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29 août 2012 à 11 h 14 min #24114jeffVisiteur
De toute façon nous ne faisons pas le même championnat que les autres, car la différence de budget est si grande que nos victoires peuvent avoir une autre saveur. Là où Toulon a été fabriqué pour gagner avec le bonus et satisfaire l’ambition maladive de son président (quels que soient les moyens et le « jeu » utilisés), les jaunes et noirs peuvent se satisfaire d’objectifs plus modestes : promouvoir les jeunes issus du club, marquer de beaux essais, jouer, donner du plaisir au public, rester solidaires, sortir du terrain la tête haute, faire mentir les « spécialistes », rivaliser avec les puissants, faire vivre une conception du rugby qui recueille bien plus la sympathie du public et des connaisseurs que le triste spectacle proposé dernièrement dans les phases finales du Top14, gagner de temps en temps et éventuellement se maintenir pour continuer à emmerder le monde… Notre victoire à Toulouse, c’est d’avoir rivalisé, d’avoir longtemps mené, d’avoir joué avec les « petits » Dubié et Farré (hélas, Bréthous n’a pas assez profité de ce match) et le déjà « grand » Tastet, d’avoir marqué un bel essai et conquis le respect du public.
Les « fadas » et autres « mordus » qui viennent de temps en temps sur le forum nous expliquer l’excellence incomparable de la politique économique de leur club toulonnais, oubliant au passage l’exil de Maestri et d’Andreu, ont pour ultime argument l’idée selon laquelle il faudrait « vivre avec son temps », s’agenouiller devant la puissance de l’argent et cesser de cultiver le goût archaïque pour la culture du rugby de papi. Rien n’est plus idiot que de croire en la « modernité » du RCT. Le pouvoir de l’argent, c’est vieux comme le monde (du moins depuis l’invention de la monnaie) ! Et dans le rugby français, il y a toujours eu des mercenaires, des mécènes qui se payent une équipe comme d’autres s’achètent une danseuse, des pressions sur les arbitres, des matchs pour lesquels l’enjeu étouffe le jeu, des réseaux d’influence au sein de la FFR puis de la LNR, etc. Bref, il y a toujours eu des éléments de corruption de ce sport magnifique qu’est le rugby. Quand une victoire peut être achetée ou obtenue par des moyens autres que sportifs et éducatifs (le résultat de l’école de rugby), ce n’est plus une victoire, mais un retour sur investissement ou un larcin. C’est bien cela le principe de la corruption : provoquer un changement si important que la chose corrompue ne correspond plus du tout à ce qu’elle était. Une victoire achetée ou volée n’est pas, sportivement parlant, une victoire. Mais cela fait aussi partie de l’insertion du rugby dans le tissu économique, social et politique. Donc je le répète : il y a toujours eu cette forme d’injustice au regard des valeurs du sport, qui fait que les moyens utilisés par les uns leur assurent une victoire qui, finalement, ne correspond pas vraiment à leur valeur sportive et éducative.
On peut dire que Toulouse, club pourtant richissime, échappe grandement à ce travers, en raison de sa politique sportive, de sa culture rugbystique et de son souci du jeu.
Par contre le RCT est bien aujourd’hui la porte d’entrée par laquelle l’univers du football professionnel pénètre dans le monde du rugby : par les comportements, par la politique économique et « sportive » suivie, par le goût pour les outrances médiatiques, par l’ambiance générale autour de ce club qui, à mon humble avis, mérite mieux que cette dérive, tant son histoire et son potentiel de formation sont admirables.
L’hallucinante qualité de son effectif et la disproportion des moyens à disposition explique que les « spécialistes » peuvent prédire sans risque une nouvelle « victoire » de la dream team de Boudjellal et supputer sur l’écart final au score : 40 points ? 50 points ? On peut en retour se demander combien de conneries à la minute ils sont capables de dire : 40 ? 50 ?
