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- Ce sujet contient 81 réponses, 27 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par pastabal40, le il y a 5 années et 1 mois. This post has been viewed 13699 times
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23 octobre 2019 à 15 h 06 min #147153Magret40Participant
augustin nous fait d’autres saisons que la dernière………
Coly doit jouer pour progresser
loustalent est lent et restera définitivement lent!!!saison après saison c”est même pire!!
qd à Duhourquet les égos doivent être
mis de côté et l’intérêt du club doit
prévaloir
s’il est vrai que des négociations sont en cours pour Berchesi c’est 1 bonne nouvelle
cette charnière internationale uruguayenne (qd elle était sur le terrain) s’est montrée plutôt satisfaisante pour ceux qui ont suivi la coupe du mondeLa moindre des choses en 1er est de respecter son nom…..
La 2eme est qu il a le niveau pro d2 comme tous les autres avec son jeu à lui. Il serait rapide et vif,il jouerait en top 14. Nous sommes en pro d2,on a tendance à l oublier.Le seul reproche que l on peut faire, c est au staff qui l aligne tout le temps et des fois 80mn. Sans deconner,à perpignan,on aurait pu jouer avec coly et duhourquet. C est comme laousse,à force les mecs sont soit cramés soit trop sur d eux vu qu il n y a pas de concurrence.
23 octobre 2019 à 17 h 51 min #147154benquetParticipantOn peut effectivement se dire que l’on a beaucoup de chance qu’il ne soit rien arrivé jusque là à Laousse , sinon bonjour l’angoisse .
23 octobre 2019 à 18 h 36 min #147155keith mounParticipantEffectivement Laousse c’est du solide : même pas la moindre déchirure !!!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
24 octobre 2019 à 10 h 06 min #147156bersylParticipanthttps://www.francebleu.fr/sports/rugby/rugby-mont-de-marsan-sur-pause-interrogative-1571844444
Un article écrit par Pierre Albert Blain .24 octobre 2019 à 11 h 18 min #147157keith mounParticipantMerci pour le lien.
Effectivement cette saison nous cumulons 2 handicaps. D’abord la faiblesse du budget et le changement de manager en chef.
Chaque année le Stade maintient voire augmente son budget mais d’autres clubs issus de bassins économiques plus importants ou menés par un mécène fortuné, nous dépassent. Depuis plusieurs saisons notre président et son équipe arrivent par un recrutement judicieux à maintenir notre club dans le haut de la Pro D2.
Le changement managérial se pose. La promotion d’Auradou a semblé être une bonne « fausse » solution. Il connaissait le club et on ne changeait qu’un manager sur deux. Puis dans le Midol, on a parlé d’un duo Caudullo / Darricarrère ce qui a été démenti. De toute façon dans une entreprise , quand les résultats sont bons c’est le chef qui récolte les lauriers. Dans le cas contraire, il en subit les conséquences.On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
24 octobre 2019 à 14 h 04 min #147158benquetParticipantPour faire une analyse qui se tienne , il faudrait avant tout en maîtriser toutes les composantes . Or moi , comme beaucoup d’autres , nous ne sommes que des témoins » avisés ..? » et qui réagissent au gré des infos glanées ici ou là .
Le témoignage d’A. BLAIN n’est pas du genre à rassurer le quidam . Mais , il m’apparait aussi dangereux de jeter l’opprobre sur untel ou untel et d’entretenir le doute ( sans trop se mouiller , ma foi …) ! S’il est urgent de crever l’abcès , n’attendons pas qu’il soit trop tard et que ceux qui ont la prétention de savoir ( tout ..?) le disent . Il serait aussi intéressant d’en connaitre la véritable raison sans que l’on nous balade du budget trop faible … au mauvais recrutement …ou les deux à la fois . Qui est responsable de qui ou de quoi ?
Cela commence à sentir le soufre et ce n’est pas bon pour la suite .24 octobre 2019 à 19 h 58 min #147161pastabal40VisiteurDure réalité
Arès un entame difficile le stade met le nez à la fenêtre mais reste stérile. l’USAP reprend rapidement la main, plus puissants et d’un réalisme froid, ils scorent sur chaque incursion dans le camp montois. 2 essais de Farnoux et Degmache sanctionnent une première mi-temps difficile ou l’on devine déjà les difficultés landaises dans l’ordre de la puissance mais aussi et surtout de l’efficacité. Muets sur ses possessions, le SM semble sans solutions face à une défense catalane sereine. Comme un symbole de cette impuissance, Paulino, le géant est terrassé et doit quitter ses partenaires, sérieusement blessé semle-t-il et cède sa place à Damiani. Nous revient alors en tête cette première période face à Montauban si peu aboutie et pleine de questionnements. 18 à 3 aux agrumes et des doutes…
Notre conquête est correcte et doit nous permettre de revenir dans le match, les Catalans ont mieux débuté mais on va se parler dans la chaleur des vestiaires et inverser la tendance. Assis à une table d’experts dans un établissement célèbre des soirées montoises, les avis sont pourtant partagés, entre défaitistes et optimistes dont je fais résolument partie, difficile de se persuader de quoi que ce soit. Les faits vont se charger de nous rappeler à la dure réalité.
Ça s’arrange pas le déficit de puissance se fait de plus en plus sentir, mis en difficulté sur les impacts, les montois bégaient leur rugby, l’USAP en profite une première fois par Roussel (45ème) le rythme semble trop élevé pour les jaunes et noirs, les placages sont moins appuyés et les sangs et or s’engouffrent dans les brèches mais c’est Naituvi qui intercepte un ballon et après 60 mètres ôte le BO aux catalans. 23 à 10 à ce moment-là du match. La suite sera un cavalier seul de nos hôtes du soir qui marqueront encore à 3 reprises par Geli, Dubois et Ecochard pour une réalisation de Gribache pour le SM. Score final 44 à 17 pour les locaux avec BO à la clé.
Pfffff…. ! Que dire ! Que les défauts rédhibitoires qui ont jalonné le parcours de notre équipe ne se sont pas dissipés. Que nous avons beaucoup de mal à mettre en place un jeu cohérent et que l’on devine mal le fil conducteur de cette équipe. Le jeu entrevu en deuxième période contre Montauban n’était-il pas plus dû à une baisse de régime physique de l’adversaire qu’à un déclic chez nos protégés ? Le prochain bloc et surtout le prochain match face à une équipe de Rouen qui sort la tête de l’eau devrait être riche en enseignements.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
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