Les frères ennemis,
C’est Batman versus Jocker,
C’est Le flic et le voyou,
C’est l’ado contre son père,
Ormaechéa contre Boyou,
C’est le yin et le yang,
C’est le blanc et le noir,
C’est le rouge et le blanc,
Contre le jaune et noir,
L’un sans l’autre on existe,
Mais ce qui nous sublime,
C’est lorsqu’on entre en piste,
Contre l’ennemi intime.
Même un match amical,
Au milieu des férias,
Suscite, et c’est normal,
Quolibets et broncas
C’est le feu, la passion,
Le clocher, le maillot
Fierté et déraison,
A Boni ou Boyau.
Pourtant on s’aime bien,
Et cette rivalité,
De ce fait entretien,
Cette étrange amitié.
» Qui aime bien châtie bien »
Énonce le dicton,
Alors aimons-les bien,
Filons-leur un carton