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, le il y a 11 années et 10 mois. This post has been viewed 317 times
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Aujourd’hui dans Midol:
– Le match
– En bref…
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L’article du jour de Sud-Ouest: « Ça va finir par payer »
Mais aussi: L’important c’est d’y croire
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Le Stade Montois n’est pas passé loin de battre le Stade Toulousain. En tout état de cause, il a fait mentir la statistique qui avait vu les Montois encaisser 148 pts, et en inscrire 27, lors des 3 dernières rencontres face aux Rouge et Noir. Ce match était aussi la rencontre entre la meilleure attaque du championnat avec 37 essais inscrits et la moins bonne, seulement 8. Mais les Toulousains ont joué à l’envers face à des locaux qui ont, eux, crânement tenté leur chance. Ils n’en retirent au final qu’un bonus défensif qui récompense mal leur abnégation mais est finalement à l’image de leur première moitié de saison : du jeu, de la volonté, mais pas ce petit quelque chose qui permet de s’en sortir. Toujours dernier, Mont de Marsan compte huit points de retard sur Bordeaux et Agen, et 18 sur l’Aviron Bayonnais, onzième. Les Montois se rendent à Toulon fin janvier pour un choc des extrêmes. Quant aux Toulousains, après la trêve européenne, ils accueilleront Biarritz. (lnr)
Le soucis, c’est que chaques fois c’est « ont failli » ou « ce n’est pas passé loin » !!! …oui ils ont fait douter Toulouse, mais voilà, il faut gagner de temps en temps, pour le moment ce n’est pas le cas . Gardons espoir…
Novès: « Je me suis emmerdé »
Au lendemain de cette victoire à Mont-de-Marsan, êtes-vous déçu ?
Disons oui et non. Visiblement, d’après ce que j’ai compris, Biarritz y a gagné d’un point la semaine dernière, Clermont a également eu toutes les difficultés du monde pour s’imposer (ndlr : 14-6) et Castres et Toulon y ont remporté le bonus offensif mais dans d’autres conditions. Après, pour rester dans les choses positives, ce match nous a permis de faire rentrer les blessés. C’est également positif puisque nous revenons avec une victoire, ce qui constitue le SMIC puisqu’en permanence, on attend toujours beaucoup de nous. Mais c’est vrai que sur le contenu, je me suis emmerdé sur le bord du terrain hormis les trente premières minutes où on a un peu maîtrisé. C’est donc un résultat mi-figue, mi-raisin.Et le week-end prochain, c’est le retour de la Coupe d’Europe avec la réception de Trevise…
C’est sûr que cette rencontre de Mont-de-Marsan va déboucher sur une semaine intéressante… C’est ce qui pouvait nous arriver de mieux car il ne faut pas s’en cacher, l’objectif face à Trevise sera d’inscrire quatre essais pour empocher le bonus offensif. C’est peut-être le match qu’il nous fallait pour ne pas être rassasié. Une année, nous avions gagné de plus de soixante points à Mont-de-Marsan et en suivant, nous avions été éliminés en demi-finale face à Montferrand.Peut-on parler de manque d’investissement ou d’engagement des joueurs ?
Même pas. Dans l’investissement, on ne peut pas dire que les joueurs ne se sont pas accrochés. Mais c’est sûr, qu’au niveau du jeu, il va y avoir des choses qui vont être mises à l’ordre du jour. Car si on veut marquer quatre essais à Trevise, il va y avoir un changement de direction cette semaine. Il faudra au moins mettre en place un rugby efficace.Existe-t-il au final des choses positives ?
Disons qu’on reste sur deux victoires consécutives. Nous avons pu mettre des joueurs au repos comme Thierry Dusautoir ou Vincent Clerc. C’est une gestion de l’effectif qui se révélera peut-être intelligente à la fin. Les deux retours de nos ouvreurs sont des choses positives alors que l’absence d’ouvreur de métier pendant deux matches a pesé très lourd. Même si nous ne sommes pas dans un comportement de satisfecit…» (ladepeche.fr)Également une interview de Julien Tastet dans rubgyrama:
Tastet: « On nous avait promis l’enfer contre Toulouse… »
Julien Tastet, troisième ligne et capitaine du Stade montois, évoque son sentiment de frustration, n’étant pas passé loin de l’exploit contre Toulouse (12-16).
Quelle est votre analyse après cette défaite contre Toulouse (12-16) ?
Julien TASTET: Nous ne sommes pas passés loin de l’exploit, le groupe a montré beaucoup d’envie et d’application. On nous avait promis l’enfer face à l’ogre toulousain mais on leur a tenu tête. Surtout, nous avons prouvé à tout le monde que nous avons le niveau pour jouer en Top 14.Quelles étaient vos intentions avant le début de ce match ?
J.T.: On avait envie de créer l’exploit, de faire plaisir à nos supporters qui sont présents depuis le début. Maintenant nous ne sommes pas passés loin de l’exploit, il y a beaucoup de positif. Il faut garder la tête haute et aller chercher au plus vite cette première victoire à domicile en championnat.Qu’est-ce qui vous a manqué pour vous imposer ?
