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Ne pas oublier le contexte très particulier de cette rencontre.
Je ne vais pas rappeler ce qui est arrivé à cette équipe cette semaine.C’est pour cela qu’il faut pas non plus se croire les meilleurs ou supérieurs à cette équipe, car on gagne juste (heureusement la pénalité loupée quasi face poteaux).
Mais match sérieux des Montois, il faut le souligner.
Le décès de leur joueur est triste de là à dire qu’il a influé sur le comportement des joueurs, perso je ne crois pas. Ils auraient pu tout aussi bien en tirer un élément de motivation en hommage à leur copain.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
notre banc nul. T? REY tres bon ( en déplaise à certains)
REY, Comme souvent finalement cette saison
Décidément on n a vraiment pas les mêmes analyses sur les joueurs mais bon … pourquoi pas… C est vrai que sa plus value sur l équipe est énorme !! Gonzalez Muarua Lizena Voss et même Durand qui est un sacré guerrier !! là oui y’a de la plus value !! Rey non je ne vois pas …
Regarde son déplacement, son rendement en touche, sur les renvois (on ne l’avait pas contre Valence) sa production en mêlée, bref un peu partout quoi. C’est pas un destructeur mais il est là où on l’attend.
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notre banc nul. T? REY tres bon ( en déplaise à certains)
REY, Comme souvent finalement cette saison
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Ancienne équipe réputée je pense. Pas grosse impression de la mêlée d aix
Parce que la nôtre a fait le boulot, comme souvent finalement cette saison.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
J’aimerais que l’on me parle de CASTINEL et MUZZIO, face à une équipe réputée solide en mêlée…
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
On revient de l’enfer, le royaume des diables rouges, ils y règnent sans partage depuis le début du tournoi. On comprend mieux après ce match leurs performances actuelles. Elles ne doivent rien au hasard mais à un savant mélange d’expérience et de roublardise et de jeunesse prometteuse, de solidité mentale et physique. A l’heure d’aborder ce match, il y avait les doutes d’une performance intéressante mais non couronnée de succès à Twikenham, d’un côté et un bilan sans faute de l’autre. Peut-être cela a-t-il joué sur l’entame tricolore en trompe l’œil récompensée de 2 essais dont l’un doit tout au génie de DULIN et à la classe de Jalibert. Toujours est-il que loin de se décourager, les gaeliques montrent les muscles et répliquent immédiatement, on comprend alors que « ça va être compliqué ». D’autant plus compliqué que nous subissons maintenant à peu près dans tous les secteurs de jeu hormis dans la conquête directe, les duels qu’ils soient aériens, au sol ou dans le défi physique sont à l’avantage des rouges et on voit mal comment inverser la tendance. Note charnière toulousaine grince (N’Tamack a remplacé Jalibert) et des portes s’ouvrent dans la défense bleue, se refermant in extremis avant l’irrémédiable. 17 partout à la collation, on n’est pas malheureux.
La deuxième période ne débute pas bien mieux, notre pack subit la densité et l’incroyable confiance de son homologue britannique et Adams conclut en moyenne position un mouvement d’envergure, les rouges se détachent. Seuls Marchand, Olivon, Aldritt et Willemse soutiennent la comparaison. L’étreinte des visiteurs ne se relâche pas, c’est encore eux qui se montrent les plus dangereux, le XV de France trop souvent sanctionné alimente la machine à scorer Dan Bigard et le « poireau » se détache, ce poireau là c’est Hercule, et mes gesticulations sur le fauteuil ne changent rien à l’implacable scénario qui se dessine. 30 à 20 à la 60ème après que l’arbitre ait accordé une nouvelle pénalité au Gallois après avoir très justement refusé l’essai à l’incroyable Rees Zamitt. Les Bleus se révoltent sporadiquement et après plusieurs temps de jeu, Dulin s’écroule au paradis pour l’essai de l’espoir, alors que N’Tamack s’apprête à convertir, l’arbitre convoque la vidéo, le verdict est sans appel se sera rouge pour WILLEMSE, sale temps pour les coqs privés d’un retour salvateur et d’une de leur figure de proue. Les coaches coachent, le banc français redynamise le groupe et même reduits à 14 les français reviennent dans le match et les gallois semblent perdre de leur superbe, ce sont maintenant les bleus qui bousculent leurs homologues. Acculés sur leur ligne d’en but les diables subissent et voient 1 fois, 2 fois les bleus la franchir sans pour autant pouvoir aplatir, ils se mettent à la faute et 2 jaunes consécutifs vont redonner l’avantage numérique aux frenchies, la partie bascule et c’est nettement les nôtres qui concassent du gallois attendri, Olivon conclut et ramène les siens à 3 points après la conversion express de N’Tamack, on joue la 77ème. Mon fauteuil subit le scénario sans broncher, il a du mérite, Serin amène de la … sérénité et il en faut à ce moment-là du match, le chrono est passé au rouge, le prochain arrêt de jeu sera fatal au bleus, l’enjeu ne tue pourtant pas le jeu et il n’y a que 80 mètres à remonter pour tenter de réaliser l’impensable, le phénoménal, le ballon porté tricolore emporte tout sur son passage et l’animation qui s’en suit balaye le terrain, sur le renversement et 2 longues passes plus loin, les gallois sont mis hors de position, Dulin exulte derrière la ligne. 32 à 30 score final
