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Tu peux faire appel tant que tu veux. Si il y a un trou financier ce n’est pas « la pelle » qui va le boucher tout seul????
Sauf si tu rebouches un financier aux amandes avec une pelle à gâteaux !!!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Montauban a fait appel le 7 août dernier. Source: Rugbyrama du 8 août. S’ils ont un demi de mêlée parmi les 9 joueurs…
Oui, Clément Briscadieu….
En effet, d’après La Dépêche du Midi, il s’agit de Clément Briscardieu, Corentin Braendlin, Amédée Domenech, Jacques Engelbrecht, Thomas Fortunel, Alexander Luatua, Robert Lilomaiava, Utu Maninoa et Dimitri Vaotoa.
Si c’est un premier coup dur pour les recrues, c’est également le cas pour Amédée Domenech et Jacques Engelbrecht. Déjà présents au club la saison passée lorsque Montauban avait disputé les demi-finales du championnat, ils ont tous les deux joués respectivement 26 et 30 matches. Une affaire qui s’annonce compliquée pour l’USM à quelques jours d’une nouvelle saison.
La dépéche ajoute:
« L’USM n’est évidemment pas le premier club à voir certains de ses contrats bloqués avant le début de saison, même si le nombre de ceux-ci interpelle. Biarritz, second adversaire de la saison des Sapiacains, avait vu quatre contrats de joueurs bloqués à l’orée de la saison 2012-2013. En 2009, le Stade Montois avait fait «mieux» (ou pire) avec dix joueurs non autorisés. Deux n’avaient d’ailleurs jamais porté le maillot landais. »Bon… Attendons la suite …
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
« Les dirigeants de l’US Montalbanaise ont-ils apporté toutes les garanties financières à la DNACG pour débloquer les licences de 5 joueurs (dont 4 recrues)?
Même si rien n’est encore officiel, le groupe élargi pour préparer la rencontre face au Biarritz Olympique, qui se déroulera ce jeudi, semble aller dans ce sens.
Malgré l’interdiction de jouer, Florent Domenech, Corentin Braedlin, Alex Luatua, Clément Briscadieu et Robert Lilomaiava sont donc susceptibles de faire partie des 23 par le duo Dubois/Lafond.
Pour rappel, 4 joueurs avaient vu leur licence débloquée la semaine dernière. »source rugby-transferts.com
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Pierre-Philippe Lafond (entraîneur) : «Il ne faut pas se le cacher, nous jouons le maintien»
«Cela nous touche vraiment tous de tomber une nouvelle fois à Sapiac. On n’a pas su s’adapter pour battre Bayonne. On vire à 0-7 à la mi-temps et on explose en début de deuxième. Bayonne n’est pas dans les six pour rien. Ils nous ont poignardés aux bons moments. Les deux derniers essais sont venus trop tard. Il faut être conscient que l’on n’aura pas de matchs faciles et que l’on joue le maintien. Il va falloir maintenir l’équipe en Pro D2. Il faut en être conscient. On est loin au classement britannique. Il va falloir tenter de grappiller des points partout et sortir les armes pour défendre Sapiac. On ne score pas et c’est ce qui nous plombe. Si j’avais la solution, on n’aurait pas perdu. Je ne connais qu’une solution pour s’en sortir, c’est le travail. Il n’y a pas de solution miracle. Puis être conscient que l’on joue le maintien. Les critiques font partie du job. Quand on joue le maintien on se bat sur tous les terrains pour récupérer des points. On va le faire sur tous les matchs».
