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J’ai lu l’intégralité sur Sud-Ouest et aucun des spécialistes n’avance « l’Urgence » (sauf peut-être Sylvain Mirande à demi mots) cette peur qui a noué les tripes de chaque membre du groupe la saison passée, cette sueur froide qui a parcouru l’échine de chaque joueur, chaque membre du staff, « et si l’aventure s’arrêtait là ? Et si l’an prochain nous rejoignions la Nationale , si le soufflet retombait et avec lui des années de rugby de haut niveau au Moun ». Ils ont su se servir de cette Urgence et trouver les ressources nécessaires pour échapper à une spirale négative qui les amenait vers le fond, l’effort fourni mentalement pour surmonter l’épreuve en a fait des guerriers, des hommes qui savaient à l’issue de la saison passée, ce qu’ils ne voulaient plus. Ils savent dorénavant ce qu’ils veulent. Je pense que cette saison le staff n’a pas eu besoin d’activer les leviers de la motivation, les hommes et le groupe étaient prêts mentalement à fournir les efforts nécessaires pour se donner les moyens de leurs objectifs. Comme c’est précisé par les intervenants, le recrutement judicieux, joueurs comme membre du staff, une profondeur d’effectif plus consistante et l’apport de jeunes joueurs talentueux fait la différence lorsque l’adversaire nous résiste, mais s’il faut chercher le socle de la réussite montoise, c’est dans la cohésion née d’un combat difficile qu’on le trouvera.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Yann Bréthous
Je n’aime pas forcément mettre en lumière un joueur plutôt qu’un autre mais ce coup de projecteur éclaire autant l’homme que le joueur.
Le maillot rayé jaune et noir lui va si bien, il semble fait pour lui et s’il en porte un autre ce ne sera pas dans un club professionnel mais pour rendre au rugby de village ce que lui a donné l’élite. Mais que devrait il rendre d’autre Yann ? Tant son investissement, sa fidélité au club du chef lieu landais n’est plus à prouver. Il fait partie de ses joueurs, de plus en plus rares dans les structures professionnelles à qui le club est redevable, de ceux qui en font l’histoire et qui resteront à jamais pour les connaisseurs, un symbole, une image. Celle que l’on gardera de lui sera un mélange de rudesse, d’abnégation au service d’un physique de gladiateur, increvable. Il ne faudrait surtout pas oublier le talent du joueur, Yann ne fait que très rarement des fautes de goût, pas forcément très spectaculaire, il est où il doit être et fait ce qu’il faut faire. La saison en cours consacre un joueur qui tous les ans est remis en cause par une jeune concurrence ambitieuse qui semble le pousser dans ses derniers retranchements, tous les ans Yann démontre qu’il ne la craint pas et trouve les ressorts nécessaires pour rappeler aux impétrants qu’il sera encore cette année difficile de le déloger. Yann c’est la classe ! Celle qui rôde autour de la sobriété, la simplicité, de la capacité à bien réaliser les choses simples. Je garderai pourtant une image de Yann, on aurait pu tout aussi bien l’attribuer à son glorieux aîné, André Boniface, dans un match difficile, face à une équipe de Colomiers accrocheuse en diable, une accélération foudroyante au milieu du terrain, un cad deb/raffut d’école pour se sortir d’une défense agressive et une passe magique, dans le tempo pour Léo Coly, un essai somptueux. Yann est où il doit être, il fait ce qu’il faut faire.
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J’imagine que les 2 poursuivants vont aussi prendre 5 points ce soir .
Oyo s’est incliné à Rouen, victoire de Bayonne, oui… pourquoi pas ! Pour le BO c’est pas fait !
