pastabal40

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15 sujets de 1,111 à 1,125 (sur un total de 1,210)
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  • en réponse à : Avant Mont de Marsan – Provence Rugby et les compos d’équipe #157586
    pastabal40
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    Opération commando,

    Les aixois vont venir avec quelques ambitions. Ils savent que nous avons traversé une période difficile durant laquelle l’équipe n’était pas solide sur ses bases, ils savent que pour sortir d’une spirale négative, il faut beaucoup plus de force que pour surfer sur la vague du succès. Ils vont donc parier sur nos doutes supposés. On peut donc imaginer qu’ils vont mettre d’entrée l’accent sur la conquête et l’intensité. Nous ne devons pas y répondre… Nous devons l’imposer, c’est à nous sans leur laisser le temps de rentrer dans le match, de les mettre au parfum, après 20, 30 minutes ils faut qu’ils aient se posent des questions et après 40, la certitude qu’il ne gagneront pas à Boni.
    Je pense que le staff va faire dans le solide, l’épais, sans trop changer l’équipe qui a débuté sur la côte et qui a besoin d’enchaîner les matches.
    C’est vital contre Aix, comprenne qui pourra.
    Ce serait bien s’ils pouvaient regretter d’avoir quitter la douceur provençale, les calissons, le chant des cigales l’odeur de la lavande et leur si belle ville. S’ils pouvaient se dire que finalement c’est beaucoup mieux le foot. Vendredi à Boni c’est opération commando.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Réactions après Biarritz – Mont de Marsan #157513
    pastabal40
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    Je lis que les Biarrots ont fait un pêché d’orgueil, que Lucu et Armitage auraient changé le scénario du match, qu’ils ont une mêlée en carton. Lucu n’est pas un titulaire indiscutable à l’arrière et son remplaçant aujourd’hui ne fût pas le plus mauvais des Biarrot. Que dire de Dyer 2ème choix supposé derrière Armitage, un des avants les plus dynamique de la formation de la côte. Je vois déjà que l’on va me répondre que Armitage est un gratteur et qu’il aurait perturbé un peu plus nos sorties de balles mais s’il est un secteur sur lequel ils nous ont embêté, c’est bien celui là avec quelques contre en touche. Je ne crois vraiment pas qu’ils nous aient pris de haut et il n’est nullement question de péché d’orgueil dans cette rencontre. Je veux bien que l’on parle de surprise, mais personnellement ma seule surprise aurait été que le stade, avec cette équipe, ne finisse pas par trouver ses marques.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Réactions après Biarritz – Mont de Marsan #157465
    pastabal40
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    Ce qui est étonnant, c’est notre mêlée, broyée il y a quelques semaines a été conquérante hier avec les même joueurs, notamment les “remplaçants ” Bultel et Castinel
    Comme quoi………..

    Pas si étonnant que ça, la mêlée est peut-être la phase qui demande le plus de répétition pour travailler et surtout sentir les liaisons. Le Stade avec 3 matches en retard n’a pas eu l’occasion de le faire. La répétition des matches doit nous permettre de retrouver notre niveau. Perso je pense que le staff doit, un temps stabiliser le 8 type, au moins le 5, parce-que, contrairement aux années précédentes les joueurs ont besoin de repères et de cohésion et n’arrivent pas à la trêve rincés. Allez le Stade !

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Réactions après Biarritz – Mont de Marsan #157454
    pastabal40
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    Montée en puissance.

