En août-septembre, on ouvre et on ne gagne pas.
En octobre-novembre, conflits dans l’équipe avec l’entraineur, on gagne un match
A partir de décembre, mise en place de l’autogestion, on restreint le jeu, on marque des points bonus et on gagne un match.
Février-mars, sans raison, on change à nouveau de projet de jeu, on enchaîne l’ essuie-glace sur le terrain en se faisant passer la balle mais on recommence à enchaîner hélas quelques belles défaites.
Et en avril-mai, qu’est qui est prévu après le safari-photo d’Afrique du Sud ? On continue le beach rugby comme cela a été évoqué cette semaine par B. Chédal-Bornu dans le midol?
Il est grand temps qu’il y ait de nouveau un fil conducteur dans cette équipe avec une direction de jeu, une autorité légitime et reconnue qui puisse s’imposer et un respect des prérogatives de chacun.