J.T.: Malheureusement, nous avons connu quelques problèmes dans le jeu d’occupation. Par moments, nous nous sommes précipités, voulant trop bien faire. Nous perdons sur des petits détails qui ne pardonnent pas face à des équipes de ce calibre.Est-ce que vous regrettez de ne pas avoir mis cette même intensité contre des équipes comme Bordeaux ou Agen qui luttent aussi pour le maintien ?
J.T.: Bien sûr. Si toutes ces victoires étaient là, nous ne serions pas dans la zone rouge du championnat. Maintenant le Top 14 n’est pas fini, nous allons nous battre jusqu’au bout tous ensemble pour aller chercher des victoires et pouvoir se maintenir.Merci Mounlight pour la lecture,par contre 9100 spectateurs recensés sur le midol,je pensais à vue de nez que nous etions 10000 environs mais c’est vrai qu’il devait y avoir un paquet d’invités… 😳
Comme disait le baron de Coubertin, « l’important, c’est de participer »… Les montois participent au Top 14 mais voudraient bien faire plus que cela. Ils n’en sont pas loin ces « Jaune et noir » mais les défaites se suivent et se ressemblent, la faute à un manque de réalisme qui peut faire basculer un match. Nous sommes à la 52e minute, Thibault Duvallet tente une pénalité à 22 mètres décalée sur la gauche, elle tape le poteau puis la barre, Baptiste Chedal qui a bien suivi le coup de pied, capte le ballon, se retrouve à un mètre de la ligne mais le ballon lui échappe. Ces sept points coûtent finalement cher aux Montois, comme à chaque rencontre… Dommage pour cette équipe. Le maintien est certes mathématiquement possible pour les Landais mais assurément, ce qui fait défaut à cette formation, c’est son manque de réalisme.
(Le reste de l’article —> ICI)
Interview de Guy Novès (suite) 😐 :
Toulouse, recadrage attendu
S’il avait fini l’année 2012 par une victoire à Castres (16-18), le Stade Toulousain a commencé l’année 2013 par une prestation poussive samedi à Mont-de-Marsan, seulement sauvée par les quatre points de la victoire (12-16). Guy Novès reconnaît que son équipe va devoir changer de braquet si elle veut décrocher le bonus offensif dimanche contre Trévise en H Cup.
« C’est vrai que sur le contenu, je me suis emmerdé sur le bord du terrain. » Guy Novès n’a pas tourné autour du pot à l’heure d’analyser la poussive victoire de son équipe samedi à Mont-de-Marsan (12-16). A sa décharge, le Stade Toulousain n’est pas la seule équipe à avoir souffert pour s’imposer face au Stade Montois sur la pelouse de Guy-Boniface. Le Biarritz Olympique n’y a gagné que d’un point, et dans la polémique, le week-end précédent (18-19) et Clermont n’avait pas fait beaucoup mieux mi-septembre (6-14). Mais « hormis les trente premières minutes où on a un peu maîtrisé », souligne le manager des Rouge et Noir, cité par la Dépêche du Midi, le double champion de France en titre a fait le strict minimum, jusqu’à trembler dans les dernières minutes. « Nous revenons avec une victoire, ce qui constitue le SMIC puisqu’en permanence on attend toujours beaucoup de nous », résumait, un brin sarcastique, Novès.
S’il ne lève pas la voix, n’en voulant pas à ses hommes – « dans l’investissement, on ne peut pas dire que les joueurs ne se sont pas accrochés » – c’est que l’entraîneur aux dix Boucliers de Brennus (1989, 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2001, 2008, 2011, 2012) voit de cette bouillie de rugby la recette pour mieux rebondir. « Cette rencontre de Mont-de-Marsan va déboucher sur une semaine intéressante, prédisait-t-il à chaud. C’est ce qui pouvait nous arriver de mieux car il ne faut pas s’en cacher, l’objectif face à Trevise sera d’inscrire quatre essais pour empocher le bonus offensif. C’est peut-être le match qu’il nous fallait pour ne pas être rassasié. Une année, nous avions gagné de plus de soixante points à Mont-de-Marsan et en suivant, nous avions été éliminés en demi-finale face à Montferrand. »
Et Novès, qui n’a pas son pareil pour tirer le meilleur de ses hommes, d’annoncer alors: « Au niveau du jeu, il va y avoir des choses qui vont être mises à l’ordre du jour. Car si on veut marquer quatre essais à Trevise, il va y avoir un changement de direction cette semaine. Il faudra au moins mettre en place un rugby efficace. » Et pour y tendre, le staff toulousain peut désormais compter sur ses deux ouvreurs de métier, Luke McAlister et Lionel Beauxis, de retour au bon moment pour offrir au Stade cette alternance dans le jeu qui lui fait défaut depuis plusieurs semaines. « Nous avons pu mettre des joueurs au repos comme Thierry Dusautoir ou Vincent Clerc. C’est une gestion de l’effectif qui se révélera peut-être intelligente à la fin », ajoutait le patron des Rouge et Noir, qui pourra également compter sur le retour de Christopher Tolofua, remis de son coup à la hanche contractée face aux Ospreys le 15 décembre dernier. Histoire d’avoir enfin à ses côtés son entraîneur des avants, William Servat, contraint de rechausser les crampons pour dépanner au talon, même si ce dernier lui a offert le week-end dernier la seule éclaircie du match en y allant de son essai…
(source: rugbynews)
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