Les plus : le banc, les qualités hormonales et mentales de ce groupe
Les moins : les limites d’un jeu de dépossession poussé à l’extrême, la défense dans la zone du 10, l’ultra dépendance à Dupont. Nos adversaires auront identifié ces faiblesses, il savent désormais, les anglais avaient déjà montré la voie, qu’en jugulant le phénomène de Castelnau Magnoac, le jeu de l’EDF n’est plus le même.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Derrière, on n’a pas de 10, 12, 13, à Valence , j’ai vu un 10, un 12, un 13, des puncheurs, avec des appuis, cherchant les intervalles, qui nous ont fait souvent reculer.
Ce n’est pas avec des Wakaya, Goneva …..Bell, que l’on sème le doute dans une défense.
Naituvi m’a plu à l’arrière, et comme je m’en doutais, il a eu quelques fulgurences dans la défense adverse, mais…..il est bien seul.
Smaïli, Desaubies nous manquent, ils nous auraient bien aidé en fin de saison….Oui on a vu leurs attaquants en 2 ème mi-temps lorsqu’ils ont pu initier les mouvement devant. Notre ligne de 3/4 vaut largement la leur, et sur un match à l’équilibre nous aurions fait des différences, du 11 au 15 je n’en prend pas un de chez eux pour remplacer les nôtres.
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L’enjeu allait-il tuer le jeu ? On aurait pu le penser, pourtant après une courte période d’observation les montois enchaînent et après une série de pick and go Gonzalez récompense la formation locale boostée par les gauchos de la Pampa, Cédaro et Muzzio retrouvé n’étant pas en reste. La possession est landaise d’autant que le délai de mêlée drômois quitte ses partenaires pour 10 minutes. Le mouvement initié par les montois balai le terrain et le ballon échoue dans les mains de BRÉTHOUS qui marque en coin. La conquête est propre les initiatives sont jaunes et noires seul ombre au tableau l’incurie sur les renvois, les 4 premiers sont perdus et les ballons perdus au sol. Alors que l’on semble se diriger vers la mi-temps sur le score de 17 à 6 c’est Valence qui est à l’initiative et conclue un mouvement d’envergure. 20 à 11 à la mi-temps et une certaine maîtrise, une sensation de sécurité.
Ils vont se libérer en 2èmz période, c’est sur, et ils se sont libérés… les Romanais, oui on parle toujours de Valence mais Romans dans tout ça hein ? Romans on en fait quoi ? Ils mettent du volume et les landais reculent les impacts s’inversent, la cabane est en train de tomber sur le chien, la possession est presque exclusivement visiteuse et la rentrée du banc va accentuer la différence, ce qui devait arriver, arrive, alors qu’il font le siège de la ligne, ils inscrivent un essai en moyenne position, les dernières minutes promettent d’être longues et ce ne sont pas les quelques fulgurances de la communauté fidjienne qui sont de nature à nous rassurer, l’emprise est résolument dromoise. Désormais devant (20 à 23) ils conservent et nous bousculent, c’est une pénalité qui permettra au Stade Montois de revenir à égalité. Malgré quelques sueurs froides, le score n’évoluera plus. 23 à 23.
A la vue de ce 2ème acte c’est 2 points de gagnés mais c’est aussi 2 points de perdus sur notre tableau de marche. L’enchaînement des matches commence à peser sur les organismes et à l’image du guerrier BRÉTHOUS, cette équipe commence à manquer de carburant à la 50ème. La fin de saison sera difficile et les facultés mentales ainsi que la solidarité du groupe seront nécessaires pour aborder les prochaines échéances.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je pense qu’il y a peu de forum de supporter aussi négatif que le notre tellement négatif qu’il en oublié d’être objectif. Muzzio cristallise encore les critiques alors qu’il est pour beaucoup avec ses compatriotes Cédaro et Gonzalez dans le bon début de match des notres, ils nous ont mis dans l’avancée durant toute la 1ère période. Pas sanctionné en mêlée le plier argentin a même dominé son vis à vis à plusieurs reprises. Rien a dire d’ailleurs sur la conquête directe que ce soit en touche ou en mêlée. Le gros point noir de cette première période c’est les renvois et le combat au sol ou on ne récupère pas un ballon.
