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Pastabal40!
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Es-tu certain d’avoir cliquer sur ” envoyer ” ?Alors je ne comprends pas, j’ai bien cliqué sur « envoyer » après avoir eu beaucoup de mal à le terminer d’ailleurs, j’ai été bloqué et ne pouvait plus écrire, j’ai du attendre 10 minutes avant de pouvoir le terminer. Ce n’est pas bien grave mais il résumait assez bien l’état d’esprit Bayonnais avant ce match et l’arrogance qui anime une grande partie de ce public qui supporte mal de devoir évoluer en Pro D2. Et pourtant…
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Perso non, j’aurais, selon le déguisement, trouvé ça ridicule, amusant, provocateur peut-être mais le chambrage ne fait-il pas partie du rugby ? Que dire des bravades lors des derbies landais et des propos pas toujours amènes inscrits sur nos ponts respectifs, sans réécrire l’histoire de ces rencontres entre voisins, elles ont toujours charrié leur lots de provocations, les leurs ne sont pas les nôtres ni celles des anciens mais elles participent du même principe bravache et ne prêtent pas à conséquences.
Quant à « vierges effarouchées » c’est le terme couramment employé pour ceux qui s’indignent de tout, ce n’est pas autre chose lorsque je l’emploie, je suis désolé si je t’ai froissé mais ce n’était pas le but.
Enfin ce qui est hautain, ce qui est condescendant, c’est la façon dont les Bayonnais envisagent un championnat qui est pourtant le leur, même s’ils pensent qu’ils ont le niveau au-dessus. Ça s’appelle « vouloir péter plus haut que son cul ». Le post oublié qui relate ma soirée de vendredi soir à Bayonne était assez édifiant et illustrait il me semble assez bien cette arroganceRéfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je suis étonné pour 2 raisons :
1) mon dernier post n’a pas été publié
2) Il y a beaucoup de vierges effarouchées sur ce site. Je ne vois vraiment pas pourquoi faire autant de bruit autour.du déguisement « Casa de Papel » utilisé depuis le début du bloc. Tayeb l’a tout simplement mal pris parce son équipe a été archi battue vendredi et parce que les jours qui vont suivre cette défaite vont être pour le moins inconfortables pour sa gouvernance.
Il faut m’expliquer ce qu’il y a d’irrespectueux la dedans. On peut au pire y voir le message que Mont2 espérait faire un casse à Bayonne, ramener une victoire tirée par les cheveux, due à un fait de jeu. C’est tout au contraire une victoire éclatante qui assoit la supériorité des hommes de Milhet sur ceux, pré supposés supérieurs, de Bru et consort et qui confirme l’emprise landaise sur le championnat de Pro D2. C’est la seule vraie raison des réactions outrées de nos amis basques. Ce ne serait même pas un sujet s’ils l’avaient emportés. L’arrogance de cette gouvernance basque à la tête de l’Aviron ne date pas d’aujourd’hui, déjà en début de saison Tayeb se répandait dans la presse et n’avait pas de mots assez forts pour qualifier un effectif qui n’avait pourtant pas été mis à l’épreuve de la Pro D2. Je me souviens alors d’échanges via FB avec une partie des supporters Bayonnais qui buvaient ses paroles et ne voyaient en cette compétition qu’un passage obligé vers une nouvelle accession en Top14. Un peu d’humilité ne leur fait pas de mal.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Ostrikov sur ce match est au niveau de Garrault, il a constamment avancé, plaqué.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Leur stade est fermé et forcément ça résonne beaucoup plus. Le nôtre est ouvert et les tribunes sont en plus beaucoup plus éloignées à cause de la piste. On peut faire ce que l’on veut nous n’auront pas le même rendu qu’à Bayonne.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Ils ont éteint un stade, une ville
Encore un test pour les montois, leaders injustement contestés de Prod2, cette fois-ci c’est Jean DAUGER l’antre inviolée de l’Aviron Bayonnais qui accueille une équipe humble mais déterminée, secrètement, intimement consciente de ses forces.
