Toutes mes réponses sur les forums
-
Messages
-
La confiance des supporters, comme celle des joueurs d’ailleurs, ne se décrète pas, elle s’acquiert. Après une saison écoulée passée en enfer, les performances du Stade Montois qui pourraient se suffire à elles-même tant elles sont probantes autant dans les résultats que dans la qualité, interrogent encore. Les résultats en données brutes n’effacent pas un doute qui s’est installé dans les têtes des plus sceptiques et chaque match est là pour valider les progrès pourtant évidents entrevus au précédent. Dans ce contexte, Vannes qui constitue dans l’esprit de beaucoup d’entre nous ce qui se fait de mieux dans la division, arrive comme une étape supplémentaire dans le dur combat qu’entreprennent staff et joueurs.pour restaurer leur confiance mais aussi la notre. Le Stade Montois s’il passe l’obstacle breton de manière concluante, basculera dans une autre dimension et l’objectif fixé à l’orée de la compétition deviendra tangible. Pourtant un rendez-vous manqué sur la.prochaine journée ne doit pas nous faire oublier ce que nous avons vu jusqu’à aujourd’hui et les changements notoires opérés au sein d’un groupe qui se libère dorénavant, le contexte n’est pas forcément favorable tant les blessures handicapent sérieusement notre quatuor quand il s’agit de composer l’équipe, dans ces conditions si le résultat est au RV, je basculerai dans un optimisme assumé sans être béat pour autant. Le jaunes et noirs méritent notre soutien mais ils méritent aussi que toute la ville
et au-delà croit réellement en eux.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Mister Beun en fin de match ne veut pas nous accorder l’essai de pénalité malgré les fautes vannetaises successives. Même avec le carton rouge rouge de Naituvi nous devions gagner.
C’est vrai, on fait le siège de leur ligne et rien ne viendra, arbitrage incompréhensible de Beun. Ce match nous plombe notre début de saison.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au Stade Montois rugby, qu’ils soient des inconditionnels ou bien des sceptiques invétérés, des éternels béats ou des grincheux de la première heure, tous, absolument tous attendaient ce match qui validerait un début de saison plus qu’encourageant des hommes de Millet.
Handicapé par une hécatombe au poste de seconde ligne, le staff a du se creuser la tête pour composer une équipe capable de rivaliser que le plan de la densité, de l’intensité et l’agressivité avec ce qui se fait de mieux sur ces critères dans la division. Pourtant, loin de douter des joueurs qui n’avaient pas où peu participés aux 2 rencontres précédentes, le quatuor avait composé une équipe New look. Les cathares sûrs de leur forces en conquête et sur les ballons portés attendaient nos protégés de pied ferme, résolument décidés à ne rien lâcher sur leur pelouse. Les remparts en tremblent encore.
Dès le début du match on se rend compte que les montois ne sont pas venu la fleur au fusil et qu’il ne comptent pas subir la furia locale. Ce sont même eux qui prennent rapidement la direction des opérations et se voient récompensés au tableau d’affichage par des pénalités converties par YLA. Le Stade contrôle, et les réactions sporadiques de l’adversaire du jour n’inquiètent que très rarement la belle organisation Landaise, menés 0 à 9 sur leur terrain, les audois se doivent de réagir, ils le feront sur une pénalité vite jouée à la main pour un essai en bonne position menés 7 à 9 le match s’équilibre avant de changer un peu de physionomie, les fortifiés appuient sur le champignon, 1 ballon porté sanctionné par un essai de pénalité, 2 cartons jaunes plus tard et le scénario s’inverse Carcassonne prend l’avantage. Loin de s’éparpiller les landais se remobilisent et limitent les dégâts. 18 à 15 aux citrons.
Au retour des écuries, les visteurs gèrent bien l’infériorité numérique, soutenant largement la comparaison sur les phases de rencontre, propres sur leurs ballons et sereins en conquête ils reprennent la main sur le match et décident de mettre en place une tactique répétée secrètement dans la semaine à l’entraînement. YLA, dont on connaît la précision dans l’exercice des tirs au buts, vise le haut du poteau droit, le ballon décrit une trajectoire en cloche avant de retomber au sol dans les 22 audois, le rebond sera favorable à Lestremeau qui élimine les 2 derniers défenseurs pour conclure en moyenne position. Interrogé après le match, l’ailier nous confiera que dans la tactique, il devait reprendre le ballon de volée. Le Stade repasse devant et revenu à 15 ne lâchera le lead et gardera la main sur match malgré un 3ème essai carcassonnais.