On est pris en seconde pris dans l’intensité, pris dans l’agressivité, la où on avançait en début de match, on recule maintenant, le jaune de Muzzio n’est que la conséquence d’un baisse de régime collective (il sauve peut-être un essai) et je trouve un peu gros de s’acharner sur lui pour cette faute.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je vois bien que certains regrettent. Ils regrettent un recrutement inopportun, regrettent la présence de YLA à Vannes et bien d’autres choses encore. Oscars Wilde a dit « mieux vaut avoir des remords que des regrets ». Mieux vaut oser et se tromper que de regretter de ne pas avoir fait. Lorsqu’on a fait, c’est du passé et il ne pourra rien pour nous ce soir, ce qui est important c’est le présent, l’avant match pour un groupe qui doit sentir une présence, une chaleur et surtout pas des critiques, des doutes. La quinzaine d’heures qui nous séparent du verdict doivent être remplies de messages d’encouragement, il sera toujours temps d’exprimer ses désaccords ensuite, lorsque l’objectif de la saison sera rempli, lorsqu’il sera acquis. Si nous critiquons, nous discutons autant sur ce forum, c’est simplement parce que nous sommes fiers d’avoir une équipe à ce niveau de compétition et nous ne voudrions pas avoir les mêmes débats en National. Nous ne pouvons que soutenir, avec toute la force de conviction possible, l’équipe qui va mener un de ses combats les plus importants. Certains des acteurs de ce soir nous lisent, se serait bien qu’ils devinent l’union sacrée derrière vos post du jour.
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La compo
Composition du Stade Montois vs Valence1 – Sanlébra
2 – La bomba
3 – Colossus
4 – Afleurdepo
5 – Papa
6 – Zerevenant
7 – Lamachine
8 – Poustouadla
9 – Assuranstourix
10 – Dixbis
11 – Mempapeur
12 – Le Belge
13 – Grosdébra
14 – Kejmimêt
15 – AttrapémouaC’est équilibré comme XV De départ !
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Gâtés
Insouciants, depuis de nombreuses saisons, nous, supporters du Stade Montois Rugby n’avions que très peu de questions à nous poser sur la saison qui commençait, jouera-t-on les barrages ? Ce serait un échec ! la demi à l’extérieur ? A domicile ? La finale et l’accession ? Ça semblait naturel, normal dans la préfecture des Landes, on en oubliait presque que nous étions les fauchés du rugby professionnel et ça ne semblait pas préoccuper les joueurs non plus qui enchaînaient, saison après saison, les performances avec une régularité, un talent et une détermination rarement démentis. Depuis quelques saisons la deuxième division professionnelle attire des convoitises, les gros se sont renforcés, les promus ont les dents longues et bien souvent le portefeuille bien fourni, Mont2 fait de la résistance, alliant l’excellence d’une formation qui confirme sa qualité a un recrutement aussi judicieux que possible. La logique financière prégnante et implacable semble tous les ans un peu plus poser sa patte sur notre compétition à mesure que le rugby s’engonce dans des habits trop voyants et des excès, des aberrations qui voient certains de ses dirigeants capables d’envisager que le rugby basque puisse s’exporter à Lille.