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A l’orée des fêtes de 2021, le Stade Montois rugby nous fait un cadeau inestimable, il nous donne une raison de passer des fêtes de fin d’année apaisé et la perspective de retrouver un groupe régénéré après la trêve. Ils ont fait le boulot, bien au delà de ce qu’on pouvait espérer. Cette quiétude, cette sérénité nous la devons à un groupe qui a mûri, qui s’est renforcé, mais qui surtout a acquis une grosse confiance dans un fin de saison 2020/2021 porteuse des espoirs qui se vérifient aujourd’hui. Rien que pour celà et parce que c’est tout simplement une règle du bien vivre ensemble, j’aimerai que l’on se souvienne de la félicité d’aujourd’hui pour être plus indulgent lorsque viendront des jours plus difficiles avec son cortège de doutes et de frustrations. Ils viendront inévitablement, ils sont le lot des clubs désargentés. Alors souvenons nous aujourd’hui pour être solidaires demain.
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Si près de l’objectif à mi saison, le Stade Montois allait-il trébucher sur la dernière marche ? 7 victoires à domicile, 7 bonus offensifs, les statistiques affolantes du club du Moun pouvaient ce soir trouver un épilogue moins glorieux face à un adversaire coriace venu dans les Landes pour se relancer. La défaite dans l’Isère était de nature à atténuer la belle confiance montoise née d’un première partie de championnat exceptionnelle et c’est dans ce contexte que s’engagent les débats. A peine le temps des respirer, a peine 2 minutes se sont écoulées que le vieux guerrier Bréthous, magnifique, perce plein champ, assassine sons vis-à-vis d’un cad deb a faire pâlir Kolbe, il retrouve Coly intérieur pour un essai en moyenne position, on est jamais mieux servi que par soi-même, le jeune prodige transforme 7 à 0. Comme à Grenoble, le Stade prend le match par le bon bout , comme à Grenoble c’est pourtant Colomiers qui petit à petit pose sa main sur le match, maîtres dans l’occupation les hauts garonnais maintiennent les échassiers dans leur camp, même si la touche et la mêlée landaise dominent, même si la défense semble infranchissable. Les minutes s’écoulent sans gros danger pour les leaders quant sur une mêlée l’homme en rouge sanctionne une première fois le gaucher visiteur d’un carton jaune. La sanction est immédiate, la grosse poussée du pack landais fissure l’édifice d’en face le ballon vite et bien joué grand côté trouve YLA lancé, tranchant comme une lame en acier de Tolède il déchire la défense pour un essai presque entre les barres. 31ème, 14 à 3. Ce sera le score aux citrons.
Mitigé le type, casquette et Nœud Pap, bretelle et chemise blanche, il s’était fait fort de respecter le dress code d’une soirée qu’il espérait festive, spectaculaire. Un festival pensait-il pour cette dernière de l’année, manifestement nos invités ne l’entendaient pas de cette oreille, Mais il n’était peut-être pas encore trop tard !
Revenus à 15, pas largués au planchot les joueurs en blanc montrent qu’ils n’ont pas démissionés, le combat est rude et s’enlise quelque peu, les fautes se succèdent, surtout chez les locaux, 14 à 6, les montois sentent le souffle de leur rivaux sur leurs épaules, c’est alors qu’un coup du sort va s’abattre sur les visiteurs, sanctionné d’un deuxième carton jaune, il vire au rouge pour Tartas. Désormais à 14 pour le restant de la rencontre les columérins trouvent pourtant les ressources pour bousculer un quinze landais qui semble accuser le coup. Tout heureux que l’arbitre refuse un essai suite à une mêlée sur sa ligne, le collectif landais retrouve de l’énergie, dopé par l’entrée de Renda au milieu du terrain. A nouveau dominants dans l’exercice de la mêlée, les jaunes et noirs attendront pourtant l’ultime minute pour inscrire l’essai tant attendu, celui qui parachève l’œuvre exceptionnelle qu’a créé ce groupe cette année. 8ème BO en autant de matches à domicile, du jamais vu de mémoire de montois, du jamais vu tout simplement dans cette compétition si exigeante.
Au-delà des chiffres, je le répète totalement affolants, je retiendrais ce soir là force d’un groupe, capable d’aller chercher le Graal malgré une condition physique émoussée, on peut le comprendre, et des options de jeux pas toujours pertinentes, nos trois quarts semblaient tellement au dessus ce soir, tout ça face à une équipe qui ne méritait peut être pas un tel écart au score, 27 à 9 score final.
