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Il n’y a aucune raison de ne pas espérer une montée en puissance, CEDARO et HEZARD en mars le talonneur argentin dès la semaine prochaine, un jeu qui se met en place quoi qu’en disent certains mais qui ne s’exprime pas encore dans la totalité d’un match. Un retour progressif de la confiance qui va mettre de l’huile dans les rouages. Apparaîtra alors le jeu contraint jusqu’ici par la.pression du résultat, les blessés, les malades, les matches reportés. Je trouve votre pessimisme négatif, inutile, les attaques sur les joueurs déplacées et vos conclusions sur le niveau de l’équipe, prématurées et pas en rapport avec les progrès enregistrés sur la dernière série de matches. Nous ne jouerons pas les places qualificatives cette année, et alors ? Pensiez-vous un instant que le Stade avec les moyens qui sont les siens peut espérer le haut du tableau tous les ans ? Si c’est le cas je ne suis pas le plus utopiste d’entre nous. Je constate seulement qu’il y a ce soir plus de raisons de se réjouir que de verser dans une critique même pas constructive.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je vous trouve grincheux, je vous trouve injustes, pas très cohérents par rapports à vos posts d’avant match lesquels mettaient en exergue bien justement la puissance du pack auvergnat et un scénario semblable à celui du match contre l’USAP.
Qu’a-t-on vu en première période ? Un conquête propre en touche comme en mêlée, un grosse présence dans les rucks, une grosse présence défensive et un domination territoriale confortable. Sans les coups de pieds manqués, on peut avoir 20 points d’avance aux citrons. C’est ce score étriqué qui laisse les bougnats dans le match et qui donne cette 2ème période pénible et stressante mais il faut avoir conscience que de jouer chaque match avec l’épée de Damoclès au dessus de la tête n’est pas la situation idéale pour produire du jeu.
Je ne suis pas d’accord non plus pour ces attaques ciblées sur certains joueurs qui ne le mérite pas et qui sont partie intégrante d’un groupe qui se bonifiew et qui ne demande qu’un peu de patience à des supporters trop bien habitués ces dernières saisons. On voit bien sur le début du match que l’on est capable de mettre de la vitesse au jeu et ce même si les conditions ne s’y prêtent pas.
Quelques ponts en plus au classement et vous verrez que le jeu du Stade Montois gagnera en précision en justesse et en efficacité.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Ça gratte, ça hougne, ça pousse et ça saute. Ça retourne, ça tripote la beuchigue, ça marque aussi. Ça déplace, ça occupe, ça libère et ça enchaine. Ça « re-marque ». Déjà 2 essais magnifiques, les montois sont dedans et retrouvent des sensations. 12 à 6 avant le retour aux écuries.
C’est reparti, cette 2ème mi-temps nous promet du jeu, de la folie et peut-être un BO ? Qui sait !
Le bougnat ne semble pas disposé à laisser « le pinhé» caresser la gonfle, tripoter la jouvencelle, le bougnat y croit, 6 points c’est pas insurmontable. La partie se résume maintenant à du combat et une belle empoignade en mêlée et dans les rucks où les locaux sont moins dominateurs. Le score n’évolue pas mais les cantalous nous imposent une grosse séquence sur notre ligne, la défense montoise confirme et ne lâche rien. Thomas Salle ramène les siens à 3 points. Les montois remettent la patte sur le match sous l’impulsion de Baker, royal derrière une mêlée un peu plus chahutée. 12 à 9 toujours, le score en restera là. Un victoire que ne conteste pas Boisset à la 80ème se contentant du BD.
Gros déficit de nos buteurs du soir, une fois n’est pas coutume, sans quoi le Stade aurait sûrement distancé son adversaire du soir. Quelques fébrilités bien compréhensibles nous empêchent encore de concrétiser nos temps forts, mais il faut retenir cette première mi-temps satisfaisante sur l’ensemble des secteurs du jeu.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je revois le match et nous sommes à la 32ème, pas grand chose à dire sur la prestation des jaunes et noirs si ce n’est que nous n’avons pas gratté un ballon au sol et eux sont déjà à 4. Ils ne se coupent pas de leurs soutiens, du jeu à l’irlandaise. Les perpignanais font le plein au pied mais ils sont mis en échec et reculent face à la défense locale… Et puis ERU !
