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Il y en a un peu ras le bol du « nettoyage » d’un rugby qui devient, malgré des règles de plus en plus difficiles à appliquer, de plus en plus dangereux. Il n’y a qu’à voir le nombre de blessés.
Cet acharnement du législateur fait que il n’ y a plus un match sans 1 voire 2 cartons jaunes et le rouge quelques fois si rare fleurit maintenant très fréquemment sur nos pelouses. J’ai eu beau chercher sur internet mais je n’ai rien trouvé qui justifie l’expulsion de MUZZIO, la zone du placage est bonne même si l’on applique les règles des divisions inférieures, le timing est bon, et je ne comprends pas que l’arbitre après avoir vu la vidéo puisse juger qu’il n’utilise pas ses bras, même si c’est vrai qu’il ne les referme pas tout à fait. Nous avions à faire à un tatillon qui sanctionne Laterrade pour n’avoir fait que poser les main sur le ballon sans intention de l’arracher, à la fin de l’action, l’accusé a le ballon dans les mains. Il sanctionné Aveï et Laval d’un jaune pour quelques caresses dénuées de toute agressivité entre 2 nounours. La plupart de nos arbitres hachent les matches parce qu’ils n’arbitrent pas dans l’esprit.

Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

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Le plaquage se fait l’épaule en avant. Ce qui est reproché à Muzzio est de ne pas avoir mis les bras. Au ralentit, ce n’est pas flagrant. C’est vrai qu’il n’enserre le joueur que d’un bras. Quant à se jeter au niveau des chevilles, je pense qu’il n’y a rien dans le règlement qui l’interdit, la tendance est de privilégier celui en dessous de la ceinture. Je pense que la prochaine étape sera de le rendre obligatoire entre la ceinture et les genoux en attendant mieux. Le plaquage est réalisé dans le timing.

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Le papillon fait sa mue.
Frisson, on joue le 28ème Naituvi défend en reculant pour récupérer un dégagement de Ugalde, ballon anodin, la pression est sur l’ailier montois, le génie offensif de Laousse Aspiazu et le timing magnifique de l’ilien en décident autrement, tranchant comme une lame en acier de Tolède le landais exécute le premier défenseur pour servir intérieur Bell qui sonne les têtes charentaises. Le planchot affiche alors 17 à 10 en faveur des « guest » God Save Bell !!!. Les prémices d’un redressement ? Certainement, propres en conquête directe un touche impeccable et une mêlée qui pose sa grosse patte complète un tableau satisfaisant. 17 à 10 ce sera le score à la mi-temps.

Mais il s’en est passé des choses jusqu’à cette 28ème minute d’un match plaisant placé sous le signe du jeu. Les montois sont les premiers à imprimer du rythme, les libérations sont propres et on assiste à des séquences empreintes d’une fluidité oubliée. 6ème minute les montois monopolisent le ballon, sur le fermé Laousse déjà, lancé comme une balle fait la différence et sert Lestrémeau qui ne servira pas Naituvi surveillé sur son aile, pour orienter sa course intérieur et s’écrouler dans l’en but. C’est beau c’est propre et bien exécuté, la classe 7 à 0 pour le Stade. Ça sent bon le rugby, ça tripote et ça marque. Les prémices d’un redressement ? Facile, trop facile sûrement, 2 minutes plus tard, Lafitte servi dans le désert du Kalahari se balade, il ne sera pas repris. 7 partout et je râle mais c’est qu’un début. 10 à 7 puis 10 à 10 avant cette fulgurance de la 28ème.
Dès le début de la seconde période les locaux appuient sur l’accélérateur mais la défense visiteuse est imperméable, comme en plus la mêlée continue son œuvre et la touche confisque quelques ballons, on sent bien qu’il y a quelque chose à faire. Les stadistes créent les déséquilibres mais n’en profitent pas malgré une réelle emprise sur match. C’est sur un ballon cafouillé par l’arrière garde Angoumoisine que les landais plient le match Naituvi récupère le ballon poussé au pied et offre une transformation facile à YLA, on joue la 63ème et le score est de 27 à 13, ça sent très bon mais c’est le moment que choisissent les blancs pour faire preuve de fébrilité, Raivono en profitera et ramènera les siens à porté d’un essai transformé. Loustalot calme ses troupes, plus rien ne sera marqué et le Stade s’impose logiquement.
Les progrès entrevus en conquête sur les dernières rencontres se confirment mais ce match met en lumière le potentiel offensif des abeilles. La confiance revient et avec elle se dessine le jeu montois. Espérons qu’avant le printemps le papillon aura fait sa mue.

