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27 août 2017 à 17 h 16 min #76280michelParticipantQuote:Citation de puma40 le 27 Aug 2017, 17:11
Speakrine d’Aguilera Virginie Mattlin ancienne du SM .Oui depuis la saison dernière !!!puisqu’on a pas voulu la garder…. 😈 😈 😈
15 janvier 2018 à 19 h 59 min #80327JENMaître des clésBayonne-Biarritz : de nouvelles rumeurs de fusion
Deux ans et demi après le rejet de la fusion, les discussions ont repris dans le secret entre Bayonne et Biarritz sur l’éventuelle création d’un grand club de rugby basque, vitale économiquement mais honnie par leurs supporters.
Comme France 3 Aquitaine l’annonçait dimanche soir dans son journal de 19 heures, plusieurs réunions ont eu lieu depuis la fin de l’année dernière en présence des présidents de l’Aviron, Francis Salagoïty et Christian Devèze, et de celui du BO, Nicolas Brusque, dont la dernière en date samedi, a-t-on appris auprès de deux sources proches du dossier.
Les maires de Biarritz, Michel Veunac, et de Bayonne, Jean-René Etchegaray, ont participé à l’une de ces réunions, selon ces sources, alors qu’un rapprochement entre les deux frères ennemis, dont les stades sont distants d’à peine quatre kilomètres, est hautement sensible dans une région où le derby, médiatique quelle que soit la division dans laquelle il est joué, est un événement quasiment d’appellation d’origine contrôlée.
Aucun commentaire du côté des clubs
Interrogés au sujet de la reprise de ces discussions à l’initiative du camp bayonnais, les deux clubs se refusent à tout commentaire.
Place forte historique du rugby français, le Pays basque a été rayé de la carte de l’élite cette saison après la descente de Bayonne (champion de France en 1913, 1934 et 1943), qui n’aura fait qu’un aller-retour d’une saison en Top 14, tandis que Biarritz, quintuple champion de France (1935, 1939, 2002, 2005, 2006), fréquente la Pro D2 depuis 2014.
Serpent de mer depuis des années, la fusion de l’Aviron et du BO pour donner naissance à un grand club du Pays Basque avait été rejetée en juin 2015 par les associations des deux clubs après des mois de tractations.
Opposition farouche
A l’époque, l’Aviron venait tout juste d’être relégué en Pro D2 et le BO avait été incapable de remonter directement en Top 14. L’idée émise consistait à fusionner les deux entités professionnelles afin de disposer d’une puissance financière pouvant permettre à la nouvelle équipe basque de rivaliser dans l’élite du rugby, tout en conservant l’autonomie des deux clubs dans les autres catégories.
Mais la « vox populi » avait eu raison des nécessités économiques et entraîné la démission du président biarrot, l’ancien arrière international Serge Blanco, et de son homologue bayonnais, Manuel Mérin.
Avec le temps, et même en Pro D2, l’opposition ne s’est jamais relâchée et reste toujours aussi farouche. Lors de la relégation de Bayonne en mai dernier, ses supporters avaient écrit sur des banderoles dans les travées du stade Jean-Dauger, « La fusion, c’est toujours non ».
Sauf qu’aujourd’hui, Bayonne, seulement 9e de Pro D2 à 11 points des places de barragistes, avec du mieux constaté ces dernières journées – victoire dimanche sur le leader Montauban 20-5 – a prévu de réduire son budget d’environ 11 millions d’euros aujourd’hui à 9 millions d’euros prochainement.ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
5 février 2018 à 17 h 54 min #81215JENMaître des clésNicolas Brusque n’est plus le président du Biarritz Olympique et pourtant, il y a encore peu de temps, il démentait devant les caméras de la télé …
<b>Nicolas Brusque a été débarqué de la présidence du Biarritz Olympique par les actionnaires majoritaires.</b>
Lors d’une assemblée générale des actionnaires, la société A-Team Sports Investments (ATSI), qui possède plus de 50% des parts du BO depuis l’an dernier, a révoqué les administrateurs historiques du club et pris le contrôle du conseil d’administration. Mis en minorité, Nicolas Brusque a été remplacé à la tête du club par Benjamin Guffet.