Comme on pouvait s’y attendre, le combat aurait une part prépondérante dans cette rencontre et les débats s’équilibrent rapidement, c’est pourtant sur un ballon anodin sur un côté fermé pas forcément bien vu de Rouet pour Cassiem, que le n8 basque, relâché, s’échappe et finira dans l’en but, le supporter jaune et noir, facilement identifiable hier soir, se fait chambrer gentiment et rentre un peu dans sa coquille, pas pour bien longtemps, sur une grosse séquence défensive Wakaya récupère et expédie d’un maître coup de pied le ballon dans l’espace dégarni, De Nardi est le plus rapide, stoppé illicitement, l’arbitre accorde l’essai de pénalité qui replace les siens devant au planchot. La belle ambiance dans les travées bayonnaises prend un peu de plomb dans l’aile et la Banda voisine qui ne joue pas très juste, enchaîne désormais les fausses notes. Quelques minutes plus tard ce même De Nardi sera à 2 doigts de doubler, l’arbitre hésitant à doubler la dose. Il fait plus froid tout d’un coup dans le Stade mais déjà dans le combat, dans l’investissement, dans la solidarité défensive, les landais réchauffent mon cœur de supporter, que c’est beau une équipe qui justifie son nom. Le score de 14 à 13 aux citrons en faveur des locaux reflète une première mi-temps ou les jaunes et noirs efficaces, jouent juste et contrarient sans trop de difficultés la furia locale. Le drop de Du Plessis est un indicateur de la sérénité landaise.
Au retour des écuries, très rapidement les montois retrouvent leurs automatismes, les lourds avant Bayonnais paraissent plus lourds, les nôtres plus incisifs, les bleus reculent sur les impacts multiples et subissent, notre mêlée avance désormais et le rythme imposé asphyxie une formation ciel et blanc aux abois, comme un symbole du renouveau jaune et noir, c’est le grand espoir Léo Banos (monumental hier soir) qui conclura un pilonnage en règle de l’en but basque. Bayonne panique et les joueurs de la côte sentent le match leur échapper, distancés au score comme dans les intentions, ils voient leur adversaire faire cavalier seul, Jean DAUGER, morne plaine s’est tu, les supporters comme les joueurs semblent résignés, sur un renvoi de ligne de but, Du Plessis récupère pour son deuxième drop de la soirée comme dans un fauteuil. L’écart se creuse et on voit mal comment la donne pourrait changer. Toujours plus incisifs, les montois accentuent leur domination sur un séquence offensive, les visiteurs affolent la défense, le ballon est vite libéré, Coly sert Garrault (Que dire de Garrault encore une fois de plus exceptionnel en deuxième ligne avec son compère Ostrikov) pour un essai entre les barres, seul dans une défense désertée.
33 à 14, un coup de tonnerre sur la côte basque et un message envoyé à la Pro D2 et à toute la France du rugby, cette fois-ci, c’est sur, le Stade Montois est de retour.
Comment ne pas être admiratif devant l’incroyable impression de force collective, de cohésion que dégage cette équipe au sein de laquelle tant de talents peuvent désormais s’exprimer. C’est un régal pour les yeux, n’ayons pas peur de le dire le Stade Montois pratique désormais un des plus beaux rugby Pro D2 et Top14 réunis. Ce serait bien que les divers commentateurs et consultants aient désormais les mêmes yeux que ceux d’Olivier ROUMAT à n’en pas douter le plus objectif pour ce qui concerne la performance de cette équipe.
Je n’ai pas envie de ressortir quelques individualités tant la liste des louanges serait longue et pourrait concerner chacun des joueurs titulaires et remplaçants confondus (le banc hier soir à encore une fois été déterminant) mais une image me vient en tête, c’est cette initiative de Jules EVEN dans la défense basque, Jules EVEN peu utilisé jusqu’ici et qui a su se mettre au niveau de son compère du milieu du terrain. La force landaise est désormais dans la capacité pour les coaches de remplacer les joueurs sans que le rendement en pâtisse.