Les 11 changements effectués par le staff et l’épidémie qui touche les secondes lignes, Bruisma, le jeune espoir très en vue ce soir n’y échappant pas, n’affectent pas le rendement, le SM sait voyager et conserve ses qualités quelle que soit la composition de l’équipe, une conquête très satisfaisante (belle mêlée, un touche un peu moins performante), des vertus évidentes dans le combat et un indéniable appétit pour le jeu augurent d’une saison 2021/2022 passionnante au dans les landes. Certains relèvent encore quelques erreurs pourtant bien compréhensibles à ce moment là de la saison et qui sont souvent consécutives à l’envie et à l’engagement, je préfère mettre l’accent sur l’évidente évolution d’un groupe qui se donne les moyens de ses ambitions à la hausse.
Score final : 22 à 26Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
TASTET dans le texte.
Ce qui se construit dans la difficulté est bien plus solide. Même si l’apport de Stéphane Prosper a apporté de l’expérience et forcément de la sérénité, le vécu parfois douloureux du dernier exercice a bien sûr soudé le groupe. La confiance ne se décrète pas, elle s’acquiert et l’on se rend compte que les difficultés sont d’autant plus faciles à franchir qu’elles paraissent presque négligeables au regard de celles déjà endurées. Bravo à ce staff de n’avoir pas baissé les bras, au président de lui avoir renouvellé la confiance quand des voix s’élevaient pour critiquer dans un premier temps et voulaient même les remplacer dans un deuxième, leur reprochant, entre autre, une trop grande proximité avec les joueurs. Que les dieux du rugby veillent sur vous (et surtout sur vos secondes lignes).
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Dommage que l’on fasse tourner parce que l’équipe etait sur une bonne dynamique et que l’on pouvait faire un coup a carca esuipe a notre portée .
La même équipe oui ! Mais laquelle, celle de Narbonne ou celle de Bourg.
Ensuite en seconde ligne nous y sommes un peu contraint. Enfin il y a sur le banc des joueurs importants capables de donner un coup de main si les débats sont serrés en 2ème période. Si le 8 de devant soutient la comparaison avec son homologue Cathare, tous les espoirs sont permis et c’est la quasi assurance, après avoir fait une large revue d’effectif sur les 3 premières rencontres, de pouvoir compter sur un groupe élargi pour aborder le marathon qui nous attend sans que la performance collective ne s’en ressente.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Et pendant ce temps là le monde du rugby ferme les yeux sur les magouilles du Biarritz Olympique pour se délocaliser.
C’est vrai qu’il y a quand même des choses pourries dans ce monde…………Et le Stade Toulousain qui existe avec un trou de 7 millions. Soit 1/5ème de son budget. Que dirait le gendarme financier si un autre club avait le même soucis. Cela correspond à un trou de presque 1,5 millions pour le Stade Montois.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Tiens Laval à gauche ?
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Après notre rencontre contre Bourg en Bresse on a beaucoup parlé de l’exploit de L. Coly.
Je me permettrai aussi de mettre en exergue A.De Nardi qui par ses réceptions sur les ballons hauts, ses courses tête droite, a illuminé à de nombreuses occasions la pelouse du stade. Les interceptions de Leo faisaient suite au fait que le botteur cherchait l’angle idéal pour contrer notre jeune ailier et ne surveillait plus son adversaire direct. Nous avons là aussi une pépite. Mais……….schutt!!!!
Bien d’accord avec toi Pesage, perso j’ai mis l’accent sur la charnière parce qu’elle a fait un sans faute et que le jeu de notre équipe s’en est ressenti. C’est vrai que Alexandre de Nardi a sorti une grosse prestation et qu’il semble plein de confiance et de jus, mais on aurait pu citer Banos, Garrault, Wavrin ou Voss lors de son entrée et je trouve Latterade transformé. Vraiment, il faut voir cette équipe face au cadors de la division mais on peut espérer une belle saison si ceux qui ne sont pas encore rentrés apportent leur pierre à l’édifice.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Il est bien temps que sonnent
Les trompettes renommées
Qui feront s’écrouler
Les tours de CarcassonneEt même si les audois
Ont de lourds arguments
Je vois de fiers montois
Vaincre assurément.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Le rugby est passé dans un aire professionnelle depuis bien longtemps et même si c’est frustrant de voir partir des talents pour des clubs plus fortunés ou simplement au niveau supérieur, ça fait partie du jeu, les joueurs jouent leur avenir comme le ferait un salarié d’une entreprise convoité par une société concurrente. Le rugby professionnel a redistribué les cartes et a sonné le glas des valeurs comme l’amour du maillot, l’esprit de clocher à de très rares exceptions près. Difficile d’en vouloir aux clubs bénéficiaires puisqu’ils ont tour à tour prédateurs et proies. Difficile d’en vouloir à ceux qui nous pillent, tellement chacun d’entre nous est complice du système qui permet à l’argent de décider du destin d’un club en acceptant de s’abonner à des chaînes payantes, une des principales sources de revenus des structures professionnelles.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Pourvu que ce ne soit pas une étoile filante….. vers d’autres cieux !!!