«Le Biarritz Olympique Pays Basque remercie grandement Nicolas Brusque qui a assuré avec dévouement et intégrité la direction du club. Il est remplacé par Benjamin Guffet qui devient le nouveau président du conseil d’administration. La mission de la nouvelle équipe dirigeante sera de mettre en place une organisation générale efficace et transparente de nature à obtenir des résultats sportifs à la hauteur de l’histoire du club, tout en assurant sa pérennité financière et en favorisant une identité régionale passant par un plan de formation ambitieux», a officialisé le club à travers un communiqué.A 38 ans, Benjamin Guffet est associé depuis deux ans à l’homme d’affaires Bruno Ledoux avec qui il a fondé la société ATSI. Ledoux qui fait maintenant partie du conseil d’administration du club qui compte huit membres : six représentants d’ATSI, plus l’ancien joueur argentin du BO Federico Martin-Aramburu, qui préside le groupe des Socios, et un représentant du BO omnisport.
Suite et fin ICI
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6 février 2018 à 8 h 00 min #81227JENMaître des clésBenjamin Gufflet, qui remplace Nicolas Brusque à la tête du Biarritz Olympique, dit vouloir se concentrer sur son club. Avec cette nomination, c’est une nouvelle page de l’histoire du BO qui s’ouvre…
L’assemblée générale des actionnaires du Biarritz Olympique a débouché sur la nomination d’un nouveau président, Benjamin Gufflet.
Exit Nicolas Brusque et son équipe.Lors de sa première prise de parole ce lundi en début d’après-midi, le nouveau président du Biarritz Olympique s’est exprimé au sujet d’un éventuel rapprochement avec l’Aviron Bayonnais.
Et sa position, qui est aussi celle de l’actionnaire majoritaire ATSI, est sans ambiguïté :On a décidé de ne pas ouvrir de discussions.
La fin d’une époque
Benjamin Gufflet, 38 ans, bordelais d’origine, à la tête de la société de communication, ATSI (A-Team Sports Investments), vient de prendre la présidence du Biarritz-Olympique Pays Basque. L’assemblée générale qui s’est tenu aujourd’hui, en fin de matinée, a entériné ce choix après modification du conseil d’administration. Ils ont désormais huit membres à le composer : Benjamin Gufflet et cinq de ses proches dont Bruno Ledoux, un représentant du BO omnisports et le président des socios, Federico Martin Aramburu.Benjamin Gufflet qui, avec Bruno Ledoux, détenait près de 52 % des parts, réclamait une plus juste représentativité. Il l’a obtenue au cours d’une assemblée générale des actionnaires où il n’y a eu « aucun point de convergence » a-t-il déclaré. Les échanges ont été vifs.
Exit donc les partenaires historiques dont Serge Blanco qui, tout au long de sa vie, a œuvré pour son seul et unique club. Exit aussi Nicolas Brusque qui avait succédé au célèbre arrière international.
En général lorsque l’on dit : » … il n’y aura pas … » Il faut souvent comprendre l’inverse… L’avenir nous le dira.
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
6 février 2018 à 12 h 58 min #81231obelix40ParticipantOu l’on apprend aussi qu’il manquait 1,3 millions d’euros au BO pour finir la saison 👿 D’où les tentatives de rapprochement avec Bayonne …
6 février 2018 à 13 h 42 min #81232keith mounParticipantOn craint que la tribune Blanco ne soit rebaptisée Atsi ! L’important est que les spectateurs ne restent pas debout!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
7 février 2018 à 18 h 22 min #81258puma40ParticipantCharles Gave investisseur milliardaire au BO . allrugby
7 février 2018 à 21 h 56 min #81264benquetParticipantPas de fusion BO / Aviron …les Biarrots ont trouvé la poule aux œufs d’or…Allez hop , circulez ..ya rien à voir ..! 😐
29 mars 2018 à 13 h 54 min #128934JENMaître des clésTrois membres du Conseil d’administration de Biarritz, en place depuis le 5 février dernier et la révocation de l’ex-équipe dirigeante présidée par l’ancien joueur Nicolas Brusque, ont démissionné lundi, a annoncé l’un d’entre eux, l’homme d’affaires Charles Gave.
Les trois hommes, Charles Gave, Jean-Jacques Netter et Jean-Baptiste Aldigé, font partie de la holding A-Team Sports Investments (ATSI), qui contrôle le BO à hauteur de 52 %.
Ils étaient devenus administrateurs au club basque le 5 février dernier lors de l’éviction de Nicolas Brusque, remplacé par l’entrepreneur Benjamin Gufflet et secondé par l’homme d’affaires Bruno Ledoux.