Il ne peut donc y avoir qu’une victoire sportive samedi, celle du Stade Montois. Comme à chaque visite de Toulon depuis 6 ans…29 août 2012 à 11 h 38 min #24115madoffParticipantje dirais que le cas de Toulouse est totalement différent (notamment vu le nombre de sponsors, elle n’est pas dépendante d »une seule personne)
Quant à Toulon et son président, on aime ou on aime pas (il ne peut pas laisser indifférent), il est sur que s’il n’était pas intervenu dans cette ville (il faut se souvenir aussi du contexte politique de l’époque à Toulon) , le club serait au mieux en Pro D2 .
29 août 2012 à 12 h 35 min #24116AnonymeInvitéApparemment, Toulon peut se passer de lui puisqu’il ne met plus un centime dans le club …
http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2012-2013/boudjellal-et-l-economie_sto3402533/story.shtml
29 août 2012 à 12 h 40 min #24117jeffVisiteurAcheter avec l’argent des autres, c’est top…
29 août 2012 à 13 h 16 min #24120AnonymeInvitéc’est ce que font les traders …… faut voir le résultat ! 👿
29 août 2012 à 13 h 22 min #24121gilou40ParticipantQu’on aime ou qu’on aime pas, il serait malhonnête de ne pas reconnaître la qualité de ce président.
29 août 2012 à 13 h 25 min #2412211-sm40Participantc’est une autre équipe de toulon qui vient au moun samedi, une équipe plus soudée que les autres années avec une efficacité incroyable !
elle peut alterner le jeu avec ces avant surpuissant et des 3/4 excellent;
beaucoup pense que les toulonnais ne savent pas envoyer du jeu, mais attention avec un magicien comme matt giteau derriere va falloir etre vigilant !!29 août 2012 à 13 h 43 min #24123mounlightModérateurEt maintenant, des points pour Mont-de-Marsan
Promus en Top 14, les Montois ont frôlé l’exploit la semaine passée à Toulouse et ont confirmé qu’ils avaient leur place dans l’élite. Mais derniers avec zéro point, ils doivent concrétiser cela par des résultats au plus vite.
Si près de l’exploit. Encore devant au score à l’heure de jeu (20-22), les Montois ont entrevu la victoire samedi chez le double champion de France en titre, invaincu sur sa pelouse depuis février 2010. Mais le promu landais, éreinté sur le plan physique et trop indiscipliné, a fini par craquer dans les quinze dernières minutes (37-22). « J’y ai cru, mais je voyais aussi qu’on était fatigué et que l’on commençait à enchaîner les fautes, reconnaît Julien Tastet, dans un entretien accordé à Sud-Ouest. Et en face, il y avait quand même toute l’expérience du Stade Toulousain. Mais malgré ça, on espérait rapporter un point. C’est dommage car on a longtemps été devant alors qu’eux n’étaient pas vraiment dans leur match. » Les joueurs de Marc Dantin et de Stéphane Prosper ont néanmoins confirmé leur capacité à rivaliser avec les meilleures écuries du Top 14. Une semaine plus tôt, ils n’avaient pas été ridicules, déjà, sur le terrain de Biarritz. Même si le BO, comme Toulouse, s’était imposé avec le bonus offensif (35-10). Mais dans tous les compartiments du jeu, les Montois ont franchi un palier entre les deux rencontres.