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Pas de talonneur pour recevoir Aurillac…quid des lancers en touche?
Je crois que l’argentin est arrivé.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Personne ne relève un point d’importance, mais sur les rucks nous avons été totalement absents, donc pas beaucoup de ballons à se mettre sous la dent. Alors, je pense que vu les compétences de leur maître artilleur, les consignes étaient certainement de faire un minimum de fautes, raison pour laquelle nous étions très timorés dans cette phase de jeu. Par contre, j’ai trouvé ces Perpignanais “assez libres…” dans ces rucks. Vous voyez ce que je veux dire … En suivant, j’ai regardé Bayonne/ Pau et j’ai été stupéfait ( le mot n’est pas trop fort ) par la clarté dans le jeu, pas fouillis fouillac comme dans notre rencontre … étrange, non? N’y aurait-il pas eu un peu de laxisme de la part du corps arbitral? Je me pose simplement cette question …!
Si si, j’en parle un peu plus haut ! C’est le point noir avec le jeu au pied d’occupation.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Je lis plus haut que l’objectif est la 14ème place. Je pense que si l’on raisonne ainsi, on sera sous tension jusqu’à la fin de la saison. L’objectif est de prendre des points à chaque match et de viser le plus haut possible et ce, pour plusieurs raisons évidentes :
1) si on joue la 14ème on se catégorise comme une équipe qui a le niveau bas de Pro D2 / Nationale. Pas très valorisant ni motivant. En plus ce n’est pas le reflet du potentiel de l’équipe.
2) on fait des calculs en fonction de cet objectif et il suffit d’un loupé pour ne pas l’atteindre
3) On se met une pression inutile.
Je pense que le Staff et le groupe raisonnent autrement et ont encore des ambitions, non pas de figurer dans les 6 mais plutôt de redonner au Stade Montois la réalité d’une image écornée par une conjonction d’éléments défavorables. Les premières minutes du match contre l’USAP sont celles qu’il faut retenir. Elles témoignent du jeu que les entraîneurs veulent mettre en place mais aussi de la capacité du groupe à le réaliser.
Si on ne voit pas tout en noir, on se rend compte que notre conquête directe a fait des progrès importants, il fallait qu’elle se règle et je pense que c’est fait. Notre défense, hormis sur l’essai de ERU a plutôt été efficace, et si ce n’était le placage relâché sur Jaminet parce que montois qui l’a asséné savait qu’il était trop haut, hormis ces 2 faits de jeu, j’ai trouvé notre défense en place. Il faut donc chercher ailleurs les raisons de la baisse de régime. La première est que nous n’avons pratiquement plus eu le ballon à partir de la 30ème et quand nous l’avions nous l’avons souvent perdu au sol. Il va donc falloir améliorer le soutien au porteur du ballon et ne plus s’exposer à cette plaie du rugby moderne que sont « les gratteurs » rien que le mot ne fait pas honneur à notre sport. On récompense ceux qui tuent les actions.
Nous avons joué dans notre camp, c’est un constat et la raison est simple, notre jeu au pied est déficitaire, manque de longueur et pas assez de pression à la retombée. Bell a du se faire sonner les cloches tant son jeu au pied qui hésitait entre chandelles trop longues et jeu au pied de déplacement trop court ne nous a pas permis d’occuper efficacement.
Pour le reste, il est évident que dans ces conditions, l’équipe qui a le ballon et joue dans le camp de l’adversaire a l’avantage.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Hormis sur l’essai d’Eru nous n’avons pas loupé de plaquages en première mi-temps, je nous ai même trouvé agressifs et virulents. Les 3 plaquages manqués sur le géant assombrissent le tableau.
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On ne subit pas 70 minutes mais 50. Si on vire en tête à la mi-temps il n’ y a pas à crier au scandale.