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Pas ou plus d’excuse en effet face à Colomiers ! Mais si on s’offre le luxe de faire l’impasse (plus ou moins consciemment peut-être) sur certains matchs et donc ne pas vouloir tout gagner, est-ce bien digne d’un leader du championnat ??? Je taquine, je taquine, c’est le retour du soleil qui doit jouer. Mais quand même, heureusement que nous ne jouons pas dans différentes compétitions (européenne par exemple), des choix seraient à faire également …
Un leader peut aussi faire des impasses, mais je ne crois pas que ce fut le cas à Grenoble, l’urgence du résultat a révélé la qualité de leur effectif qui a joué sur sa valeur, il n’en fallut pas plus aux isérois pour dominer le leader peut-être un peu démobilisé. Contre Colomiers, dernier match du bloc, les joueurs vont vouloir tout donner, les columérins aussi. Pour des raisons différentes recoller au aux premieres places pour les visiteurs, garder le leadership pour nos montois, le plus fort l’emportera.
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Dernier match du bloc 3
Demain à Boniface
On s’défonce, on y croit
C’est la colombe en face.
Les gaillards de l’Isère
Nous ont fait des misères
Il est temps demain soir
De revoir la victoire
Et juste avant les fêtes
Transis dans les travées
Il va falloir pousser
Derrière nos vedettes.
Alors…
On s’défonce, on y croit
On a même pas froid
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Juger
Le pb est le diktat de certains ici ( pasta et consorts ) qui ne supportent aucunes critiques et qui surtout ne respectent pas les contradicteurs à leur pensée ou vision . Ce forum est fait pour s’exprimer et non débattre des heures à essayer d’imposer son point de vue. Et qd tu sors du cadre on te reprend, on te juge voir on te fait comprendre que tu es idiot et que tu comprends rien .Il y a les savants et sachants qui sont ni plus ni moins que des moutons de panurges prêts à adouber tout ce qui se fait ….et qui fusillent tout les mauvais pensants.”Tu peux pas dire ça ou penser ça “… mais qui est tu pour me dire quoi penser ou dire? Parfois simplement respecter les pensées opposées aux siennes et admettre qu’on puissent être en désaccord avec ce qui se fait ou se dit serait bien plus constructif pour tout le monde . Je me sens attaqué donc j’argumente et défend mon opinion . Je peux comprendre que c’est pénible….voire insupportable. Avant le match j’avais annoncé mon désaccord sur certains choix je reste cohérent avec mes idées et je ne fais que exposer mon point de vue …. tu peux penser que j’ai tord mais aussi admettre que je puisse penser ainsi . Si je devais polémiquer avec certains ici avec lesquels je suis en désaccord j’y passerai du temps et je changerai pas leurs idées…pour moi c’est pareil laissez moi la liberté de m’exprimer ……car plus vous voudrez me faire taire et plus je vais parler.
C’est toi qui parle de juger ? Mais que fais-tu à longueur de post sinon dénigrer tel ou tel joueur ? Si tu exprimes une opinion admet la contradiction, tu disais il n’ y a pas si longtemps quelque chose comme « Pasta n’est pas d’accord, pas étonnant » je ne suis pas sûr de la formule mais je suis sur de la teneur, ça traduit quand même un peu ton désir d’imposer ton point de vu il me semble ! Quant à dire d’un joueur qu’il joue parce que c’est le pote du staff, c’est carrément une insulte, à sa valeur, à l’équité et à l’intégrité du staff et enfin au bon sens , combien de feuille de match a fait Loustalot cette année ? Enfin, si dans l’esprit de ce même staff Coly n’était pas en odeur de sainteté, pourquoi l’aurait-il signé jusqu’en 2025 ? Quant à penser qu’il ait pu exploser l’an passé, alors que l’ensemble du groupe était en recherche de confiance, c’est bien mal connaître ce sport. Cette année, s’ ils sont nombreux à être sous la lumière, c’est avant tout à la qualité du groupe, à l’émulation, à la solidarité, à la cohésion qu’ils le doivent. Dans cette dynamique, ceux qui sont plus doués prennent un peu plus d’éclairage et deviennent importants, c’est effectivement le cas de Léo, mais peut-être n’aurais-tu pas ce même discours si toutes les semaines il devait colmater, défendre, batailler pour la survie du club.
