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Macha est souvent très bon quand il rentre mais quelques fois en difficulté quand il est titulaire.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Un jocker médical par définition remplace un joueur blessé sur la durée. Pourquoi y aurait-il une date limite ? Les clubs jugent suivant l’avancement de la saison qui conditionne l’adaptation du jocker, les possibilités en interne et la disponibilité d’un joueur dont le profil convient et surement aussi un peu des finances, de la pertinence du recrutement.
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A-t-on vraiment besoin de savoir tant que rien n’est acté ?
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Cette année Grenoble est un candidat déclaré aux phases finales, un parmi tant d’autres, redoutable certes mais pas plus que les autres. Ils sont actuellement sur une phase ascendante, toutes les équipes, à leur niveau, traversent des hauts et des bas, ils sont en haut, ils auront un coup de moins bien. Je pense que le Stade n’a pas encore accédé à cette période, le retour de joueurs importants va nous y aider. La fin de saison c’est pour nous.
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Nous sommes, d’après les commentateurs de la chaîne cryptée, les meilleurs dans ce domaine… Avec l’excellent Loustalot 😉 !
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. Ensuite quand on voit comment Bayonne maitrise son sujet en Top 14 on peut comprendre leur performance en finale, et par là même relativiser notre échec. Mais nous, serions nous capable de produire un tel jeu au niveau au dessus? On a aussi pu se rendre compte contre Béziers qu’un jeu fait de vitesse et d’évitement est payant.
On aimerait partager cette vision, mais ( car il y a toujours un mais ..!) Il ne faut pas perdre de vue que Bayonne a changé tout son staff suite à son accession et s’est dotè de joueurs capés tels que des Machenaud , lopez … et bien d’autres ! On ne peut pas dire que nous ayons affronté les mêmes en finale. Cependant, je te rejoins quand tu parles de vitesse de jeu pour déjouer la défense adverse, il n’est pour s’en convaincre que d’avoir regardé le match de Dimanche entre le S.Toulousain/Racing … du caviar ! Or, on ne peut pas dire que cette tactique fasse couramment partie de nos habitudes … dommage !
Je veux bien pour Lopez, mais Machenaud est second dans la hiérarchie, c’est Rouet, souvent poussif l’an passé, qui joue. Hormis les 2 joueurs pré-cités le reste du recrutement à été fait en pro D2. Feront-ils la même saison l’an prochain avec le recrutement XXL qui s’annonce ? Rien n’est moins sûr ! Encore une fois si on privilégie la cohésion, le groupe, on avance. Je me suis rendu compte également que sur un phase de conquête comme la mêlée, les basques cassent la gueule à tout le monde, l’an passé, ne serait-ce que contre nous, ils avaient beaucoup plus de mal.
Si nous avons échoué en finale, ce n’était pas dû à une différence de qualité, seulement à un état de forme favorable à ce moment là aux Bayonnais.
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Il ne faut toutefois pas oublier que si nous avons pu mettre de la vitesse, c’est parce que nous avons pu libérer nos ballons plus vite, en avançant, et ça nous le devons à nos avants. Si ça va vite derrière, si on trouve les espaces, on le doit bien sûr à la qualité de nos 3/4, bien que pas mal de ceux qui étaient présents sur la pelouse jeudi aient fait l’objet, ici, de critiques acerbes, mais aussi à celles d’une ligne d’avant extrêmement performante malgré les blessures. On ne peut pas décréter un jeu fait de vitesse et d’évitements mais seulement le favoriser en mettant l’adversaire sur les talons dès les premières charges des gros. Le Stade pratique désormais le jeu d’une équipe en forme et quand il y a quelques mois, on allait au sol, on joue désormais plus dans la défense, debout, ça change tout et premier lieu la qualité du replacement d’une défense adverse aux abois et ensuite celle de nos libérations.
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Bien sûr ce sera le haut !