Je pense que vu son jeune âge et les qualités qu’il affiche, nous ne le garderons pas longtemps s’il let en plus de la constance dans ses performances, il faut profiter du moment présent. Ce sera bien pour lui. D’autres vont vite faire saliver les recruteurs, les 2 premiers matches de Banos n’ont pas dû passer inaperçus.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Parler de la qualité du recrutement est pour l’instant prématuré, on ne peut pas dire, hormis pour Du Plessis, que ce sont eux qui ont transformé le groupe. Je crois effectivement en une préparation de feu et en un groupe qui sait où il va parce qu’il sait d’où il vient. Les lancements de jeu sont bien plus propres parce que l’intensité mise dans les duels permet de meilleures libérations, Coly a plus de latitudes et sait aussi pouvoir compter sur un
10 d’expérience pour trier, occuper et animer. Cette charnière, à l’image d’autres bien plus prestigieuses en France, est dépendante de la performance du huit de devant.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
La préparation est faite en fonction des objectifs. Elle est devenue scientifique et les staffs programment les pics de forme. Je pense effectivement que cette année elle était axée sur le début de saison mais cela veut dire aussi qu’il y aura un petit coup de moins bien à moins que le staff ne continue à faire tourner l’effectif comme cela a été le cas sur les 2 premiers matches.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
La saison écoulée avait fait jaillir le doute dans les têtes montoises, la première bataille remportée dans l’Aude en infériorité numérique avait bien lancée la nouvelle mouture même si d’aucuns pouvaient faire la fine bouche pour cette victoire acquise face à un promu. C’est un autre promu qui foulait ce soir la pelouse de Boniface encore vierge des rudes combats de la Pro d2 cette année.
Rapidement les jaunes prennent les choses en main, la pression est montoise, Coly contre et aplatit le premier essai de ce qui sera son hard trick. On joue la.10ème et Mont de Marsan prend le lead 7 à 3. Devant ça s’envoie, les blancs subissent et la charnière entame son festival de justesse et d’inspirations, 13ème minute, le Stade concasse, Coly s’échappe pour un essai entre les pagelles, 14 à 3 on sent une équipe qui sait où elle va. Les choses ne trainent pas et le concert bat son plein, menés par ses premiers violons et son chef d’orchestre les avants entâment les Valkyries de Wagner et c’est « Apocalypse Now » dans les rangs burgiens, 17ème le Stade pilonne, Laouse éclaire, Mensa s’écroule en bord de touche, pas une fausse note, Coly réussi tout et transforme, 27 à 6. On approche les citrons et l’emprise locale ne se dément pas, 37 ème, mêlée ultra dominatrice, essai de pénalité et 34 à 6 à la mi-temps. Implacable. Le petit couac le Stade est trop sanctionné au sol.
44ème renvoi depuis la ligne de but récupéré par l’ailier bressan qui s’offre un slalom au milieu de montois léthargiques et conclu dans l’en but 34 à 13. Pas alarmant, mais plus de bonus. le Stade émerge enfin de la sieste réparatrice, l’impressionnante séance de pick and go et de jeu dans la défense emporte tout sur son passage, Gonzalez marque même si le « referee » tient absolument à voir l’essai à la télé. 41 à 13 et re bonus offensif. l’énorme domination physique des landais qui s’adjugent les duels offensifs et défensifs, réduit les visiteurs à la portion congrue, Coly, toujours sur son nuage, est une nouvelle fois au contre, il inscrit son troisième essai de la soirée et le transforme. Un sans faute, une prestation XXL du jeune demi de mêlée montois et une sortie « à Hombros » bien méritée. 59ème , 48 à 13.
Les Bressans décident de mettre toutes les atouts de leur côté et pensent qu’avec 2 ballons ils ont 2 fois plus de chances de tromper la vigilance des landais, pas plus de succès d’autant que l’arbitre ne veut pas, la défense landaise ne relâche pas sa pression et les poulets de Bresse baissent régulièrement pavillon devant le jaune des Landes, Sayerse met le feu, De Nardi s’échappe et Wakaya est tout prêt de conclure, sur la mêlée qui suit le pack Bressan explose, le ballon porté qui suit s’écroule dans l’en but, l’essai ne sera pas validé.
Un belle performance de l’ensemble d’un groupe pourtant différent de celui de Narbonne, on sent l’équipe sur de bons rails et des joueurs se révèlent déjà mais comment ne pas mettre ce soir en exergue une charnière qui joue sa partition à la perfection et ça change tout.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je lis des commentaires embarrassés quant il s’agit d’évoquer la performance d’un joueur. Je ne vois pas de mal à dire qu’un joueur est passé à côté de son match, je suis bien plus circonspect lorsqu’on le juge définitivement par des « il n’a pas le niveau, il est mauvais, etc… » Autant de jugements qui font mal au concerné et qui sont souvent battus en brèche quelques WE plus tard. L’appréciation d’une performance, ne doit pas déboucher sur le jugement d’un individu.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