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Je croyais Mitch que tu comprenais le rugby mais que tes ressentiments à l’égard de certains joueurs prenaient le dessus et enlevaient toute objectivité à ton propos. Je m’aperçois qu’en fait tu ne pompes pas grand chose à ce sport dont tu disais hier vouloir ignorer la dimension humaine pourtant primordiale et dont tu ignores manifestement aujourd’hui les principes fondamentaux, parmi lesquels c’est une équipe qui gagne et pas une individualité. L’an dernier Léo, aussi doué qu’il soit n’aurait pas pu mieux s’exprimer qu’il ne l’a fait car le contexte était défavorable. Je te défie de faire ressortir une individualité du collectif agenais cette saison, tu pourras le faire beaucoup plus facilement à Oyo ou Mont2. Léo a fait son apprentissage au cours de la saison 2020 / 2021 et il explose cette année au point d’être regardé par les plus grands clubs, son destin se joue désormais dans l’élite et il le doit à un staff qui lui a fait confiance et qui a aussi su le protéger.
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Comme d’habitude pasta est pas d’accord … Je plaide simplement pour 1 concurrence saine et sportive les meilleurs jouent les autres travaillent pour rivaliser et cela tire tout le monde et surtout l’équipe vers le haut . C’est in fine le plus important et ainsi tout le monde participe à sa façon à la réussite du groupe Laisser sur le banc 1 jeune surdoué de 22 ans qui a envie de jouer je trouve pas ça sportif dans l’esprit ne t” en déplaise à toi et autres.
Mais comment peut-on être d’accord avec toi sur le coup. Tu juges tu condamnes, tu cloues au pilori des joueurs, tu cherches des coupables chez les individus,. alors que c’est un collectif qui a sombré. Pas un mot sur la prestation des avants, seulement un obsession, Loustalot. Il faut savoir admettre ses faiblesses quand elles sont là et sur ce match nous avons été pris tout simplement à peu près dans tous les secteurs du jeu hormis la mêlée. Comme pour Dupont et N’Tamack contre Bègles, ça devient difficile d’animer dans ces conditions. C’est aussi un des caractéristiques d’une grande équipe que d’analyser ses points faibles et s’en servir pour rebondir et revenir plus fort. En clair sur ce match, si tu te dis que c’est à cause de la charnière que tu perds en Isère, tu ne poses pas le bon diagnostic et le remède sera donc inefficace.
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Mitch,
Montauban et Grenoble ne sont pas les mêmes matches, bons dans le Tarn, nous avons été dominés dans l’Isère, les raisons et les scénari des matches sont totalement différents. Nous devons gagner sans conteste dans le premier cas, nous sommes battus dans l’envie, dans l’engagement et pour finir dans la dimension physique et l’occupation, dans le second. Les joueurs à qui tu attribues l’échec à Grenoble n’ont pas évolué dans les conditions favorables et ne peuvent pas cristaliser tes critiques. Ton « cadeau au copain » est déplacé d’autant que si c’était le cas, Loustalot puisque il est celui que tu vises, aurait joué plus de match.
<p style= »text-align: left; »>Enfin, le boulot de manager t’es étranger, sinon tu saurais que dans n’importe quel groupe, qu’il soit sportif, qu’il soit entreprenarial, la gestion de l’humain, pas des égos, est déterminante. Pour ce qui est du Stade Montois Rugby, ils sont partis ensemble pour atteindre un objectif commun et on aura besoin de tout le monde pour l’atteindre. On ne sait pas quels seront les joueurs importants de la 2ème partie de la saison.</p>
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Oui, enfin ils ont quand même eu très très chaud ! Donc ils sont comme les copains… Ne pas surestimer ni sous estimer nos forces, ce serait pas mal !