Des progrès que note le capitaine. « Nous avons réussi à régler des choses qui n’avaient pas fonctionné lors de notre premier déplacement à Biarritz. Notamment en défense, où on a réussi à les contrer et où on était bien organisé la plupart du temps. Ensuite, je retiens qu’en conquête, nous avons obtenu de bons ballons. En touche, on leur en a piqué deux ou trois et en mêlée, dans l’ensemble, ça s’est plutôt bien passé. Il y a de nombreux points positifs à retenir. » Petit Poucet de l’élite, avec le budget le plus faible des quatorze engagés (6,5 millions d’euros), le Stade Montois sera désormais analysé de près. Après avoir bousculé l’ogre toulousain, il ne pourra certainement plus compter sur l’effet de surprise. « Je ne sais pas si nous allons être attendus, s’interroge Tastet. Je ne sais pas, non plus, si nous avons gagné le respect des autres équipes de Top 14. Nous, ce qu’on veut, c’est progresser dans notre jeu. On a montré des choses intéressantes, mais il faut que l’on travaille encore à gommer ces petits détails qui font que nous n’arrivons pas à prendre de points. »
Parmi « ces petits détails », les Montois devraient monter en puissance sur le plan physique. « On a commencé notre préparation un peu plus tard que les autres équipes. On savait que les rencontres à Biarritz et Toulouse seraient difficiles. » Dernier du classement avec zéro point, seule équipe dans ce cas, le promu doit maintenant concrétiser ses intentions par des résultats. « On nous promettait l’enfer. Pourtant, samedi, on a réussi à inquiéter le Stade Toulousain pendant plus d’une heure. C’est très positif. Néanmoins, sur le plan comptable, nous n’avons rien obtenu. Et ça, c’est décevant. Les échéances à venir vont être capitales pour nous. » Mais la mission s’annonce encore compliquée le week-end prochain. L’armada toulonnaise, qui devrait être emmenée par Frédéric Michalak, sera en visite à Guy-Boniface pour la première du Stade à la maison. « Même si ce serait bien d’empocher nos premiers points, au niveau de la performance collective, on va essayer d’encore élever notre niveau, aussi bien en attaque qu’en défense. Et si nous y parvenons, il y aura peut-être quelque chose de sympa à aller chercher. » Un succès de prestige serait idéal pour lancer la saison du promu.
(source: rugby365.fr)29 août 2012 à 15 h 48 min #24124madoffParticipantsi le RCT n’avait pas ce président, il n’y aurait pas cet effectif et il n’y aurait pas autant d’entrées samedi à Guy Boniface
29 août 2012 à 15 h 57 min #24125jeffVisiteurE t oui ça fait recette ce genre de trucs, comme le PSG…
29 août 2012 à 18 h 56 min #24129adrienParticipantQuote:Citation de jeff le 29 Aug 2012, 11:14
De toute façon nous ne faisons pas le même championnat que les autres, car la différence de budget est si grande que nos victoires peuvent avoir une autre saveur. Là où Toulon a été fabriqué pour gagner avec le bonus et satisfaire l’ambition maladive de son président (quels que soient les moyens et le « jeu » utilisés), les jaunes et noirs peuvent se satisfaire d’objectifs plus modestes : promouvoir les jeunes issus du club, marquer de beaux essais, jouer, donner du plaisir au public, rester solidaires, sortir du terrain la tête haute, faire mentir les « spécialistes », rivaliser avec les puissants, faire vivre une conception du rugby qui recueille bien plus la sympathie du public et des connaisseurs que le triste spectacle proposé dernièrement dans les phases finales du Top14, gagner de temps en temps et éventuellement se maintenir pour continuer à emmerder le monde… Notre victoire à Toulouse, c’est d’avoir rivalisé, d’avoir longtemps mené, d’avoir joué avec les « petits » Dubié et Farré (hélas, Bréthous n’a pas assez profité de ce match) et le déjà « grand » Tastet, d’avoir marqué un bel essai et conquis le respect du public.