Pierrick Esclauze (capitaine) :
«On est forcément déçu. Le gros avantage est que cela va mettre un gros coup de pied au cul à tout le monde. On a le couteau sous la gorge. Il faut être conscient que l’on va jouer le maintien et pas la qualification. Il faut se dire les choses telles qu’elles sont. L’année dernière fait partie du passé. On va arrêter d’en parler et tout faire pour se maintenir en Pro D2. On a un groupe qui devrait nous permettre de jouer le haut du tableau. Il nous manque de la constance dans la performance».Jean-François Reygasse (président) :
«C’est Montauban sur courant alternatif. On est bon à Brive et on prend l’eau à Sapiac la semaine suivante. On perd un deuxième match à domicile face à un qualifiable. Cela veut dire que nous ne sommes plus invités. On joue dans la deuxième partie du championnat. Pour PP Lafond, c’est la troisième. On va être positif. Je veux dire pardon, au public, aux partenaires, aux supporters parce que l’on ne doit pas jouer ainsi à Sapiac. Aujourd’hui, j’ai mal pour les joueurs et supporters. On était la deuxième meilleure défense l’an dernier et on va se retrouver la dernière. Ce n’est pas possible. On va rester positif parce que l’on a besoin de rester soudés. Il faut glaner des points à l’extérieur. L’an dernier Perpignan monte avec deux défaites à domicile compensées à l’extérieur. On a une équipe meurtrie. Il faut être derrière, sans en rajouter et sans tuer la bête qui n’est pas morte et va se relever. Cela ne marche pas sur le terrain. Il faut arrêter de philosopher et se mettre à jouer au rugby. Cela commence à être fatigant. Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas forcément. Il faut un peu de fierté par rapport à tous ceux qui se battent pour le club. Le groupe en est capable, mais il a perdu la clé».Thierry Eychenne (président) :
«On ne se sent pas impuissant, mais responsable parce que la responsabilité est commune et globale. Une deuxième défaite à domicile de la saison qui fait mal. On ne joue plus le haut de tableau mais le maintien. Il reste vingt matchs à disputer, la saison est longue. On n’a pas le droit de concéder une telle défaite à Sapiac, vis-à-vis de nous-mêmes, de la ville, des supporters. Les joueurs n’ont pas le droit de perdre dans ces conditions. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Les joueurs sont souvent les mêmes que la saison dernière. Ils ne sont pas devenus mauvais du jour au lendemain. Il va falloir comprendre et ne pas baisser les bras en étant conscient de la réalité actuelle».Jérôme Bosviel (arrière) :
«Encore une fois, on passe à côté d’un match importantissime à la maison. On leur donne 14 points, on revient en deuxième mi-temps en jouant à toucher. Je pense qu’on a de bons joueurs. Il faut que l’on se remette en question. Cela n’est pas agréable de passer pour des cons devant nos supporters et nos familles. Cela vient beaucoup du mental, avec des choix de jeu qui ne sont pas bons. On doit aller récupérer des points à l’extérieur. J’ai joué le maintien avec Bourgoin et je sais que cela est difficile. Il faut se remettre en question».Maxime Marty (ailier de Bayonne) :
«On savait que l’on serait reçu comme il faut, ici. On s’était préparé comme il faut. On peut dire ce que l’on veut mais nous avons vécu 60 minutes très difficiles et particulièrement lors des 20 dernières minutes où Montauban marque deux essais lorsque nous étions en infériorité numérique. On voulait faire un grand match à l’extérieur, après être passé à côté à Biarritz ou Carcassonne, où nous n’étions pas descendus du bus. On voulait être présent sur ce match et c’est ce que l’on a fait notamment en défense et cela a payé au final. En attaque, on a su être opportuniste. On ne va pas trop regretter d’avoir laissé filer le bonus offensif. À l’extérieur l’essentiel est de gagner. Il ne faut pas trop enfoncer non plus notre adversaire qui nous a fait beaucoup de problèmes même si le score ne l’indique pas. Je sais que gagner à Sapiac est toujours une très grosse performance et c’est pour cela que je suis particulièrement heureux ce soir».source ladepeche.fr – Propos recueillis par Rémi-Constant Belrepayre.
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Retrait de points pour Montauban et Béziers ?
Le gendarme financier aurait décidé de sanctionner les clubs de Montauban et Béziers et de leur retirer plusieurs points au classement.