Je trainais ma joie le long de la Nive à la recherche d’un restaurant, pas un klaxon, pas un drapeau bleu et blanc…
Ils ont éteint un stade, ils ont éteint une Ville.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
que du bonheur quelle deuxième mi temps
par contre la première on est archi dominé et on survie sur un ou deux contres on est bouffé en touche et en mêlée mais Bayonne n a été dangereux qu’une fois ou 2
le 14 13 est bien payé
mais quelle deuxième mi temps de rêve
Bayonne à explosé
niveau attaque on peut être dangereux en partant de n’importe où
mention spéciale à duplessis qui mepate match après match
par contre goneva est bien sûr la fin
personne ne pouvait rêver ça et encore on a vendange 3 ou 4 fois le bonus
chapeau au staff
en revanche le chanbrage excessif nest pas utile et pas très rugbyNous n’avons pas été archi dominé en première mi-temps que j’ai trouvé personnellement très bien maîtrisée, rarement débordée grâce à une défense omniprésente et agressive l’équipe a su prendre sa chance quand il le fallait, elle a laissé les basques s’user et le score à la mi-temps est équitable.
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Je ne comprends toujours pas ce postulat de faire jouer Even au centre alors que c’est un n°10 ou même un 15 et d’aligner Desaubies à l’ouverture, poste qu’il a rarement occupé à Bordeaux. De plus “notre” bordelais, je le souligne à nouveau, est un piètre buteur!
Bon, pour ce qui concerne la rencontre de demain, elle s’annonce difficile mais pas insurmontable. Le temps et le public auront une grande importance sur le terrain.
Il faut aussi se méfier de certains retours bayonnais non annoncés, il faut en avoir conscience…
Cependant, je garde toute confiance en nos jaune et noir, en leur collectif, en leur combativité, en leurs possibilités offensives et défensives.Ils feront, dès 19h, honneur à nos couleurs!!!
Je pense que c’est justement, au delà des raisons invoquées par Talès, parce que Even est un 10 et qu’il a du pied qu’il sera demain au centre de l’attaque. Nous allons jouer avec 2 10 offensifs, Even étant 5/8ème, il nous donne une option supplémentaire au pied si le besoin se fait sentir. Ça me rappelle quelque chose… Ah oui ! Peut-être l’équipe de France avec Jalibert et N’Tamack, mais avec encore plus de talent pour nos jaunes et noirs 😉
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Ce sera un véritable TEST !!!
Mais j’ai l’impression de reprendre une expression déjà citée, non ?
ALLEZ STADE BIBANNNNNous devenons très exigeants, chaque match gagné est systématiquement remis en question, « on a joué les équipes mal classées » et même lorsque l’on bat NEVERS qui faisait peur avant la rencontre, que l’on bouscule MONTAUBAN sur ses terres, ou un peu plus tôt qu’on l’emporte chez les cathares, autant de performances qui d’autres années nous auraient pourtant rassuré, cette année nous doutons encore et le match qui vient est encore un test qui si il est passé avec succès ne suffira pourtant pas à rassurer les plus sceptiques
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moi je crois surtout qu il faudra s adapter aux conditions atmospheriques, avec une pluie fine attendue.Notre force est de bonifier les ballons de recuperation, alors au contraire evitons de jouer a tout va et de nous aplatir contre le mur bayonnais tout le match
S’adapter, c’est avoir un coup de retard, c’est accepter la prééminence des éléments extérieurs, que ce soit les conditions atmosphériques ou l’adversaire, c’est aussi partir en terrain inconnu et abandonner ses repères, je ne vois pas pourquoi, au moins au début de la rencontre nous ne pratiquerions pas le jeu qui fait nos succès depuis le début de la saison.
