et c’est bien triste pour les joueurs de ne pas pouvoir se tartiner des rillettes de canard avec un coup de rouge avec des copains au risque de faire du banc…).
Toutefois ne perdons pas a l’esprit que ces garçons sont jeunes et qu’il faut aussi qu’ils profitent de leur jeunesse. Donc pour cela évitons leur a minima des traumas psychologiques qui ne se soignent pas avec du camphre et de l’elasto…
Donc oui a 100% pour un coach d’homogeneisation psychologique du groupe!J’ajoute aussi que le fait de quitter son monde (copains, coach, famille) pour gagner plus entache souvent la capacité de retour, de part une forme de culpabilité, surtout quand le départ ne donne pas grand chose en termes de bénéfices.
Donc les departs sont douloureux et les retours difficiles. Et que dire des mercenaires (sujet deja évoqué sur ce forum) qui sont a des millers de km de chez eux, a espérer que le Stade puisse leur permettre de se mettre en lumière ? Pas facile au quotidien a mon sens, et je sais ce dont je parle travaillant a l’étranger ????…Je dois en être à 4 ou 5 … de passeports!
Oui effectivement il est triste de devoir chercher ailleurs ce qu’on pourrait trouver pas (trop) loin de chez soi.
Cela me permet aussi de continuer à jouer régulièrement au rugby partout où je passe (bien que vétéran de l’équipe mais au moins je rapport un trophée :-)) avec grand plaisir. Plaisir décuplé dès lors que je peux faire une biscouyète pour mettre un défenseur dans le vent avec un cad’ deb’.
Il est vrai par contre pour avoir joué avec et contre, que les Iliens divers et variés (NéoZed, Fidjiens, Calédos) « puent » le rugby : combinaison de morphologie mais surtout d’état d’esprit.
Sur un terrain, c’est « basique »: ils (re-)deviennent des guerriers (au sens noble du terme) et sont prêts à « mourir » sur le pré. Et cet état d’esprit nourri autrefois de rivalités de proximité (les fameux derbys), qui n’existe plus car la cohésion des équipes n’est plus au rendez vous.
On est passé d’un sport qui mêlait le combat collectif âpre et l’évitement à une combinaison de jeu à XII et de foot américain (sans les protections et avec l’ennui).
On a surtout isolé les joueurs et individualisé la performance, ce qui est une grossière erreur, surtout dans un sport d’équipe.
Je reboucle donc sur la conclusion précédente : il y a besoin d’accompagnement de l’équipe et des joueurs au sein de l’équipe afin qu’ils retrouvent une place. Autrefois le rugby était un sport social qui acceptait toutes les morphologies et origines, maintenant de moins en moins….
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