Les « fadas » et autres « mordus » qui viennent de temps en temps sur le forum nous expliquer l’excellence incomparable de la politique économique de leur club toulonnais, oubliant au passage l’exil de Maestri et d’Andreu, ont pour ultime argument l’idée selon laquelle il faudrait « vivre avec son temps », s’agenouiller devant la puissance de l’argent et cesser de cultiver le goût archaïque pour la culture du rugby de papi. Rien n’est plus idiot que de croire en la « modernité » du RCT. Le pouvoir de l’argent, c’est vieux comme le monde (du moins depuis l’invention de la monnaie) ! Et dans le rugby français, il y a toujours eu des mercenaires, des mécènes qui se payent une équipe comme d’autres s’achètent une danseuse, des pressions sur les arbitres, des matchs pour lesquels l’enjeu étouffe le jeu, des réseaux d’influence au sein de la FFR puis de la LNR, etc. Bref, il y a toujours eu des éléments de corruption de ce sport magnifique qu’est le rugby. Quand une victoire peut être achetée ou obtenue par des moyens autres que sportifs et éducatifs (le résultat de l’école de rugby), ce n’est plus une victoire, mais un retour sur investissement ou un larcin. C’est bien cela le principe de la corruption : provoquer un changement si important que la chose corrompue ne correspond plus du tout à ce qu’elle était. Une victoire achetée ou volée n’est pas, sportivement parlant, une victoire. Mais cela fait aussi partie de l’insertion du rugby dans le tissu économique, social et politique. Donc je le répète : il y a toujours eu cette forme d’injustice au regard des valeurs du sport, qui fait que les moyens utilisés par les uns leur assurent une victoire qui, finalement, ne correspond pas vraiment à leur valeur sportive et éducative.
On peut dire que Toulouse, club pourtant richissime, échappe grandement à ce travers, en raison de sa politique sportive, de sa culture rugbystique et de son souci du jeu.
Par contre le RCT est bien aujourd’hui la porte d’entrée par laquelle l’univers du football professionnel pénètre dans le monde du rugby : par les comportements, par la politique économique et « sportive » suivie, par le goût pour les outrances médiatiques, par l’ambiance générale autour de ce club qui, à mon humble avis, mérite mieux que cette dérive, tant son histoire et son potentiel de formation sont admirables.
L’hallucinante qualité de son effectif et la disproportion des moyens à disposition explique que les « spécialistes » peuvent prédire sans risque une nouvelle « victoire » de la dream team de Boudjellal et supputer sur l’écart final au score : 40 points ? 50 points ? On peut en retour se demander combien de conneries à la minute ils sont capables de dire : 40 ? 50 ?
Il ne peut donc y avoir qu’une victoire sportive samedi, celle du Stade Montois. Comme à chaque visite de Toulon depuis 6 ans…Amis des clichés bonjour !….
ça faisait longtemps qu’on nous l’avait pas sortie celle-là.
Le fameux « pouvoir de l’argent », cet argent qui pourrit tout, mais on ne le voit qu’à Toulon. Ailleurs, y’en a plein les caisses aussi, mais c’est tabou, comme ils ont de gentils présidents-toutous bien lisses, faut pas en parler, entre gentlemen….
Toulouse a 35 millions d’euros de budget et quasiment que des internationaux (peu de jeunes du centre de formation toulousain sont titulaires, voire aucun dans les 3/4), on se sert dans les clubs d’à côté, on prend les meilleurs jeunes d’un peu partout (on laisse partir les Bélie, Bézy, et le jeune talonneur Victor Paquet qui se retrouve même chômeur), le tout agrémenté de pas mal de
mercenairesétrangers (NDLR : oups désolé, les mercenaires ne vont qu’au RCT) et non des moindres…Mais bon c’est normal, c’est Toulouse.Toulon respecte le quota JIFF (13 JIFF/23 joueurs sur la feuille de match face au Racing !), Toulon a un budget moindre que Toulouse, le Centre de Formation sort de bons jeunes dont certains sont intégrés (Gunther excellent la saison passée, Magnaval prêté à MDM, Jean-Charles Orioli, Mika Ivaldi, Christophe Munoz, Sinzelle prêté au Stade Français) et d’autres partent (Maestri et Fickou qui se sont faits retourner le cerveau par les toulousains à Marcoussis).