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Quelle devra être notre stratégie vendredi ?
Attaquer, défendre, …contrer…
Qui peut me dire ?D’autres parts, Simao BENTO s’est envolé pour Lisbonne afin de rejoindre la sélection nationale portugaise jusqu’au 14 novembre.
La pire des choses serait de ne pas être fidèle à notre jeu. Les repères de l’équipe sont inscrits dans cette philosophie. Depuis le début de la saison, ils n’ont dérogé ni à cette option offensive, ni au combat qui la rend possible et surtout efficace. Une conquête en hausse, la domination dans les duels et le mouvement seront les clés d’un succès éventuel d’autant que la phalange basque est plutôt lourde.
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faleafa va aussi beaucoup nous apporter. Il est arrive m a t on dit hors de forme, et je pense que quand il sera vraiment pret il sera un vrai impact player, de plus le garcon a l air tres sympa
Il a fait une bonne rentrée jeudi soir. On sent en tout cas une vraie aisance ballon en main chez lui.
On aura besoin de lui pour apporter de l’avancée offensivement, ce qui est je trouve notre point faible pour le moment. On a globalement du mal à peser physiquement sur la défense adverse.Tu me vois obligé de m’inscrire en faux par rapport à ta dernière remarque, ce qui fait la diff cette année c’est justement notre capacité à gagner les duels (je préfère ce terme à celui de collision, terminologie plutôt routière selon moi) qu’ils soient frontaux ou dans l’évitement d’ailleurs. C’est aussi la raison pour laquelle notre charnière peut mettre de la vitesse au jeu, dans l’avancée les ballons sont libérés bien plus proprement. Nous n’avons pas à rougir de notre densité, elle a, avec la vitesse, fait des dégâts sur chaque rencontre, même à Montauban où nous avons perdu.
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Belle victoire, super groupe cette année avec des rotations. Un super temps pour jouer au rugby depuis le début de saison attention l hiver et la pluie arrive^^ nevers ne voulait pas jouer, vous avez tout dit. On a été en dessous dans les rucks mais le reste ras. Rendez vous à bayonne avec je l espère de l ambition et surtout pas de regret.
Je ne pense pas que l’on ait été en dessous sur les rucks, au contraire, ils nous ont seulement ralenti des ballons mais nous avons eu pas mal de turn over en notre faveur. Il fallait bien qu’ils rivalisent sur un secteur de jeu.
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Au lieu de tricher et de ralentir le jeu cette équipe de Nevers aurait dû jouer et laisser ainsi 1 bonne image d’elle et de ce sport.
Ils peuvent même pas incriminer l’arbitre qui le plupart du temps allait dans leur sens.
Pemeja et ses sbires n’honore pas ce sport!!
Bravo à l’équipe pour ce résultat qui avec le bonus nous maintient premier
Objectif Bayonne montrons à Pėmėja comment jouer 1 gros à l’extérieur!!!
J’espère qu’à Jean Dauger on jouera crânement notre chance et feront honneur à nos couleurs et à ce jeu.Je ne suis pas toujours d’accord avec toi mais là pour le coup j’adhère, comme dit plus haut, ils ont tout fait pour ralentir le jeu mais comme je suis un éternel optimiste, je vois dans cette option le signe que nous sommes devenus en quelques matches l’équipe qu’il faut contrer, celle que l’on craint, l’an passé Nevers était venu jouer son jeu et l’avait emporté, cette année ils se demandaient bien comment nous prendre, ils avaient raison, nous avons dominé dans tous les secteurs.
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Logique,
« Ils ont mis leur équipe type, ils vont vouloir envoyer du jeu, il faut tout faire pour casser le rythme, Thomas (Ceyte) ! tu vas voir l’arbitre même si tu n’as rien à dire, les gars, si ça va trop vite, on est blessé, il ne faut pas qu’ils enchaînent » ça devait à peu près être la teneur du discours de PEMEJA dans la semaine et jusque dans les vestiaires avant le coup d’envoi. Durant ce premier acte crispant les nivernais auront tout fait pour retarder l’inéluctable.