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J’aime bien ce « bricolage » SMAÏLI a laissé entrevoir des qualités d’appuis à même de créer des espaces avec WAKAYA dans un autre registre, ils constituent un milieu de terrain équilibré. Aux ailes rien de surprenant LESTREMEAU et NAITUVI s’imposent en l’absence de JACQUELAIN. LAOUSSE est indéboulonnable à l’arrière.
La charnière est expérimentale et peut poser des questions quid de BELL que l’on ne connait pas à l’ouverture et de COLY qui n’exprime pas encore son potentiel dans l’animation. C’est un match à l’extérieur et ils doivent se lâcher, si ça fonctionne, on a le talent derrière pour exploiter, bonifier et concrétiser.
Solide en tronche à condition que MUZZIO s’y remette et ne soit pas trop visé par le référée, les secondes latte sont… rassurants et la troisième ligne conjugue puissance, agressivité et mobilité avec 2 pénibles BRETHOUS et LISENA (si jeune et déjà pénible). C’est une équipe faite pour gagner ce match à 8 points devant un concurrent direct au maintien. J’ai un pressentiment plutôt favorable, ce début d’année 2021 ne serait-il pas celui de la revanche des favoris déçus ? Grenoble a bien commencé, et pourquoi pas Mont2 ?

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L’année qui s’enfuit
Nous laisse dans la peine,
La crainte et le soucis,
De ceux que l’on aime

Je vous souhaite à tous
Qui lisez ce poème,
Une année belle et douce
Sans peurs ni problèmes

Que le destin pourvoie
Aux biens les plus précieux
Santé, Amour et joie,
Que vous soyez heureux.

Belle année 2021.

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Cadeau de Noël,
J’ai commandé à Petit Papa Montois tout ce qui me manque pour avoir un joli Noël. Comme c’est dit plus haut, on a déjà eu les boules, mais il nous manque encore des guirlandes d’essais, des étoiles sur le terrain qui brillent de milles feux, ce sera des cadeaux pour les supporters. Par contre surtout pas de cadeau à nos adversaires. Quand il repartent de Boni il faut qu’ils aient le moral dans les chaussettes et les valises pleines de points et de points …de suture, qu’on se le dise, le montois est généreux, il sait recevoir et ne lésine pas sur la quantité.

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J’aimaîs bien Baby, c’est affectueux, onctueux… Comme un fromage !

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Si vous parlez de manque d’engagement, vous pensez à la 2ème période, parce que en première, on vire à 10 à 6 et les locaux n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent ! Nous gagnons les duels et seules quelques erreurs nous empêchent d’être plus dangereux.

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Clara, Àbousim (si si ça existe… Ailleurs), Mira, Baby,

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Le chemin qui mène à la sérénité est long et semé d’embûches. Aux espoirs les plus fous succèdent les déceptions et c’est dans la capacité de retirer de chacun d’eux les enseignements que l’on accède à la confiance. Nous n’étions pas les meilleurs lorsque nous avons enchaîné la passe de trois sans défaites, lorsque, au milieu de ce parcours, nous avons arraché un match nul à Biarritz. Nous avions seulement redécouvert le potentiel du Stade Montois qui en vaut bien d’autres. Il ne demande qu’à s’exprimer pleinement. Les conditions atmosphériques et une légitime appréhension née de doutes et d’un début de saison tronquée en ont décidé autrement. Au soir de cette défaite bonifiée en terres Cathares, il n’y a pas lieu de tirer la sonnette d’alarme, en premier lieu parce que nous ne sommes pas relégables mais surtout parce que le contenu n’est pas de nature à nous faire douter des progrès entrevus. Comme souvent quand une équipe se reconstruit, il lui est difficile de maximiser l’ensemble des secteurs du jeu. La conquête, si performante lors des rencontres précédentes a semblé marquer le pas, quelques ballons volés en touche et une mêlée sous pression, ne nous ont pas permis de poser correctement notre patte sur le match. Pourtant dès que le coup d’envoi on sent les intentions essentiellement montoises, une grosse présence physique et des duels gagnés, du rythme, semblent avoir fait basculer le Stade vers un jeu plus ambitieux que lors des épisodes précédents, les montois sont dans le match. Malheureusement quelques maladresses et ballons rendus viennent contrarier les velléités landaises. Cette première période pose les bases d’un match solide de nos couleurs même si l’on entrevoit les premières difficultés en conquête directe. Cependant ce n’est pas une surprise lorsque SMAILI en poursuite sur un ballon lâché par la formation locale pointe en premier dans l’en but. On joue la 24 ème et le Stade passe devant 10 à 3 puis 10 à 6 à la pause.
Une première période bien menée où l’on peut seulement regretter un manque de précision et de conviction dans nos initiatives. On sent bien l’équipe sortir de sa convalescence mais encore un peu fébrile.
« Carca » sonne la révolte mais c’est pourtant les montois qui entâment mieux cette deuxième période et distancent un peu plus leurs adversaires du soir au planchot 13 à 6 et des blancs généreux dans le combat à l’image du jeune LISÉNA au four et au moulin. 56ème, LAVAL pris par la patrouille en vert quitte ses copains pour 10 minutes, il n’en faudra pas plus aux locaux pour revenir dans le match à la faveur d’un essai en coin après une grosse pression sur notre ligne. C’est la 60ème, revenus à 16 à 9 grâce à la botte de SEGUY, le score passe à 16 à 14 toujours favorable à nos couleurs. Le match a basculé et la domination de joueurs de la cité est désormais plus prégnante, 72ème SEGUY claque le drop, ce sera le score final.
Regrets ? Oui certainement, les 4 pts étaient accessibles hier soir, mais aussi des satisfactions, LISÉNA et LESTREMEAU, magnifiques hier soir, une jeunesse prometteuse, mais surtout une équipe qui confirme qu’elle peut voyager quelle que soit sa configuration. 2021 devra confirmer ce redressement et il nous faudra l’emporter lors des 2 réceptions (OYO et VALENCE) l’horizon devrait alors être un peu plus dégagé.