Demain le Stade Montois joue sa survie à ce niveau, pour l’idée que beaucoup d’entre nous nous faisons de ce sport, pour qu’il reste un sport a part, parce qu’il n’est pas qu’un sport, il est nécessaire que le notre club continue de fréquenter ce niveau compétition et qu’il y véhicule ses valeurs. Pour ça, ce soir, parce que le club a plus que jamais besoin des ses supporters, parce qu’il a besoin de sentir la présence des supporters d’une ville, d’un département qui ne peut plus transmettre son énergie depuis les travées du Stade André et Guy Boniface, il faut faire l’union sacrée derrière le squad qui va livrer demain soir son combat le plus important depuis quelques dizaines d’années. Oublions les questionnements, les doutes, les interrogations pour ne transmettre que nos énergies positives. Puissent-elles porter les jaunes et noirs vers un succès salvateur qui serait cependant dans l’ordre des choses. ALLEZ LE STADE MONTOIS.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
On tremble, c’est normal le match est important ! Vital ? Sûrement ! Cependant nous jouons Valence Romans, dernier au classement de la division pour qui la rencontre a un enjeu tout aussi primordial. Si la raison l’emporte, on peut toutefois se dire que la logique doit être respectée, que cette équipe n’est pas meilleure que la nôtre et que si l’on met les choses dans l’ordre, nous avons les moyens d’assurer le résultat. Les craintes se focalisent sur la conquête mais si l’on remémore le match aller, ce n’est pas sur la possession que nous gagnons le match, la supériorité numérique dont nous avons bénéficié n’a pas fondamentalement changé la donne en terme de conquête directe ou indirecte. Ce sont les options prises dans le jeu et la volonté délibérée de jouer les espaces sur les ballons de turn over qui ont destabilisé les damiers. A l’heure de jouer le match retour et la composition de l’équipe semble l’attester avec NAITUVI à l’arrière mais aussi WAVRIN, grand joueur de ballons, en troisième ligne, nous devrions assister à un scénario identique avec la même issue on l’espère.
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oui Pastabal mais comment faire? ya cas et il faut!
S’il suffisait d’aller plus vite, on aurait recruté des sprinters, s’il suffisait de mettre la tête là où eux ne mettent pas les mains, il fallait recruter des… »manchots », je plaisante mais si c’était si facile Valence ne serait pas dernier. Gagner c’est beaucoup de paramètres une histoire de planètes qui s’alignent et mettre la tête n’exclue pas de s’en servir pour réfléchir, le rugby à changé, à une époque lorsqu’on mettait « la tronche » c’était efficace parce que tu te faisais la place et tu dégonflais l’adversaire. C’était pareil en mêlée fermées avec la fameuse rentrée « au casque » ou encore la « torsion de pilier » et ses variantes selon que le gaillard venait des bords de la « bidassoa » avec la célèbre école basque ou encore de la filière iséroise, varoise, occitane ou gasconne, des délicieuses techniques transmises de génération en génération de piliers et de talonneurs et dont le but avoué était de mettre le moral de l’adversaire à son niveau le plus bas et de modifier la structure initiale du visage des son vis à vis aidé en celà par un seconde ligne qui en plus de ses qualités de pousseur entretenait celles, quasi indispensables au poste, de générosité et d’altruisme et qui se traduisait le plus souvent par le décochage d’une droite ou d’une gauche visant à peaufiner le travail de chirurgie esthétique commencé par ses camarades en première ligne. Autant de techniques malheureusement décriées de nos jours et même santionnées par des arbitres tatillons quand certains amoureux des traditions veulent en perpétuer les gestes. MUZZIO, produit de grande école argentine, ou même BULTEL pourtant si jeune mais soucieux et respectueux de ses prédécesseurs et conscient qu’il ne faut pas laisser mourrir ce patrimoine immatériel, en font régulièrement les frais du fait d’arbitres dont la culture et le respect des aînés sont des notions ésotériques et qui ne sont plus aujourd’hui un élément de décors mais exercent une vraie influence sur le jeu (sont pas peu fiers les types). Pour en revenir aux regroupements et aux rucks, ils sont aujourd’hui épiés, disséqués et ce sont les phases de jeu qui génèrent le plus grands nombre de pénalités. La tendance est plutôt de se redistribuer sur la largeur et de ne plus se consommer sur ces phases et avant de mettre la tête il faut en évaluer les conséquences, difficile d’être un furieux, un « tabanard » ou un « tabanas(se) », toujours selon les régions, sans se faire remarquer par la « verdure » qui patrouille sur le terrain, sur la touche et dans l’en but et même maintenant derrière une caméra en attendant les drônes. Ici comme ailleurs, la technologie s’érige en fossoyeur de l’enthousiasme, du Joyeux, du limite coquin et de la sympathique filouterie franchouillarde.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Pour gagner c’est simple: il faut aller plus vite que son adversaire, mettre la tête ou eux ne mettent pas les mains,etre courageux.Pas besoin de faire 2M et peser 120 Kg. Si on ne sait pas faire alors direction le National.
Pour gagner il suffit lors de la première mi-temps de marquer plus de points que l’adversaire et lors de la seconde, marquer assez de points pour que ceux inscrits par notre adversaire ne leur permettent pas d’en avoir plus que nous à la fin de la rencontre. L’inverse est aussi possible. D’une manière générale marquer plus de points que l’adversaire est le plus sur moyen de gagner.
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