Juste avant les fêtes de Noël, voilà une nouvelle qui va faire perdre le sourire à plusieurs clubs de Pro D2. En effet, le gendarme financier aurait décidé d’agir et de taper sévèrement sur Béziers et Montauban. La conséquence : un retrait de points au classement.
Selon les informations d’Actu Rugby, le club de Béziers, en raison d’un problème administratif, devrait se voir retirer la bagatelle de trois points. Alors que l’ASBH enchaînait les bons résultats, symbolisés par une sixième place au classement, le club héraultais pourrait donc passer de 40 à 37 unités au classement. Il ne perdrait toutefois aucune place. Cette sanction serait accompagnée d’une amende.
Deux points en moins pour MontaubanLa Dépêche du Midi rapporte par ailleurs qu’un autre club va être épinglé : Montauban. La DNACG aurait décidé de lui enlever deux points au classement et de lui infliger une amende de l’ordre de 15 000 euros (dont 10 000 avec sursis). Cela pourrait faire chuter Montauban de la 11e à la 13e place au classement.
Les dirigeants montalbanais auraient déjà prévenu les joueurs ainsi que les partenaires et actionnaires du club. Une saison galère pour Montauban, qui en début de saison s’était vu bloquer neuf licences en raison de soucis financiers.
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L’ USM en état d’urgence résultat
Troisième défaite de l’année à Sapiac face à Béziers […]
Ils espéraient se rassurer après la déroute d’Oyonnax. C’est raté. C’est plus le contexte de la défaite face à Béziers vendredi soir qui interroge. L’USM a-t-elle les moyens de réagir ?
Après le bel hommage rendu à Louis Blanc le capitaine de l’équipe championne de France 1967 disparu en début de semaine, on ne savait pas qu’en ce 21 décembre le Père Noël allait se comporter «en ordure» pour parodier un film célèbre. Pourtant, tout avait très bien commencé, les coéquipiers de Pierrick Esclauze avaient les clés du camion ; ils marquent deux essais par Pierre Klur bonifiant un beau travail de Thomas Fortunel et Florent Domenech et par Pierre Sayerse sur une offrande de Pierre Klur. 15 à 0, à la demi-heure de jeu. Montauban domine en mêlée, Karim Kouider entre et les choses changent. Comme si Béziers venait de planter le panneau Stop sur le terrain et que le camion «vert et noir» coupa le moteur qui ne voulut plus redémarrer. Les erreurs allaient se multiplier, allant d’une confusion malheureuse, à l’impossibilité de réagir pour faire reculer un adversaire qui venait d’être lourdement sanctionné par la DNACG – trois points en moins au classement – mais dont les joueurs semblent faire corps avec le staff, David Gérard disant «la décision de la DNACG nous fait mal. Sportivement on a montré un signal fort ce soir. Cela peut-être à nous le sportif notre seule réponse. Le reste est le travail des dirigeants». L’histoire des points retirés par la DNACG (deux pour Montauban qui va faire appel) ne pouvait pas être l’argument massue pour expliquer la défaite tarn-et-garonnaise. «Béziers s’est vu retirer plus de points que nous. Si la décision de la DNACG en était la raison, elle aurait dû faire perdre les Héraultais» pointait le président Jean-François Reygasse.
Passer du silence à la parole
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‘Alors que le championnat de Pro D2 va reprendre ses droits dans les prochains jours, avec un déplacement à Bayonne pour l’US Montauban vendredi soir, Pierre Philippe Lafond a lui annoncé aux joueurs sapiacains qu’il ne serait plus leur entraîneur la saison prochaine. C’est en tout cas ce que rapporte Rugbyrama ce lundi… De quoi susciter certaines interrogations du côté de Jeff Dubois, comme il le confiait il y a quelques semaines ? »
source tribunesports.netce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Montauban récupère ses deux points
Publié le 15 février 2019 à 12H45 Aurélie SACCHELLI
« Selon La Dépêche du Midi, l’US Montauban (Pro D2) a récupéré les deux points perdus sur tapis vert en décembre suite à la décision de la DNACG. Cela ne l’empêche pas de rester treizième du classement. »
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Colomiers – Montauban : lourdes sanctions après des bagarres entre joueurs
« La Ligue Nationale de Rugby (LNR) a dévoilé les sanctions envers les clubs de Pro D2 Colomiers et Montauban après des bagarres entre joueurs lors de 24ème journée de championnat. Le premier écope de 9 000 euros d’amende tandis que le second écope lui de 12 000 euros d’amende.