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Beaucoup de joueurs ont brillé jeudi soir, ce n’est pas la peine de les citer tant ils se sont fait remarquer, dans le lot certains d’entre eux sont dans la continuité d’une saison exceptionnelle, d’une régularité dans la performance rassurante et qui est le garant de la solidité de l’effectif. Loustalot bien sûr tout a été dit sur ce forum et ailleurs sur la phénoménale saison qu’il réalise, sur l’influence qu’il a dans ce groupe, il nous fait même oublier le départ de Pépito tant il maitrise tous les aspects du poste. On pourrait citer Even, trop souvent décrié mais qui est le régulateur d’une ligne de trois quart qui trouve ses marques, mais il y a un joueur qui devient essentiel et qui impose à chaque sortie un peu plus, son physique, son activité son agressivité aussi, un joueur dur, à l’ancienne, un guerrier qui est craint sur toutes les pelouses de Pro D2. Ce joueur c’est Ostrikov, monstrueux encore jeudi soir, il devient une des figures de proue d’un pack montois conquérant.
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S’ils ont été pris au sol c’est que nous avons été plis prompts qu’eux, idem en défense, comme l’a dit Juju, le Stade a fait le choix de la vitesse et forcément les défenses s’ouvrent et surtout se referment moins vite. Les fautes ne sont que des conséquences. Si nous étions rentrés dans le jeu de défi qu’ils voulaient nous proposer, nous n’aurions pas vu la même chose et peut-être aurions-nous été dans la difficulté. Même si nous avons dominé les collisions c’est tout simplement parce que les bitterois étaient exténués, vidés, asphyxiés par le rythme, ils n’ont pas pu imposer le jeu de possession et de destruction à la mode Sud Af. Caillet le dit après le match, l’image qui l’a marqué, c’est 5 joueurs biterrois au sol dont 2 vont devoir sortir.
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Belle prestation de l’ensemble du groupe ! Même si on est tombé sur un Béziers laxiste on a su appuyer là où ça fait mal. A confirmer face à un meilleur adversaire !
Inévitablement sur ce forum quand le Stade sort une belle performance, c’est dû à la faiblesse de l’adversaire rarement à la qualité fe notre équipe… Usant. Parlez-en à Provence qui en a pris 40 à la piaule face à eux.
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Nous espérons tous une victoire des nôtres à chaque rencontre et aucun match n’est gagné d’avance, surtout quand on pense que l’effectif est handicapé par des absences, à priori importantes, à des postes clefs; c’est la raison pour laquelle, ce soir, sans être négatif, j’étais quelque peu interrogatif pour ne pas dire inquiet, mais je le répète, en restant dans l’espoir d’une victoire devant cette équipe de Béziers très respectable. Honnêtement, je ne m’attendais pas à une telle entame, parfaite à mon goût, et moins encore à une première mi-temps réussie dans tous les compartiments du jeu. Nous nous somme régalés; bravo, oui encore bravo à tout le groupe qui était à l’unisson tant dans l’offensive, qu’en défense où il faut toujours être vigilant et présent pour neutraliser l’adversaire. J’ajoute simplement qu’encore une fois on peut dire ou affirmer que nul n’est indispensable , tout en respectant chaque joueur. Merçi messieurs.
Pas grand chose à ajouter !
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« qui est-ce le meilleur depuis longtemps à la mêlée ? » …. mais de qui parle-t-on ?
Blague à part, quelle satisfaction de voir le groupe jouer ainsi : occasions saisies ou créées, défense solide et agressive, replacement, sens du jeu, vitesse et envie. Parce qu’il me semble que l’envie était vraiment là ce coup ci. Envie de gagner, de s’imposer et avec la manière. Grosse satisfaction donc. Et grandes interrogations également : pourquoi\comment certaines parties ont-elles pu se solder par des naufrages complets, sans rien montrer et rien laisser à espérer et puis des réalisations comme celle-ci ? Le groupe n’arrive pas à se remobiliser ? A réfléchir …. Bravo à tous !
