SM – ASR dans Midol

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  • Ce sujet contient 3 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Avatar photomitch40, le il y a 13 années et 2 mois. This post has been viewed 309 times
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    Avatar photomounlight
    Modérateur

    Aujourd’hui dans Midol:

    Les montois lancent leur saison

    Sur la bonne pente

    Brèves

    .

    Également dans Sud-Ouest:

    La mêlée retrouvée

    Défaillante lors des trois premiers matches de championnat, la mêlée des jaune et noir s’est de nouveau montrée à son avantage hier.

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    La mêlée montoise a «rapporté six points», se félicitait Marc Dal Maso après le match (ph. L. Dequier)

    La mêlée était jusqu’ici la grosse tache du début de saison montois. Et si un match réussi ne suffit évidemment pas à prétendre le problème réglé, la prestation d’hier face à La Rochelle a au moins eu le mérite de rassurer, du côté de la préfecture landaise, comme l’explique Julian Fiorini : « On n’a pas non plus été des extraterrestres puisqu’on a peut-être obtenu une pénalité de plus qu’eux sur cette phase de jeu. Ce n’est pas extraordinaire. Mais c’est important, car cela nous donne de la confiance. »

    La touche est stable aussi

    En souffrance face à Aix-en-Provence, d’où les jaune et noir étaient repartis bredouilles, ainsi qu’à Grenoble, avant qu’elle ne leur permette finalement d’arracher le bonus défensif, hier, la mêlée fermée montoise a « rapporté six points » au Stade, comme le signale Marc Dal Maso, satisfait que son équipe se soit « rassurée sur beaucoup de points » du jeu. Et en revanche, il n’y a qu’à la 23e minute où elle a coûté des points aux joueurs montois, avec à la clé une opportunité réussie par Fauqué, d’inscrire trois points au tableau d’affichage.

    Mieux, une mêlée stable – comme la touche d’ailleurs – c’est autant de munitions pour des lignes arrière affamées. « On a vu ce que cela pouvait donner lorsque nous conservons nos ballons », se félicite Julian Fiorini, qui ne veut toutefois pas que son équipe s’endorme sur ses lauriers. « On prend encore deux ou trois pénalités sur mêlée : c’est trop. On perd aussi un ou deux ballons en touche. Il faut continuer à travailler, mettre encore un peu plus de combat, être plus agressif. Et derrière, on a les joueurs pour aller marquer des essais. » Hier, les trois-quarts ne se sont d’ailleurs pas fait prier.

    et l’article du jour


    > ICI

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    Puis côté Rochelais..

    Collazo : « On repart avec zéro point, mais ce n’est pas grave »

    Malgré la défaite, Patrice Collazo voulait avant tout retenir la réaction de ses joueurs.

    « Sud Ouest ». Vous disiez avant le match vouloir être attentif au comportement de vos joueurs. Avez-vous senti du mieux par rapport à dimanche dernier ?
    Patrice Collazzo. Le paradoxe est qu’on repart avec zéro point, comme à Albi la semaine dernière, Mais je crois que les joueurs ont montré, peut-être pas de belles choses, mais des qualités qui sont essentielles dans le rugby. Ils avaient beaucoup d’envie. Elle a d’ailleurs été mal canalisée par moments, ce qui fait que nous avons été beaucoup sanctionné. Mais aujourd’hui, j’ai vu une défense qui avançait, j’ai vu des joueurs qui allaient sur le ballon. On va continuer à travailler car la conquête a été défaillante selon moi aujourd’hui. Mais ce sera plus facile à travailler maintenant qu’on a la base, c’est-à-dire l’envie et l’engagement.

    Vous repartez malgré tout avec zéro point…
    Oui, mais ce n’est pas grave. Avec le staff, on était venu cherché d’autres enseignements. L’important, c’était l’image du club. Le classement, on le verra à la fin. On en est à la quatrième journée. On a encore un match avant de finir le bloc. Cela fait zéro point, mais je le répète, ce n’est pas grave. Il y a encore des matches et si on continue comme ça, je pense que cela paiera.

    Comment expliquer que vous n’ayez pas su profiter de votre supériorité numérique, alors que vous étiez pourtant bien dans le match à ce moment-là (57e-67e) ?
    On a une occasion où on arrive sous les poteaux, où les met à mal. Faute, pas faute, l’arbitre était mieux placé que nous… Il faut l’accepter. Aujourd’hui, nous n’avons pas eu les rebonds favorables, on n’a pas eu le petit plus. Mais il faut savoir le provoquer. On est un peu « border-line » entre une équipe qui doute et une équipe qui veut bien faire. Il ne faut pas que l’on penche du mauvais côté, mais je suis content d’être venu ici et d’avoir vu les joueurs défendre. Pas comme la semaine dernière, où ils étaient simplement indéfendables.

