Et oui en restant sérieux, c’est un sacré constat!
Après la faute est à nos clubs et infrastructures incapables de conserver ces pépites, et je me répète l’argent ne fait pas tout loin de là.
Parce que les intérêts perso passent avant les intérêts communs, une carrière de rugby ne se résume pas aux 10 ans passés au haut niveau et au top physique…. c’est la vie d’après-rugby que nos clubs devraient être en mesure de mettre en avant pour permettre à de tels joueurs de rester.
Et si ces joueurs restaient, nous n’aurions pas besoin d’aller en chercher ailleurs…c’est un cercle vicieux. Laissons donc ce système (actuel) partir en vrille seul (cf article de la Dépêche à propos de Dal Maso et ce qu’il évoque en termes de « prix à payer »), si nous sommes un peu moins bêtes que les autres, les dommages collatéraux seront limités.