Colomiers et Montauban ont été lourdement sanctionnés mercredi par la commission de discipline de la Ligue nationale de rugby à la suite de bagarres entre joueurs des deux équipes, le 15 mars en Championnat de Pro D2. Colomiers et Montauban ont écopé respectivement de 9 000 et 12 000 euros d’amende pour le motif de « bagarres entre joueurs ».
Une amende supplémentaire de 10 000 euros a été infligée à Colomiers en raison de « désordres occasionnés par des joueurs, des dirigeants et/ou le public d’un club ou des clubs en présence » et plus particulièrement pour « irruption d’une ou plusieurs personnes non autorisée(s) dans une des zones réservées à la compétition avec incident ».
Le Columérien Romain Memain et le Montalbanais Pierre Klur, les deux joueurs exclus à l’origine des bagarres, ont été suspendus pour deux semaines, le premier pour « brutalité » et avoir « donné un coup de poing », le second pour « infractions verbales et provocations » et plus particulièrement pour « insulte », a expliqué la LNR.
Et comme Pierre Klur a été également reconnu responsable de « brutalité » et plus particulièrement d’avoir « donné un coup de poing », le degré supérieur de l’échelle de gravité a été retenu. Par conséquent, le joueur a été suspendu pour un total de neuf semaines. »
source http://www.ouest-france.fr
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Ca bouge grave dans le Tarn et Garonne !!!
BRISCADIEU n’est pas conservé à Montauban
LILO n’est pas conservé à Montauban
HADDON n’est pas conservé à Montauban
ESCLAUZE n’est pas conservé à Montauban
TEKASSALA n’est pas conservé à Montauban
SUKANAVEITA n’est pas conservé à Montaubance qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
De Toulouse à Montauban, le jeune troisième ligne a changé de monde. Vendredi, Alexandre Loubière pourrait faire ses grands débuts dans le monde professionnel. Et il est déjà très attendu …
Arrivé en droite ligne des Espoirs du Stade Toulousain, dans la valise de Jean Bouilhou, le troisième ligne n’a pas tardé à se montrer à son avantage. Gageons que pour la première à Sapiac vendredi, il sera du groupe «vert et noir». Une chose est certaine, Alex aborde cette première saison au plus haut niveau avec une sacrée grinta.
Enfin, c’est pour maintenant (sourire). Nouveau club, nouveau groupe, nouveau niveau, je n’ai qu’une seule envie, rentrer sur la pelouse pour y aller même si les coachs ne communiquent le groupe que demain.
Qui dit nouveau club dit bizutage. C’est quoi les bizutages à l’USM ?
Ça va, c’est correct (sourire). Début juillet, les nouveaux dont moi ont été obligés de se balader dans les rues de la ville déguisés. C’était cool.
Et Alex Loubière il était déguisé en quoi ?
Avec ma petite moustache, ça tombait un peu sous le sens que ça soit «Super Mario» (rires).
Est-ce que ça va être un «Super Alex» alors cette saison ?
Je l’espère de tout cœur !
En tout cas, vous vous êtes déjà fait remarquer ?
Je me sens bien, l’intégration avec le groupe s’est merveilleusement passée, le plan de jeu prôné par les entraîneurs me convient très bien. Je me régale. On essaie de mettre en place un jeu de mouvement qui nous fait plaisir et qui fera plaisir aux supporters.
Pas de round d’observation donc ?
Je ne me pose pas trop de questions en fait ; pas tête baissée quand même mais je me donne toujours à fond (sourire).