    Face à Carcassonne, à domicile, l’objectif sera-t-il avant tout de prendre des points ?
    Oui, comme chaque fois que l’on joue à la maison. Carcassonne est une grosse équipe, qui voyage très bien. On l’a vu à Grenoble et à Tarbes samedi. Ce sera un match compliqué, mais devant notre public, les joueurs auront envie de montrer qu’ils veulent bien faire. Et après ce premier bloc de cinq matches, on fera un petit bilan. Aujourd’hui, on en est à analyser des fautes d’indisciplines et stratégiques. La semaine dernière, il n’y avait rien à analyser. Les joueurs sont extrêmement déçus. La semaine prochaine, ils auront un gros appétit.

    Les Rochelais se rassurent

    Malgré la défaite (22-13), les Maritimes ont retrouvé des valeurs de combat face aux Montois. Parfois mal maîtrisées.

    Vaincus mais soulagés. Après leur piètre production le week-end dernier à Albi, les Rochelais ont montré un tout autre visage hier après-midi sur la pelouse surchauffée de Guy-Boniface. À l’heure du coup d’envoi, Patrice Collazo, très remonté contre ses troupes au soir de la déroute en pays cathare, attendait avec impatience un retour de flamme face à des Montois pas mieux lotis.

    « De retrouver la manière, ce serait positif », avait prévenu l’ancien « pilar » de devoir. Au coup de sifflet final, en dépit d’un compteur points désespérément bloqué, le coach s’est présenté le sourire aux lèvres. « Certes, nous repartons les mains vides, mais rassurés par l’envie affichée par les joueurs. C’est beaucoup plus facile de travailler quand on est dans un tel état d’esprit. »

    Ce quinze rochelais, accrocheur, entreprenant, a bien failli faire basculer le match en sa faveur. À la pause, les Maritimes viraient en tête (8-10). Et durant toute la rencontre, les anciens pensionnaires du Top 14 sont restés dans le match. « On a fait douter les Montois, précise Patrice Collazo. Ça s’est joué à pas grand chose. En deuxième mi-temps on échoue à cinq mètres de leur ligne d’en but et derrière c’est eux qui marquent ».

    Foule de détails

    L’énorme envie affichée durant toute le match a ses revers. Si les Rochelais ont perdu cette rencontre, ils le doivent d’abord à une multitude de fautes sanctionnant leur indiscipline à des moments importants du match. Ils se sont en effet loupés dès la reprise de la deuxième mi-temps. Trois grosses fautes entre la 44e et la 47eminute ont permis aux Montois de reprendre l’avantage au score et de ne plus le lâcher malgré la botte de Sébastien Fauqué (13-14) à la 57e minute.

    « Bien sûr que nous avons commis trop de fautes, avouait le buteur rochelais, surtout au début de la deuxième période ». Patrice Collazo plaidait quant à lui une envie mal maîtrisée : « c’est notre envie de bien faire. Je préfère freiner mes joueurs en sachant qu’aujourd’hui, ils sont largement défendables ». Il n’empêche que les résidents de Marcel-Deflandre peuvent se mordre les doigts. Ils ont en effet eu l’opportunité de plomber le moral des Landais lorsque ceux-ci se sont retrouvés en infériorité numérique après l’expulsion temporaire de Frédéric Urruty (57e).

    Frustration présente

    Mais Leur indiscipline leur fut fatale. C’est paradoxalement au cours de ce laps de temps que le Stade Montois a construit son succès grâce à un essai de Julien Tastet (68e). « Nous devons canaliser notre envie », expliquait Florian Ninard.

    Les joueurs rochelais ont donc quitté le stade Guy-Boniface sans avoir au moins glané le point du bonus défensif. Un sentiment d’inachevé que confirme Florian Ninard : « La frustration est présente car on ne ramène rien d’un déplacement à notre portée. » L’ailier maritime insistait sur la marge de progression de son équipe : « Nous sommes offensivement en reconstruction et défensivement nous devons retrouver nos repères. » De gros réglages que Sébastien Fauqué n’entendait pas occulter : « Il a fallu intégrer de nouveaux joueurs, ce qui a provoqué des changements au niveau du jeu. Je pense qu’on s’est un peu perdu dans les bases. »

    Hier à Mont-de-Marsan, les Rochelais ont peut-être retrouvé le droit chemin, le plus direct, pour recoller en haut du classement. Une redoutable ascension qui passe par un succès samedi face à Carcassonne sur la pelouse de Marcel-Deflandre. Un match, déjà, dans toutes les têtes.

    #10640
    Avatar photoJEN
    Maître des clés

    OUAWWW !!!
    Quelle rubrique en ce lundi matin!!!
    Merci mounlight 😉

    ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !

    #10657
    fiesta 40
    Participant

    merci mounlight 😎

    #10660
    Avatar photomitch40
    Participant

    merci pour ce point presse

    Dans une équipe de rugby, il n'y a pas de passagers, il n'y a qu'un équipage.

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