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Benquet, personne n’a le leadership de l’humour, je ne joue pas la même musique que John (ou d’autres) et je lui laisse volontiers la clé de … Rey !
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Volons dans les plumes de la colombe avec cette équipe d’extérieur…tiens donc d’ailleurs irait on vers une « specialisation » pour les groupes de joueurs? Intéressant dans la démarche depuis le temps!
Sinon, sachant que Rey possède un parquet (un sol fa si la si ré…), il pourra rey-péter ses gammes de Rey-hausseur, sans toutefois se blesser en glissant sinon il devra ramper comme un Rey-ptile et trouver des Rey-pliques aux piques de ses coReyligionnaires.
Allez le Stade et faites l’humour et pas la guerre (ou alors sur le terrain!)
En ce qui concerne la compo de l’équipe, elle me plaît également. Sauf blessure, on préserve Damiani qui doit encore manquer de compétition. Je trouve Du Preez en progrès mais bien sûr César aurait apporté encore plus de densité au pack . Pas de Lorée non plus, mais pour l’instant, il est associé avec James et comme celui ci n’est pas dans cette compo, cela semble logique. Sur ce bloc de 6 matchs, le contrat est rempli avec 4 victoires dont 3 bonifiées et 1 défaite là où on ne l’attendait pas. Tout point gagné à Colomiers ne sera que du bonus. ALLEZ LE STADE!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Si je le pouvais , je dirais simplement aux joueurs de ne pas considérer ce match comme une finale avant l’heure . Il faut rester maître de ses valeurs ( dieu sait si nous en avons ) et ne pas se laisser submerger par un certain stress qui nous entraînerait inévitablement dans une débauche de fautes dont nous sortirions surement pas vainqueurs .D’après certains dires , il va falloir ménager aussi la susceptibilité du référée à notre égard…Donc , maîtrisons notre savoir faire , il n’y a aucune raison d’être pessimistes …MAIS , une grande vigilance s’impose !
» Colomiers et les pyromanes
Colomiers-Mont-de-Marsan, voilà une affiche alléchante en ouverture de la 12e journée, la dernière du deuxième bloc de la saison régulière avant une semaine de trêve.
> Le contexte. Des Columérins en quête de rachat après leur sortie à Biarritz reçoivent des Montois euphoriques qui restent sur deux succès bonifiés, à Perpignan puis contre Béziers.
Demi-finaliste en 2016, Colomiers rêve de s’installer à nouveau la table du dessert printanier dont Mont-de-Marsan est un habitué. Le club landais, demi-finaliste lors des trois dernières éditions, finaliste en 2015, a même effectué deux allers-retours dans l’élite (2008, 2012). Et ce soir, le quatrième accueille le troisième qui le précède de quatre longueurs au classement. Le décor est planté. Il s’agit d’un duel de prétendants.
> Colomiers. L’équipe souffle le chaud et le froid. Complètement hors du coup à domicile contre Nevers, elle s’y est rassurée contre Montauban avant de lâcher une nouvelle fois à Biarritz. «Je suis déçu par rapport à l’ampleur du score» (36-13, N.D.L.R.), déclare le manager Olivier Baragnon. «Cela dit, nous avons ce que nous méritons. Nous avons payé cash nos erreurs.» Les Columérins, encore privés de cadres (Beco, Bézian, Mémain entre autres), ne peuvent se permettre de perdre une nouvelle fois à Michel-Bendichou d’autant qu’ils auront, au terme de ce deuxième bloc, reçu sept fois pour cinq déplacements.
> Mont-de-Marsan. […] suite et fin de l’article ICI
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
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