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Le coup de pied est parfait, le dernier défenseur est lobé et Naituvi surgit pour récupérer le cuir, on joue la 4ème minute et le Stade Montois prend le score 7 à 0. Les Jaunes et Noirs font l’essentiel du jeu, féroces en défense, présents dans les zones d’affrontement, il perturbent les visiteurs en touche et prennent l’ascendant en mêlée. La copie serait presque parfaite si ce n’était les ballons égarés dans un jeu trop large large, un jeu dau pied d’occupation déficitaire ou encore ces ballons perdus au sol, Jaminet en profite et ramène les siens à 1 point. 7 à 6 à la 34ème et l’USAP revient dans le match. 2 minute plus tard Eru récupère un ballon en reculant et se défait de 3 défenseurs locaux pour un essai stratosphérique. 7 à 13, se sera la marque au citrons. Inquiétant ces dix dernières minutes.
L’USAP revient en patron, les Landais sont réduits à la portion congrue et doivent se contenter d’endiguer les vagues catalanes. Leur densité pèse sur les épaules locales qui résistent cependant, le score n’évolue pas mais le Stade souffre sur le jeu au sol et Perpignan récupère un nombre incalculable de ballons, Jaminet aggrave le score 7 à 16 à la 67ème. Le bleus accentuent la pression et sur un placage relâché au milieu du terrain Jaminet s’échappe et marque en moyenne position, le score passe à 7 à 23 à la 74ème. Le match est plié. Ils franchiront encore une fois de plus la ligne à 2 minutes de la fin. 7 à 30 score final.
Ça fait mal ! la maîtrise catalane en 2ème période situe assez bien ce qui sépare le Stade Montois d’une équipe qui joue l’accession.
La réception d’Aurillac sera encore un match sous tension.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
On ne va pas morfler devant, on est sur la pente ascendante et je pense, mobilisé comme jamais. Les joueurs pensent à ce match, ils ne vont pas se trouer.
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Après 20 minutes de cabossage en règle, des arcades, des pommettes qui pissent, des côtes qui couinent et des tarins qui gonflent. Ils n’auront plus envie de se baisser pour ramasser la beuchigue et s’il y en a encore qui s’y risque, on les catapulte, on leur marche sur les arpions et les paluches, y a rien dans le règlement qui interdit le désossage des arpions, la dislocation des partoches. Va jouer au ballon toi si tu peux même plus te curer le renifloir avec tes salsifis. 20 minutes de jeu à la main, de jeu de vilain, 20 minutes pleines du romantisme suranné des bourre-pifs, du jeu traditionnel quoi, profondément enraciné dans le patrimoine local et qui échappe à la technique proprement dite pour se situer aux confins de la psychologie et pose les questions fondamentales: Ou suis-je ? Que fais-je ? Pourquoi ai-je si mal ? Est-ce que j’aime assez rugby pour ça ? Pourquoi suis-je parti si loin de chez moi ? 20 minutes qui te ramènent à la raison.
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Perpignan marché fort, plus dans les résultats que sur le contenu. Je n’ai pas vu le match de Provence mais ce que l’on peut en retirer c’est qu’ils ont pris pas mal de points même si au final ils l’emportent.
Leur défense n’est donc pas imperméable et la nôtre s’affirme. Donc si nous sommes bon en conquête, si nous sommes présents au sol et en défense, on doit pouvoir les transpercer. Au niveau du talent de nos attaquants nous n’avons pas à rougir.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Bon, face à Angouleme, c’est passé…(avec un peu de chance)
Du mieux a tous les niveaux, malgré quelques scories coupables.
Pour affronter Perpignan et Nevers, il faudra encore rehausser notre niveau.
Pour n pas être pénalisé, on ne dispute presque plus les ballons au sol. Il faudra trouver un juste milieu.
Les victoires de Valence et Rouen nous compliquent la remontée au classement, mais je reste optimiste pour la suite.Cette victoire ne doit pas grand chose à la chance. Elle aurait dû être plus large tellement la domination stadiste a été prégnante. Cette équipe est parée pour rivaliser avec la plupart des autres pensionnaires de Pro D2. Elle le prouve maintenant que les circonstances laissent la possibilité au groupe de se bonifier en enchaînant les matches.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