Comme ils le font depuis le début de la saison, les montois prennent le jeu à leur compte dès le coup d’envoi, du rythme, toujours du rythme semble être le mot d’ordre du jour et Nevers, comme ses prédécesseurs sur la pelouse de A et G Boniface, va subir l’entâme landaise, c’est pourtant au pied que Coly ouvrira le score. 3 à 0 puis 3 à 3 grâce à celui de Cazenave à la 15ème minute pour ce qui sera la première incursion nivernaise de la soirée. Efficace mais insuffisant, la touche montoise plane, la mêlée commence son entreprise de destruction massive 1, 2 puis 3 mêlées dans les 22 visiteurs ne persuadent pourtant pas l’arbitre d’accorder l’essai à 7 points, la 4ème l’y contraindra. 10 à 3, un avantage somme toute léger au regard de la domination locale symbolisée par les raids de Coly ou Naituvi qui auraient pu avoir un meilleur sort, dans une défense prise de vitesse. En face ça souffre mais ça s’accroche, revenus à 10 à 6 à la 35ème les hommes de Pémeja vont alors céder sur une accélération de l’inévitable NAITUVI qui déchire la défense, sa passe légèrement en arrière sera récupérée acrobatiquement le long de la touche par MENSA, la puissance, la tonicité et le talent de l’attaquant argentin feront le reste, 37ème.et 17 à 6 pour les jaunes et noirs. On s’achemine vers la pause lorsque, en visite exceptionnelle dans le camp landais, les Neversois prennent la pénaltouche, le ballon porté qui s’en suit finira dans l’en but et la mi-temps sera sifflée sur un score inespéré, tant la domination des locaux fut patente, de 17 à 13 en faveur du Stade Montois.
Le jeu a repris, fini le « farniente » dans la douce chaleur des vestiaires et même si les Bourguignons semblent revenus avec d’autres intentions, le scénario se répète et Mont de Marsan remet sa grosse patte sur le match, Bento s’enfonce mais ne sert pas Banos décalé sur l’aile, alerte sans frais pour Nevers, alors que l’on joue la 53ème, Mensa s’échappe, Wakaya et Naituvi affolent la défense sur la ligne, les gros font l’effort et sur une avancée probante de Lattérade et de Garrault, tous les 2 très en vue ce soir, Coly récupère le cuir et aplatit derrière la ligne, égoïste, il ne laissera pas le soin à un autre de transformer, 24 à 13, ça se précise d’autant plus que la mêlée capitalise, Carlos Muzzio signe son entrée, l’énorme poussée du pack montois disloque son vis-à-vis, Coly collectionne et 27 à 13. Nevers couine, les montois appuient là où ça fait mal, la pénalité, un peu devant les 22 Nivernais est vite jouée à la main par Coly La Malice qui s’échappe et plonge dans l’en but, il transformera en coin et portera le score à 34 à 13, c’est Bonus Offensif et c’est le moment que choisi le staff pour faire tourner, Léo Coly sort sous l’ovation d’un public conquis. Sur le renvoi Doubrère sera contré et quelques passes plus tard Nevers marque et enlève provisoirement le BO à un Stade Montois pas le moins du monde rassasié,.Désaubiés prolonge un ballon au pied, De Nardi est le plus rapide et redonne le BO à son équipe, 41 à 20 après la transformation de Yohann Laousse Aspiazou.
Cette victoire probante signe et confirme le retour du Stade Montois au plus haut niveau de la division. Nevers, candidat déclaré au top 6, s’est fait retourner et a subi dans tous les compartiments du jeu.
Bayonne se profile, le match sur la côte basque peut définitivement faire basculer la saison du Stade Montois vers les sommets en cas de victoire. Et pourquoi pas ?Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