C’est aussi ça le sport, c’est aussi ça le rugby ! Il n’y a que le supporter pour penser que l’on peut être régulier dans l’envie, la justesse, l’agressivité et donc la performance !
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1 point d’avance sur le troisième, les montois sont chassés et c’est le dernier match du bloc. Il faut frapper un grand coup ce soir face à des biterrois condamnés à vaincre pour encore espérer rejoindre le club des 6.
Au terme d’une action somptueuse, Cabannes capitaine emblèmatique ce soir, conclu en bout de ligne. Il ne sait pas encore que lui et ses copains entâment une première mi-temps de rêve.
7, 14 puis 21 à 0 à la 18ème, 3 essais tous aussi exitants les uns que les autres. Le Stade vole, découpe, enfonce, le public en apnée en redemande, ça tombe bien, les joueurs ont bien l’intention de ne pas nous laisser respirer. Alors qu’on pourrait s’attendre à un passage à vide, la domination montoise ne se dément pas, Juju est au four et au moulin, en bout de ligne pour le premier essai, derrière les gros pour le second, il laissera à l’ovni Razaku le bénéfice du 3ème mais on le retrouve plein champ, magnifique, la tête haute pour servir Even intérieur pour 4ème et un 28 à 0 étincelant avec la complicité de Loustalot qui enquille tout ce qu’il y a à enquiller et réalise un début de partie fabuleux. 25 minutes, 4 essais déjà et toujours pas de réaction dans le camp d’en face, on sent bien que cette équipe va réagir, elle le fera 3 minutes plus tard par l’intermédiaire de Van Boost soutenu par l’excellent Hoarau, pas résigné pour 2 sous le bonhomme. On pense que les choses vont en rester là pour cette première période mais c’est sans compter sur l’apétit pantagruelique des joueurs de la préfecture des Landes. Faléafa achèvera le travail d’un pack souverain et s’écroulera à son tour dans l’en but visiteur. Loustalot impeccable transforme, 5 essais, 35 à 7 à la récré, ça cause dans les travées. Discipline, méthode, inspirations et efficacité, un cocktail détonant pour un score explosif.
Caillet rumine, il a eu 40 minutes pour préparer son intervention, ça va pas être « piqué des vers », ils vont charger dans la chaleur des écuries et vont tenter le tout pour le tout pour sauver ce qui peut l’être encore.
Les bitterois conservent et enchaînent les temps de jeu, Mont2 fait le dos rond, plie mais ne cède pas, le score comme le jeu s’enlise jusqu’à la 52ème, Gollot s’échappe derrière sa mêlée pour inscrire un essai rageur, 35 14 et le bonus qui ne tient plus qu’a un fil. Sur le renvoi, Razaku arrache le ballon et s’échappe, personne ne le reverra, imperturbable Loustalot transforme du bord de la touche, 42 à 14 et 5 pts qui se profilent mais encore assez de temps pour en perdre 1, les montois l’ont compris et remettent un peu d’ordre dans leurs initiatives, à l’inverse les visiteurs marquent le coup et semblent résignés. Le score n’évolue plus, le sort du match est scellé et le BO pratiquement acquis pourtant Pialot pense qu’il faut en rajouter une couche, son petit « par dessus » roule dans le second rideau déserté, Désaubiés se précipite sur l’orpheline perdue devant la ligne héraultaise, la cueille et s’étale à son tour en terre promise pour la 7ème réalisation montoise de la soirée. 49 à 14, 7 beaux essais, du rythme de l’envie, de l’intelligence, on en redemande.
D’aucuns ressortiront tel ou tel joueurs du match, beaucoup pourtant, chacun à leur façon, dans l’animation pour certains, dans la puissance pour d’autres, dans l’activité ou l’agressivité saine et bien sûr dans le registre de l’inspiration mériterait le titre d’homme du match mais ce soir on a vu une équipe au diapason à qui tout a réussi.
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