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11-sm40 wrote:

Wakaya au centre c’est pas pour envoyer du jeu (tout comme goneva), ça sent surtout du combat devant et du défi physique derrière.

DESAUBIES / WAKAYA c’est intéressant, le premier créé les intervalles,le second vient dedans, je pense au contraire que c’est une option offensive et que le but est de prendre le milieu du terrain.

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Je pense que l’équipe part à Carca regonflée et avec quelques certitudes dans le combat, en défense et en conquête. Même si un match ne ressemble que très rarement à un autre, il doivent pouvoir se recentrer sur ces pré-requis. Ça doit donner l’occasion aux trois quarts de s’exprimer sans risquer l’irrémédiable. Je voterai donc pour un scénario différent des matches précédents avec des montois qui confirment leur ascendant devant dans la première partie du match et des 3/4 qui se lâchent enfin un peu. J’aime bien DESAUBIES/WAKAYA au milieu et je suis curieux de voir BELL à l’arrière.

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Pris par mes obligations professionnelles et un peu juste sur le timing, je décidai de ne pas le rendre au Stade et de m’affaler dans mon canapé pour suivre la rencontre qui opposait les Abeilles landaises aux cigales provençales. Je constatai rapidement que beaucoup de monde avait fait comme moi, pas un pelé dans les étagères dis donc.
Le temps de trouver la chaîne, les visiteurs avaient pris les devant et menaient 3 à 0 suite à une pénalité de l’inévitable Massip, l’homme qui de dos avec les yeux bandés passe les pénalités avec la régularité d’une montre suisse. Sur le terrain ça s’envoie, c’est rude dans l’affrontement, sévère en mêlée et à ce petit jeu de l’intimidation hormonale les jaunes et noir prennent l’avantage, 3 à 3 puis 6 à 3, je ne vous les fais pas toutes, mais 12 à 9 pour les locaux à la pause, ça ne reflète pas la physionomie d’une partie dominée par les copains de Westbrook, basketteur en NBA, fan inconditionnel du club landais dont il assure la promotion aux States.
Le début de la deuxième période , sur un tempo supérieur, confirme la domination landaise symbolisée par une mêlée locale impériale et des ballons portés qui feraient pâlir ceux, légendaires, de nos voisins béglais de 91. Aix fait alors le pari du jeu et semble trouver son salut dans le mouvement, la défense montoise ne lâche rien. On joue la 62ème et au petit jeu des pénalités Loustalot distance Massip et le score est de 21 à 12. Ça sent bon mais il faudra s’assoir ce soir sur le bonus offensif. A ce moment là du match, j’ai une petite pensée pour ceux qui avaient enterré la mêlée landaise. Les visiteurs sont fébriles mais reviennent à 6 pts, la mêlée montoise est moins performante et Muzzio rentré à la place de Innocente et sanctionné par 2 fois. 21 à 15 plus rien ne sera marqué.
Bon ça manque un peu d’essais tout ça, on sent encore un peu de fébrilité dans le money time mais quel changement dans les attitudes, on est dominants et ça fait du bien. 4 pts qui rassurent un peu avant les fêtes. Il faut aller à Carca pour faire un coup et passer Noël au chaud.

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Le Stade ne doit pas avoir peur de Provence Rugby. Loin de moi l’idée de les sous estimer. Ils ont une belle équipe et leur parcours plaide pour eux mais s’il on veut figurer dans cette division dans laquelle ne se dégage plus un favori indiscutable, on se doit de faire mieux que rivaliser avec cette équipe. Si l’on considère les forces en présence, la forme du moment et si on se met dans la tête de les « éteindre » d’entrée, on doit pouvoir se rendre le match plus facile.

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jl40 wrote:

Attention et à suivre également Charles Malet qui fait vraiment des gros matchs ces temps-ci. Notamment, il avait été énorme contre Biarritz fin novembre. Dommage qu’il n’ait pas eu ce rendement quand il portait nos couleurs !

À son crédit, on ne peut pas dire qu’il ait eu vraiment sa chance.

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