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15 mai 2017 à 10 h 30 min #3880JENMaître des clés
Piliers : Max Curie (25 ans, Albi), Jonathan Garcia (32 ans, Vannes), Terry Philippart (25 ans, Montauban), Nemo Roelofse (21 ans, Albi), Jordan Seneca (25 ans, la Rochelle)
Talonneur : Jean-Philippe Genevois (30 ans, Perpignan)
2ème lignes : Frank Bradshaw (Auch), Thomas Ceyte (26 ans, Dax), Bastien Chalureau (25 ans, Perpignan)
3ème lignes : Gautier Gibouin (28 ans, Montauban), Jason Fraser (26 ans, Wildeklawer Griquas), Fred Quercy (25 ans, Albi)
Ouvreur : Mathieu Bélie (29 ans, Perpignan)
Centres : Conor Trainor (28 ans, Vannes), Naquiri Kunavore (23 ans, Albi)
Ailier : Jean-Yves Zebango (25 ans, Silverstorm El Salvadoz)
Arrière : Loïc Le Gal (24 ans, Albi)rugbytransferts
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
19 mai 2017 à 11 h 27 min #45795JENMaître des clésPiliers : Max Curie (25 ans, Albi), Jonathan Garcia (32 ans, Vannes), Terry Philippart (25 ans, Montauban), Nemo Roelofse (21 ans, Albi), Jordan Seneca (25 ans, la Rochelle)
Talonneur : Jean-Philippe Genevois (30 ans, Perpignan)
2ème lignes : Frank Bradshaw (Auch), Thomas Ceyte (26 ans, Dax), Bastien Chalureau (25 ans, Perpignan)
3ème lignes : Gautier Gibouin (28 ans, Montauban), Jason Fraser (26 ans, Wildeklawer Griquas), Fred Quercy (25 ans, Albi)
Ouvreur : Mathieu Bélie (29 ans, Perpignan)
Centres : Conor Trainor (28 ans, Vannes), Naquiri Kunavore (23 ans, Albi)
Ailier : Jean-Yves Zebango (25 ans, Silverstorm El Salvadoz)
Arrière : Loïc Le Gal (24 ans, Albi)rugbytransferts
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
15 août 2017 à 23 h 29 min #75952obelix40ParticipantBienvenue chez les pros : 20 joueurs non conservés , dont 4 encore sous contrat .
Notre ex -montois Duvallet en a fait les frais : 20 matchs sur 22 titulaire et le premier jour des vacances , on lui annonce qu’il n’est pas conservé 😈 La classe Nevers …..16 août 2017 à 8 h 27 min #75953Magret40ParticipantC est ça d avoir un.président riche..nevers sera sûrement en top 14 dans quelques années…
19 avril 2018 à 10 h 14 min #129614JENMaître des clésVoilà qui a le mérite d’être clair !!!
«Trois ans pour toucher le Graal»
La première saison de l’USON Nevers s’est terminée sur une septième place très honorable, pour un promu qui a de l’appétit.
Sans perdre de temps, l’USON Nevers veut poursuivre son ascension et capitaliser le plus rapidement sur sa belle première saison en Pro D2, conclue à la septième place. « En début de saison, j’avais annoncé que nous voulions finir dans les dix premiers, parce que ça correspond à nos moyens mais aussi au travail mis en place depuis des années. Cela valide nos investissements, nos choix économiques et notre fonctionnement. Et si on est là, c’est parce que les années où nous n’avions pas réussi à monter nous ont servis. On a pris de l’expérience dans ces moments-là où on n’a pas cessé de travailler. Le bilan de cette saison, il repose sur le travail des sept ou huit dernières années », insiste Régis Dumange.
« L’USON est le club Lego. On monte, on démonte
et on remonte »La réussite, sportive et populaire, du club neversois se base sur le refus de l’immobilisme et la volonté permanente d’innovation, la même recette mise en place par la famille Dumange pour son entreprise, Textilot. « Nous sommes des éternels insatisfaits. Aujourd’hui, la saison est pleine de satisfactions, mais on regarde ce qui n’a pas fonctionné pour l’améliorer, par l’innovation et la création. C’est notre politique familiale. L’USON est le club Lego. On monte, on démonte et on remonte. Comme le stade, on aurait pu faire du béton et que plus rien ne bouge. Mais avec du modulable, tout peut évoluer.