Mais comme il y a des stars, ça énerve ceux qui n’en ont pas. Et le discours du Président finit de convaincre ceux qui ne nous détestent pas pour cette seule raison.Quand on dit qu’on achète la victoire, que c’est du « larcin » c’est de la calomnie.
En plus les victoires ne se gagnent pas sur le papier mais sur le terrain….
J’aimerais voir la masse salariale de Toulouse et celle du RCT, et je pense qu’elles sont voisines.
La « dream-team », excusez-moi de me répéter, mais elle est aussi au sein du stade toulousain, composée de vices-champions du monde et de grands internationaux (Clerc, Poitrenaud, DUSAUTOIR meilleur joueur IRB 2011, Médard, Jauzion, David, Fritz, Huget, Picamoles, Poux, Nyanga, Burgess, Matanavou, Johnston, Albacete, Mc Alister,..et j’en passe.).
Je pourrais aussi parler de Clermont.
Au final ces deux équipes ont fait venir les meilleurs joueurs (pas tous avec le statut de stars mais de grands internationaux). Clermont a encore plus d’étrangers que Toulouse et ne feignez pas de croire qu’ils n’ont pas une grosse masse salariale en Auvergne…Enfin pour finir, il y a une différence majeure entre le rythme que s’est imposé le RCT et l’image paisible que renvoient l’ASM et le ST : faut-il rappeler que jusqu’en 2008 le RCt évoluait en PROD2 ? Pendant ce temps, l’ASM et le ST avaient créé un bel oligopole pour se partager les meilleurs joueurs professionnels du championnat (+ BO et USAP avec quelques miettes), ils avaient pu depuis 1995 se construire tranquillement et multiplier progressivement leur budget (par dix à peu près)…..
Faut-il rappeler qu’en 2005-2006 le Président Eric Champ a réussi à remonter avec une équipe très franco-française voire toulonno-toulonnaise ? Une remontée en Top14 avec un budget de 6,5 ME*. Ça a donné quoi cette politique suicidaire ? 3 victoires dans la saison et une redescente immédiate et humiliante. Plus jamais ça. Plus jamais. Eric CHAMP avait alors admis ses erreurs (et sa naïveté) quand il a demandé à Mourad BOUDJELLAL de prendre les rênes du club. C’est à ce moment-là que le club a basculé dans le professionnalisme et s’efforce (depuis 7 saisons maintenant) de se remettre au niveau de ses principaux concurrents. Il fallait en passer par de gros recrutements par le quadruplement du budget et cette sorte de buzz permanent (impliquant une forte médiatisation, sans parler des têtes d’affiche enrôlées) , un buzz qui nous a permis d’attraper de gros gros sponsors (plus gros contrat d’équipementier en Europe, Volkswagen, Invicta, Vinci,550 partenaires désormais). En 2012, Boudjellal ne met plus un sou dans la SASP, et le club vole de ses propres ailes avec de nombreux soutiens. Côté structures et équipements aussi, le club s’est fortement développé (Philippe Saint André a bien accompagné tout cela) et mis au niveau des meilleurs clubs d’Europe. On a fait en 6 ans ce que d’autres ont eu la chance de pouvoir faire en 18 ans.Excusez-nous juste d’avoir été en retard….
Je rejoins jeff sur un seul point : le comportement; je ne cautionne pas systématiquement (il a quelquefois raison dans ses critiques acerbes) le président Boudjellal et je suis le 1er à dire qu’il va quelquefois trop loin. On a beau être méridionaux, cela ne justifie pas tous les excès (de langage essentiellement).
Mais bon à en lire les forums de France et de Navarre et la Presse sportive, qu’est-ce qu’on s’emmerderait dans ce championnat de France de rugby, sans le Ercété version Boudjellal (aussi infréquentable soit-il).
* À ce sujet, il faut être pistonnés ou inconscients pour s’aligner en top14 avec un budget de 6,5ME… Cynique mais sincère.