Dans une lettre de démission rendue publique par France Bleu Pays-Basque, Charles Gave explique que « Jean-Jacques Netter, Jean-Baptiste Aldigé et Louis-Vincent Gave (son fils) avaient présenté un projet dans lequel Louis-Vincent Gave s’engageait à combler le trou de la saison en cours de 1,5 million d’euros et à réinvestir 1,5 million d’euros pour la saison prochaine. »
Ce projet, qui prévoyait la mise en place d’ « une politique de formation, une politique sportive, une politique administrative et une politique commerciale permettant de pérenniser le club », a été refusé par le président Benjamin Gufflet, ce qui a provoqué la démission des trois administrateurs.
MM. Gufflet et Ledoux doivent maintenant trouver des fonds pour assurer la pérennité du Biarritz Olympique, qualifié pour les phases finales de Pro D2, alors que l’échéance de la DNACG (Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion) approche.
Les clubs doivent présenter avant le 30 avril leur bilan et comptes de résultats datés du 31 mars.
source ouest-france*
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L’ancien capitaine du BO Imanol Harinordoquy pourrait intégrer la gouvernance du club basque au côté du président, Benjamin Gufflet.
Après la démission de trois investisseurs de Hong Kong du conseil d’administration du club (Charles Gave, Jean-Baptiste Aldigé et Jean-Jacques Netter), les supporters du Biarritz Olympique pourraient retrouver un peu le sourire ces prochains jours. Selon nos informations, Imanol Harinordoquy, l’ancien troisième-ligne du BO (2004-2014), a été approché par Benjamin Gufflet et Bruno Ledoux pour les rejoindre à la direction du club. Retiré des terrains il y a bientôt deux ans après une fin de carrière à Toulouse (2014-2016), Harinordoquy, qui a rencontré les deux hommes, n’a pas dit non.
Classement de Pro D2
L’annonce de son arrivée dans la gouvernance du BO au côté du président, Benjamin Gufflet pourrait être annoncée avant la fin de semaine. Natif de Bayonne, basque pur jus issu de St-Jean-Pied-de-Port, Harinordoquy ferait évidemment figure de caution identitaire mais aussi sportive si l’on en juge par son parcours en seize ans d’une carrière débutée à Pau (2000-2004).
Vainqueur de deux Brennus (2005, 2006), et d’un Challenge Européen (2012) avec Biarritz, double finaliste de la Coupe d’Europe (2006, 2010), le Basque s’est aussi illustré pendant dix ans sous le maillot de l’équipe de France (82 sélections entre 2002 et 2012). Avec les Bleus, Harinordoquy a réalisé trois Grand Chelems dans le Tournoi des VI Nations (2002, 2004, 2010) et remporté l’édition 2007, tout en disputant une finale de Coupe du monde (2011), précédée par deux demi-finales en 2003 et 2007.[…]Lire la suitece qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
27 avril 2018 à 18 h 43 min #130132JENMaître des clésLe Biarritz Olympique a évité la rétrogradation pour des sanctions financières. Les actionnaires du club ont versé « à titre personnel » 400 000 euros pour combler une partie du déficit du club.
C’est une respiration pour le Biarritz Olympique. Ce jeudi, les dirigeants du club se sont rendus à Paris dans les bureaux du gendarme financier du rugby français, la Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion (DNACG).
L’enjeu était de taille : déficitaire à hauteur de 1,5 millions d’euros, le club de Pro D2 risquait d’être rétrogradé en l’absence de garanties financières.
400 000 euros injectés
Il a donc fallu sortir le chéquier. Les deux actionnaires Benjamin Gufflet et Bruno Ledoux qui possèdent 25,4% de A-Team Sport Investments, eux-mêmes actionnaires à 52% du Biarritz Olympique, ont annoncé dans un communiqué publié à l’issue de leur entretien avoir injecté 400 000 euros dans les finances du club pour combler en partie le déficit.De quoi souffler un peu, même si le trou de 1,1 millions d’euros n’est toujours pas comblé. La menace plane donc toujours sur club biarrot, confronté depuis longtemps aux problèmes de trésorerie.