Le Pré-Fleuri va d’ailleurs encore faire peau neuve pour la saison prochaine. « On va améliorer les infrastructures, ce sera un nouveau concept de stade. Et puis à l’avenir il pourra être porté à une capacité de 10.000 personnes, même si on manque encore de parkings pour cela. Mais si la saison prochaine il y a tout le temps 7.500 personnes au stade, il faudra monter une quatrième tribune pour le futur. »
En terminant à une place de la qualification, l’USON a validé son mode de fonctionnement et s’est mis en appétit. « Il y a quand même une forme de regret de ne pas se qualifier.»
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31 mai 2018 à 9 h 51 min #131507JENMaître des clés« Nevers est en train de devenir une terre de rugby »
Le demi d’ouverture formé à Toulouse revient sur la bonne saison du promu nivernais achevé à la septième place. L’occasion de revenir avec lui sur les futures ambitions de l’équipe entraînée par Xavier Péméja.
~ Rugbyrama : Nevers termine septième du championnat en étant promu. Comment jugez-vous cette saison 2017-2018 ?
Mathieu Bélie : On a démarré difficilement. L’équipe était un peu dans l’inconnu, car le groupe a été renouvelé à 60-70% par rapport à la saison passée. Cela a mis du temps à se mettre en place et le collectif a dû se roder. Puis au fur et à mesure de la saison, il y a eu une forte concurrence qui s’est mise en place entre les joueurs, mais toujours dans une bonne ambiance. Cela fait qu’on arrive à atteindre cette septième place, qui était au-dessus de nos objectifs.
~ Habituellement il y a toujours une appréhension pour les promus qui débarquent en Pro D2. Cela n’a pas été le cas avec Nevers ?
M.B. : Cette inquiétude est vite partie même si lors des premiers matchs il y avait de l’appréhension parce que l’on partait dans l’inconnu. La mayonnaise a bien pris grâce au recrutement de qualité à l’intersaison. Dans l’effectif, il y avait beaucoup de joueurs d’expériences, mais aussi des jeunes joueurs à fort potentiel. Sans compter les joueurs du club qui avaient connu pas mal d’années en Fédérale 1 et qui se sont révélés cette saison. On a été bien physiquement avec peu de pépins dans l’ensemble. Tout cela fait qu’on est monté crescendo au fil de la saison.
~ Les performances que vous avez réalisées face à certaines grosses écuries à domicile montrent que vous avez rapidement assimilé le niveau du championnat…
M.B. : Oui, clairement. À domicile, on a été serein grâce au public. On a tout fait pour que cela soit « chiant » de jouer à Nevers. L’équipe a été très performante à la maison contrairement à l’extérieur où, à part en fin de saison, on a été plutôt défaillant tout au long de la compétition.
~ Justement au vu de votre fin de saison, n’êtes-vous pas déçu de ne pas accrocher les phases finales ?
M.B. : C’est sûr que quand vous faîtes cette fin de saison, vous vous dîtes que si vous n’aviez pas laissé échapper quelques matchs comme celui à domicile contre Béziers [12-19 lors de la 7e journée, ndlr] perdu assez bêtement et certains matchs à l’extérieur où l’on peut gagner et qu’on ne prend pas les points… Après il ne faut pas faire la fine bouche non plus, cette 7e place est super, car cela permet au club de continuer à se construire et à progresser d’année en année.
» Pour une première année en Pro D2, viser la 10e place c’est quelque chose de cohérent »
~ Nevers dispose du cinquième budget de Pro D2, l’objectif initial de terminer dans les 10 premiers n’était-il pas un peu « réducteur » ?
M.B. : Cet objectif de début de saison a été plutôt bien analysé. Pour moi cela n’est pas « réducteur », car il y a eu énormément de changement à l’intersaison. On a fait un départ qui n’était pas terrible. Il a fallu du caractère et de la persévérance pour bien travailler et ne pas s’effondrer. Après c’est sûr que sur la fin de saison, on peut dire qu’on n’a peut-être pas été assez ambitieux. Pour une première année en Pro D2, viser la 10e place c’est quelque chose de cohérent.
~ Quelles sont vos impressions sur le club de Nevers ?