29 août 2012 à 19 h 06 min #24130Stade Montois ForeverParticipantmoi qui aime la bonne lecture, je suis servi!! merci adrien pour ce bel exercice de plaidoyer en faveur de la défense du RCT…car je ne comprends pas vraiment toute cette passion souvent négative ( en dehors de toulon ) autour de ce club…car Toulouse et Clermont ont depuis bien longtemps écrasé la concurrence et on trouve cela « presque » normal alors que quand c’est le RCT, c’est pas pareil…
il faut souligner le gros travail en coulisse, car le RCT est allé chercher un paquet de partenaires et qq gros en plus, ce qui lui permet de rivaliser avec toulouse et clermont d’un point de vue financier…
pour ma part, beaucoup n’aime pas Mourad, mais je trouve qu’il mouille le maillot et ose dire ce qu’il pense et bien souvent, il met les pieds dans le bon plat!!
en tout cas bienvenue au RCT à boniface, en espérant un bon match et quoiqu’on en dise, ça fait plaisir de voir des grands joueurs fouler notre pelouse, après les hivers rudes en gradin, on l’a bien mérité et les joueurs aussi!!
29 août 2012 à 19 h 07 min #24131adrienParticipantQuote:Citation de madoff le 29 Aug 2012, 11:38
je dirais que le cas de Toulouse est totalement différent (notamment vu le nombre de sponsors, elle n’est pas dépendante d »une seule personne)Quant à Toulon et son président, on aime ou on aime pas (il ne peut pas laisser indifférent), il est sur que s’il n’était pas intervenu dans cette ville (il faut se souvenir aussi du contexte politique de l’époque à Toulon) , le club serait au mieux en Pro D2 .
grosse erreur : Boudjellal a mis de l’argent uniquement lors des 3 premières saisons, PLUS DEPUIS, les sponsors, recettes annexes et billetterie ont fait le reste (en se développant spectaculairement).
Il peut partir…. 😉29 août 2012 à 19 h 12 min #24132adrienParticipantQuote:Citation de jeff le 29 Aug 2012, 12:40
Acheter avec l’argent des autres, c’est top…bah tu sais, c’est ni plus ni moins ce que font….
…..l’ensemble des Présidents du Top14 , exceptions peut-être de Afflelou et Lorenzetti.A Perpignan, Paul Goze était même payé (!!!) 2.000 €/ mois pour dépenser l’argent des autres.
Mais à Toulon, quand Boudjellal file du pognon, le reste de la France le traite de cochon de mécène qui ose étaler son fric
et quand il ne met plus de pognon, on le traite de trader (bénévole toutefois) qui ose dépenser l’argent des autres…29 août 2012 à 19 h 15 min #24134adrienParticipantQuote:Citation de 11-sm40 le 29 Aug 2012, 13:25
c’est une autre équipe de toulon qui vient au moun samedi, une équipe plus soudée que les autres années avec une efficacité incroyable !
elle peut alterner le jeu avec ces avant surpuissant et des 3/4 excellent;
beaucoup pense que les toulonnais ne savent pas envoyer du jeu, mais attention avec un magicien comme matt giteau derriere va falloir etre vigilant !!Est-ce le seul enseignement que vous avez retiré de votre visite à Toulon le 09 août ?
Toulon ne sait donc pas faire de jeu ? 🙄
(épargnez-moi les blas blas habituels « ce n’était qu’un amical », moi j’ai vu un match sérieux, « à balles réelles »
et très engagé de la part des deux équipes)Quand on le décide, on en fait du jeu. On en fait essentiellement en Coupes d’Europe et en milieu de championnat top14 (si on est bien classés). Mais quand la victoire nous semble impérative, on sait faire ce qu’il faut (=> restreindre le jeu pourquoi pas) pour l’emporter. Ça paye pas à tous les coups, mais ça va, on n’a pas trop à se plaindre non plus.
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