Rupeni Caucaunibuca
Ce nom a fait frémir les défenses du Super 12 et du Top 14, pendant plusieurs années. Caucaunibuca, c’est d’abord un physique de pilier allié à la vitesse d’un ailier. C’est aussi la vie dans l’excès. Manger, boire, re-manger, boire et fumer quelques joints.
Depuis son arrivée dans le championnat de France en 2004, ses incartades ne se comptent plus. Rien de scandaleux, mais rien qui ne soit en accord avec le rugby professionnel.
Son mode de vie fait sourire : kilos en trop et retard de plusieurs semaines (!!) à l’entrainement.
A Agen, son premier club de Top 14, le joueur était capable d’arriver sans affaires à l’entraînement, car il avait envoyé les dotations de l’équipementier à sa famille, au pays, ou encore de brûler toute sa paie en quelques jours.
Gageons qu’à Toulouse*, Guy Novès** saura canaliser ce joueur afin de le voir dans un autre XV de la Boucherie, cette fois, pour son talent et non plus ses écarts.
* A remplacer par Mont de Marsan
** A remplacer par Stéphane Prosper
Article légèrement détourné. LA SOURCE
«Au Fidji, on mange les gens» Timoci Matanavou