M.B. : Nevers est en train de devenir une terre de rugby. En tout cas on fait en sorte que ça le devienne que cela soit la direction, le staff ou les joueurs. On veut que cela devienne un club sérieux du rugby français. […] Il y a eu vraiment de grosses affluences au stade et on se sent soutenu. Après il y a plus de spectateurs que de supporters par rapport à d’autres clubs. Ce qui est normal puisque le club est novice au haut niveau.
~ Au niveau des infrastructures, tu as été surpris par la qualité des installations ?
M.B. : Oui, surpris. J’ai joué à Brive et Bayonne en Top 14, il y avait la moitié de ce que l’on a là. Perpignan, idem. C’est un club qui est très intelligemment géré qui ne se focalise pas uniquement sur les joueurs, mais aussi sur les infrastructures, sur les à-côtés ce qui est très agréable au quotidien pour un joueur.
Quel est l’objectif du club pour la saison prochaine ? La montée en Top 14 ?
M.B. : Non. De là à dire qu’on va jouer la montée je ne pense pas. Par contre, les ambitions vont bien sûr être plus hautes, cela sera certainement d’être dans les 8 premiers. Et pourquoi pas aller chercher une qualification. Si on fait un gros début de saison, on peut rêver…
« Je me suis senti à l’aise, tout n’a pas été parfait, mais j’ai donné le meilleur de moi-même »
À titre personnel,[…] Lire la suite
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28 juillet 2018 à 20 h 42 min #132389JENMaître des clésL’USON Nevers a battu Béziers (22-21), au terme d’un premier match amical encourageant, à Camarès, dans le cadre du Challenge-Vaquerin.
Mené pendant deux tiers-temps, les Neversois ont su se montrer solides jusqu’à la fin, pour prendre l’avantage sur un essai de Zebango.
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19 août 2018 à 16 h 47 min #132887puma40Participant1) Nevers / 12,4 plus gros budget .MDM 10ième 6,795 .
29 novembre 2018 à 17 h 45 min #137209JENMaître des clésRetraité précoce des terrains, Thibault Duvallet est devenu éducateur à l’USON Nevers : « La flamme ne s’est pas éteinte, mais… »
» À défaut d’être un joueur de Pro D2 avec l’USON Nevers, Thibault Duvallet est devenu entraîneur des U15. Une reconversion arrivée plus vite que prévu, qu’il embrasse avec philosophie.
La plaie n’est pas totalement cicatrisée. Acteur majeur de l’USON Nevers en Fédérale 1 (79 matches et 642 points de 2013 à 2017), Thibault Duvallet a fini sa carrière de joueur sur une montée en Pro D2, une division qu’il connaît bien (114 matches entre 2007 et 2012 avec Bordeaux-Bègles et Mont-de-Marsan). Mais qu’il souhaitait retrouver au Pré-Fleuri.
L’ouvreur ou arrière, évincé de l’équipe première au printemps 2017, malgré un contrat le liant encore au club neversois, aurait pu faire valoir ses qualités de buteur en Fédérale 1. « J’ai eu des propositions. Mais l’envie n’était plus là. Mes filles étaient inscrites à l’école, ma femme allait reprendre le boulot, on venait d’acheter une maison à Marzy. Je ne pouvais pas quitter la Nièvre. »
Les jeunes, ce sont des éponges. On peut leur apprendre un maximum de choses.
Son après-carrière lui est tombée dessus à 31 ans. « Je ne pensais pas basculer aussi vite. » Dans l’ombre de l’équipe professionnelle, Thibault Duvallet reçoit une proposition de l’association pour coacher les U15 (qui évoluent cette saison au niveau National U16). « Quand je jouais à l’UBB, je donnais un coup de main à l’école de rugby. Transmettre m’a toujours plu. Les jeunes, ce sont des éponges. On peut leur apprendre un maximum de choses. » Et il en sait quelque chose : « Adolescent, quand j’étais sur le terrain, c’était le seul moment où je n’étais pas pénible, où j’écoutais. Sinon, à l’école, je passais mon temps à faire le con. »
L’œil de l’ancien professionnel
Thibault Duvallet (en binôme avec Solomone Francis la saison dernière et avec Manaia Salavea cette saison) prend goût à son nouveau rôle : « C’est intéressant de faire des réglages à la mi-temps d’un match en fonction de la défense adverse, de la façon dont elle monte, pour trouver les zones à attaquer », explique celui qui profite pleinement de son expérience d’ancien professionnel : « Je vois peut-être un peu plus vite certaines choses que d’autres. » Il le faut : « Même chez les jeunes maintenant, les systèmes défensifs sont bien organisés. Le jeune joueur est de plus en plus intelligent, de plus en plus tôt », observe Thibault Duvallet, qui se souvient de ses débuts en Top 14, à Biarritz, à 19 ans. « Je n’ai peut-être pas bossé comme j’aurais dû, j’ai fait la fête. Après, je ne veux pas paraître comme le vieux con auprès de mes joueurs. De toute façon, avec mes U15, pas besoin : ils n’ont pas encore l’âge de boire des bières (sourire). »
Je ne me vois pas du tout dans le staff de l’équipe première de l’USON dans quelques années. J’ai eu tellement peu de week-ends pendant treize années.