On a la pression de faire sa place lors des matchs de préparation quand on est nouveau ?
Non, je n’y pensais pas trop. Le plus important était de donner tout ce que j’ai et ensuite advienne que pourra.
Et pas question de piston, vous qui arrivez dans la valise de Jean Bouilhou ?
Surtout pas ! C’est sûr que l’on se connaît mais les compteurs sont remis à zéro. Je ne suis pas sûr que ce soit un réel avantage.
La saison dernière, vous étiez capitaine des Espoirs du Stade mais plus cette saison. Ça fait des vacances ?
C’est sûr que j’aurai moins de responsabilités cette année ; je redeviens un petit soldat (rire). Au Stade, j’avais le brassard sur le terrain mais aussi j’étais chargé d’organiser des choses avec l’équipe… Là, je vais un peu plus me laisser porter. Je suis là un peu plus sur la pointe des pieds (sourire).
Mais la Pro D2, c’est quand même un niveau au-dessus ?
Bien sûr même si les matchs de préparation n’étaient qu’un avant-goût. Je suis certain que ça va monter encore d’un cran à partir de vendredi.
Que ce soit ce vendredi ou plus tard, vous stressez ?
Ce n’est pas de l’appréhension mais plus l’envie d’y être, voir ce que ça donne contre les meilleurs.
Un regret de voir des potes jouer en première avec le Stade la saison dernière et pas vous, qui étiez le plus âgé ?
Avec le recul, non. A mon poste, il y avait une sacrée concurrence en une. Et c’est en les regardant jouer qu’on progresse.
En venant à Montauban, vous avez souhaité franchir un cap ?
Après treize années passées au Stade toulousain, j’avais envie d’un nouveau challenge. L’opportunité de venir à Montauban s’est présentée et je n’ai évidemment pas hésité. Ça fait du bien de changer d’air, de découvrir un nouveau cadre. Comme j’ai déménagé je suis maintenant à 100 % Montalbanais (sourire).
Comment abordez-vous ces trois rencontres à domicile lors des quatre premières journées ?
Surtout que l’on affronte deux promus qui n’auront rien à perdre. À nous de tout faire pour montrer qu’à Sapiac c’est compliqué (sourire). C’est un stade réputé, avec beaucoup de ferveur quand les résultats sont bons. Notre but cette saison est de faire tout notre possible pour proposer du beau jeu et des victoires.
Propos recueillis par Laurent Lasserre ladepeche.fr
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Un déficit « prévisible » de 1,7 M€ en fin de saison
L’USM a annoncé hier par communiqué qu’il s’attendait à être en déficit à la fin de la saison. Le club demande un effort financier à ses partenaires par la voix de son président Jean-Claude Maillard.
Lors de son arrivée en novembre 2019 à la présidence de l’USM, Jean-Claude Maillard était décrit par Brigitte Barèges, le maire de Montauban, comme l’homme providentiel. « On attendait le miracle et il est arrivé », expliquait la candidate à sa propre succession lors de la présentation de l’industriel lotois aux partenaires du club tarn-et-garonnais, dans l’enceinte de Sapiac. Jean-Claude Maillard, qui devait investir plus d’un million et demi d’euros dans les caisses sapiacaines, a alors dressé un tableau très appétissant de ses ambitions : « le Top 14 d’ici cinq ans ».
Pour réaliser ce rêve, le patron de l’entreprise Figeac Aéro a commencé par changer à petites touches la réalité du club tarn-et-garonnais. Plusieurs joueurs sont venus renforcer l’effectif. C’est notamment le cas de Dion-Évrard Oulai, deuxième ligne venu de Bayonne (Top 14), qui s’est affirmé comme un des meilleurs joueurs de l’effectif. Le club a aussi recruté Ramon Ayarza et Benson Stanley en tant que jokers médicaux, fait revenir sous forme de prêt Christopher Vaotoa et devait faire signer Nacanieli Narekuva.
source ladepeche
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