Guerre des clans […] SUITE ET FIN
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28 avril 2018 à 21 h 00 min #130176mitch40Participantoui d’ailleurs nos indécrottables voisins espèrent toujours 1 maintien sur tapis vert et mettent beaucoup d’espoirs sur ce dossier ………….
ils sont vraiment irréalistes et ne comprennent pas qu’ils devrait être en fédérale depuis 10 ans déjà et ils continuent à espérer 1 maintien pour finir 15 ou 16 ème la saison prochaine!!!
leur niveau depuis 10 ans est celui de la fédérale , alors qu’ils y aillent bordel!!!!
ils ont plus de sous, plus de joueurs, plus d’entraîneurs,bientôt plus de supporters car trop fiers pour aller voir de la fed1, et ils sont encore à critiquer et espérer se maintenir ….qu’ils la ferment!
à Biarritz il se murmure l’arrivée d’argent frais à hauteur de 3 millions ………….vont être déçus les poissons rougesDans une équipe de rugby, il n'y a pas de passagers, il n'y a qu'un équipage.
29 avril 2018 à 20 h 52 min #130340PesageModérateurLe principe c’est que tu amènes effectivement de l’argent frais pour passer en commission mais ensuite par un tour de passe passe comptable via une facturation tu te fais reverser une bonne partie de l’argent. Ainsi le trou existe toujours mais il se voit moins. Tout cela avec les bénédictions célestes pour certains. Mais pas pour tous bien sûr!!
6 mai 2018 à 10 h 22 min #130890JENMaître des clésÇa discute pour conserver Adriu Delai, Asier Usarraga de retour ?
« Éliminé au stade des barrages il y a quelques semaines, Biarritz prépare activement le prochain exercice. Alors que le choix du nouvel entraîneur des avants aurait été entériné, les dirigeants basques sont également en discussion avec Adriu Delai. C’est ce que révèle Sud Ouest. En fin de contrat à l’issue de la saison, le trois-quart polyvalent (33 ans) a inscrit 15 essais en 27 rencontres de championnat cette saison, rien que ça… Prolongera-t-il l’aventure sous le maillot rouge et blanc ?
Toujours selon le quotidien régional, les Basques tentent également de rapatrier Asier Usarraga. Le troisième ligne de 23 ans a disputé 14 rencontres de Fédérale 1 sous le maillot d’Albi cette saison.[…] Lire la suite
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10 mai 2018 à 19 h 34 min #130988JENMaître des clésJean-Baptiste Singer reste au club
Alors que le pilier Nephi Leatigaga est très courtisé, notamment par Leicester, le BOPB a annoncé ce jeudi la prolongation de contrat de Jean-Baptiste Singer. Titulaire à 14 reprises cette saison en Pro D2 (1 essai inscrit), le deuxième ligne de 23 ans est désormais lié au club basque jusqu’en 2021 !
Arrivé en 2016 à Biarritz, Singer a auparavant porté les maillots de Dax et de Lyon.
source tribunesports.net
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16 mai 2018 à 19 h 30 min #131224JENMaître des clés« Le club a besoin de plus de 1 million d’euros
De l’agitation en coulisses. Sur fond de tensions en haut lieu entre les investisseurs d’Hong-Kong, les dirigeants historiques et les nouveaux, Biarritz se prépare à un moment important. Après avoir validé les comptes pour la saison écoulée il ya quelques semaines, le BOPB présentera ce vendredi à la DNACG les finances du club pour le prochain exercice. En ce sens, le président Raynaud a d’ailleurs lancé un appel aux actionnaires la semaine dernière. « Il y a urgence mais je suis moins inquiet sur ce deuxième volet que sur l’examen des comptes de la saison écoulée, qui avait lieu le 26 avril, explique le Maire de la ville Michel Veunac dans les colonnes de Sud Ouest ce mercredi. Pour cette échéance-là, les actionnaires ont fait ce qu’il fallait pour passer le cap. Cela dit, pour le dossier qui sera présenté vendredi, j’ignore s’il y a es contributeurs au budget et s’ils ont donné les garanties nécessaires. »
Veunac : « Être réconforté à court, moyen et long terme »
Comme beaucoup de Biarrots, Michel Veunac aimerait « être réconforté à court, moyen et long terme, que ce soit humainement ou financièrement ». Il faut dire que ce dernier n’ignore rien de la situation financière du récent barragiste de Pro D2. « Nous savons où en est le club. Aujourd’hui, il a besoin de plus de 1 million d’euros. » Une somme conséquente…Et en attendant d’être complètement rassuré, il espère » […] Lire la suite
Une certaine agitation a vue le jour du côté des bords de l’Adour Landes … 😉
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