Oyo c’est solide ! Ils se savaient attendus par une équipe qui avait ciblée ce match (ils avaient quelque peu fait tourner à Mont2), ils ont été menés un grande partie du match, bousculés jusqu’à la fin par une équipe qui révèle son potentiel important et pourtant, au bout du bout, il l’ont emporté. C’est le signe d’une grande force de ce groupe qui ne donne plus de signes de faiblesse. Oyo était attendu, Oyo est présent. Dire qu’ils sont comme les autres n’est pas exact et situe assez mal la performance de ce groupe dans un championnat de plus en plus difficile.
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- JE NE L’AVAIS PAS MIS DANS LA BONNE RUBRIQUE
Les Grenoblois à la montoise
Rentrés facilement dans la rencontre, le leader semble parti pour imposer sa loi une fois de plus lorsque Mensa et Laousse donne 10 points d’avance aux landais. Pourtant quelques signes laisse penser qu’ils ne mettent pas l’intensité nécessaire. Si la mêlée domine copieusement sa rivale, la touche bégaie, et les isérois sont de plus en plus présents sur les ballons au sol, a partir de là 30ème on sent que la tendance s’inverse et sur les phases dynamiques se sont maintenant les locaux qui avancent et les landais qui accumulent les fautes. La mi-temps intervient sur le score de 15 à 13 en faveur d’une équipe qui renaît de ses cendres.
Au retour des vestiaires les locaux ne relâchent pas leur étreinte et tout naturellement la charnière rouge et bleue avec un excellent Fortunel alterne à merveille jeu d’occupation, jeu de pression et jeu au large. C’est inhabituel mais des brèches s’ouvrent maintenant dans la défense jaune et noire, les montagnards ont faim et trouveront encore par 3 fois le chemin de l’en but landais.
Un victoire logique obtenue par l’équipe qui en avait le plus envie et qui a su mettre les ingrédients nécessaires, ceux bien connus et largement utilisés par le leader. Grenoble a joué à la montoise, Fortunel avait un petit air de Du Plessis et c’est logiquement que les joueurs de Heguy s’imposent. 32 à 19 et 3 de chute pour les Montois, ce n’est pas dramatique, mais cette défaite est là pour nous rappeler qu’il ne faut baisser la garde dans cette compétition au risque que ça se retourne immédiatement contre nous. La semaine devrait être studieuse dans les Landes pour préparer le match contre Colomiers qui va venir avec son effectif au complet avec l’idée de faire un résultat pour ce qui sera le dernier match du bloc.
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Effrayant les commentaires ! Mais comment peut-on écrire certaines choses après avoir tant et tant encensé cette équipe depuis le début de la saison. Oui les ballons étaient lents mais c’est essentiellement parce que nous n’avancions pas et les sorties de balles étaient chahutées, oui la charnière a été mise en difficulté, mais c’est parce que les isérois nous ont mis sous pression et même Coly, entré en fin de match n’a pas pu se défaire de l’agressivité de montagnards. Je continue de croire que si nous avions continuer à dominer les duels, notre jeu, comme lors des premières minutes, aurait été bien plus productif et ce même si le charnière était en manque de repères. Le jeu de notre adversaire c’est lui beaucoup amélioré lorsqu’ils ont dominé les impacts et leur charnière s’est alors balladée. Quant à dire qu’il n’est pas possible de sortir certains joueurs sans que le rendement soit affecté, il fallait le dire au soir des matches remportés avec des équipes chamboulées. Pour la cohésion du groupe, il nous faut croire au travail d’un staff qui ne s’est pas souvent trompé cette année et surtout pas leur tomber dessus au moindre faux pas.
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Vous recherchez des responsables mais la faillite est collective et je ne vois pas comment on peut dire qu’avec tel ou tel joueur, nous aurions gagné. Le match est perdu a partir du moment où on perd l’occupation où c’est eux qui nous mettent la pression sous les coups de pied mais surtout lorsque on accepte de subir sur les duels et là c’est l’envie et l’urgence dans laquelle se trouve le groupe isérois qui a fait la diff.
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