Joueur calme, Thibault Duvallet s’est mué en entraîneur expressif. « Je ne m’attendais pas à être comme ça. Je gueule beaucoup plus sur la touche que quand je jouais. J’ai besoin de ça pour les aider. Au début, ça m’a fait bizarre ».
Le natif d’Orléans, expatrié à Périgueux dès ses 2 ans, s’accomode de sa nouvelle vie, sans se projeter trop loin. « Je ne me vois pas du tout dans le staff de l’équipe première de l’USON dans quelques années. J’ai eu tellement peu de week-ends pendant treize années. Là, ce n’est que le samedi avec les jeunes. La flamme ne s’est pas éteinte, mais à un moment donné, il va quand même falloir que je fasse une pause. L’année prochaine?? Dans cinq ans?? »Je ne suis même pas retourné au Pré-Fleuri depuis la montée. C’est particulier pour moi. Les supporters sont gentils, mais ils me reparlent de la fin de mon histoire de joueur à l’USON.
En juin, il devrait quand même valider son BPJEPS (prevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport) après deux ans de formation. « Pour animer dans les écoles, par exemple. Et j’envisage de passer le diplôme d’État, qui permet d’entraîner jusqu’au niveau professionnel. Mais je n’ai pas envie de me retrouver dans un staff de Top 14 ou de Pro D2. »
Le monde professionnel est derrière lui. « Je ne suis même pas retourné au Pré-Fleuri depuis la montée. C’est particulier pour moi. Les supporters sont gentils, mais ils me reparlent de la fin de mon histoire de joueur à l’USON. J’ai quand même promis à l’une de mes filles que j’allais l’emmener au stade.»
source lejdc.fr
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1 janvier 2019 à 18 h 24 min #138243JENMaître des clésL’USON Nevers a confirmé les signatures du demi de mêlée Joris Cazenave (Colomiers) et du deuxième ligne Christian Njewel (Oyonnax) pour la saison prochaine.
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11 avril 2019 à 9 h 49 min #141621JENMaître des clésUn choc qui vaut très cher : le perdant de Nevers-Béziers, jeudi (20h45) en ouverture de la 28e journée de Pro D2, abandonnera probablement en grande partie ses espoirs de participer aux barrages.
Ce ne sera pas le seul choc à fort enjeu … suivez mon regard …
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11 avril 2019 à 11 h 48 min #141635bersylParticipantCa m’étonnerait que Nevers perde chez lui après la prestation qu’ils ont fait à Oyonnax avec beaucoup de remplaçants, quand aux biterrois, ils font (un peu) tourner avec une charnière new look.
Côté Nevers, rentrée de Raisuque qui a purgé sa peine, il va avoir du gaz pour la fin de saison !!!11 avril 2019 à 14 h 33 min #141646PesageModérateurOuais, on peut dire que Raisuque est dans le vent!!
11 avril 2019 à 14 h 39 min #141648John DecoeurParticipantNon, Pesage, il va pouvoir s’éclater!!!
10 mai 2019 à 20 h 27 min #143067JENMaître des clésLa compo de Nevers pour rencontrer Bayonne en match de barrage
Le Gal – Raisuqe – Naqiri – Bolakoro – Bonvalot – (o) Urruty – (m) Falealii – Quercy – Fabrègue – Kazubek – Ceyte – Bradshaw – Roelofse – Elliott et Sénéca.
Sur le banc:
Genevois – Mataradze – Toleafoa – Fraser – Cotte – Berger – Derrieux et Lolohea.ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
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