    Ce devait être un test, Biarritz ça joue le haut de tableau, devant ça concasse, ça enchaîne les ballons portés dévastateurs comme on enfile des perles et des perles on nous en promettait ce soir. Mais il sera dit que le Stade reste le Stade, que ce qui faisait notre force ne pouvait s’être volatilisé en l’espace de quelques mois. Ce soir nos joueurs ont encore franchi une étape de plus vers ce qui doit les conduire vers la confiance, cette quête nécessaire et qui est le préalable à toute projet de jeu. Il fallait confirmer la montée en puissance de notre 8 entrevue lors des 2 matches précédents. La conquête directe en net progrès, confirme ce soir tout son potentiel, mais ce sont les ballons portés qui ont surpris des Basques persuadés de leur supériorité dans cet exercice. Après une première mi-temps presque idéalement gérée et un retard somme toute minime (12-6) aux citrons on pouvait raisonnablement penser qu’avec l’aide d’Éole, la 2ème mi-temps pourrait être le théâtre d’une performance majuscule des jaunes et noirs. Les voyants sont au vert, la mêlée, un instant chahutée retrouve des couleurs, la touche est à l’unisson, malgré quelques accidents de parcours. Le jeu au pied de Smaïli et De Nardi (très bon sous les chandelles) renvoie les littoraux chez eux. Physiquement les montois finissent fort et l’entrée du banc est déterminante les Basques sont à la faute et Saubusse, à la suite d’un bel effort de notre mêlée qui met une fois de plus son homologue à la faute, converti sur la sirène les 3 points d’un match nul bien payé pour les locaux. D’aucuns regretteront un manque d’ambition dans le jeu, mais ce n’était ni le lieux, ni le moment de faire des fioritures. Ce soir le Stade ne fait pas un bon au classement, mais il lance un signal à ses futurs adversaires. Avec 3 matches en retard et une confiance qui revient le Stade peut ambitionner un classement plus confortable lors des prochaines échéances.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : BRUIT et CHUCHOTEMENT… #157323
    pastabal40
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    L’arrivée de ce 10 est une bonne chose. Mais ne nous manquerait-il pas un numéro 1 et un numéro 3 ? Sans vouloir offenser ceux qui sont en poste.  😉

    Si nous voulons nous sortir du guêpier dans lequel nous sommes, ça passe par là

    la mêlée va s’améliorer avec la répétition des matches, elle n’a pas été mal face à Montauban et Rouen. Elle passera un test à Biarritz, mais Innocente et Muzzio à gauche et Laval et Castinel à droite ça doit le faire. Il va bien falloir que les 2 géorgiens s’y mettent aussi le temps pour Bultel de se faire oublier des arbitres pour une position de poussée « en travers ». Perso je n’en vois pas beaucoup des gauchers qui à un moment donné ne poussent pas en travers et Bultel est injustement dans le collimateur des hommes en vert.

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    en réponse à : Après Mont de Marsan – Rouen #157236
    pastabal40
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    Si les résultats ne sont pas bons, que le club est en danger, y’a pas 36 solutions, grillon.

    Quelqu’un a cité l’exemple de Carcassonne il y’a quelques années qui a dû se séparer de ses entraîneurs quand ils étaient dernier au classement. Labit est arrivé et a permis au club de se sauver.

    Le président est il capable de prendre ses responsabilités ? On n’en n’est pas là, certes, mais on n’en est pas trop loin.

    Il vaut mieux quoi ? Que le club coule et rejoigne le voisin sous prétexte qu’il faut garder 3 gars issus du club ? Quel est l’intérêt supérieur du club ?

    Quelle est ta solution si le club est dernier et continue de ne pas proposer du jeu ?

    Comment peut-on envisager de se séparer d’un staff qui a du faire face à la situation suivante :
    1) Un budget à la baisse et peu de possibilité de recrutement
    2) Des joueurs importants blessés très rapidement en début de saison et pour certains pour la plus grande partie de celle-ci.
    3) Une saison sous le signe d’un COVID qui a particulièrement touché le Stade Montois. Des joueurs et entraîneurs durement touchés et 3 matches reportés.
    4) Une impossibilité de créer une cohésion nécessaire due à un calendrier particulièrement bouleversé pour notre club et celle de ne pas pouvoir capitaliser sur les bons résultats, notamment à l’extérieur (Colomiers Grenoble). Pendant ce temps, les autres équipent acquièrent le rythme, les automatismes. Le Stade lui doit se contenter des entraînements.
    Je trouve que ça fait beaucoup s’il on ajoute un projet de jeu sûrement différent de celui de leurs devanciers.
    Enfin on se rend compte que lorsqu’ils peuvent enchaîner 2 matches, ils se retrouvent sur l’essentiel, pour le superflu, il faudra être patient.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Après Mont de Marsan – Rouen #157183
    pastabal40
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    c’est sur on a toutes les cartes en main pour gagner à Biarritz
    je le souhaite mais désolé regardez notre niveau de jeu et en plus les absences

    Si on y va avec l’envie de faire bien ce que l’on sait faire et si on confirme les progrès entrevus dans les domaines de la conquête et de la discipline, on doit pouvoir les perturber. Soyaux a fait mieux que résister sur la Côte Basque.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Après Mont de Marsan – Rouen #157123
    pastabal40
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    L’essentiel était ailleurs

    On comprend vite que cette rencontre ne sera pas le théâtre de courses endiablées mais plutôt un affrontement rugueux que les gros appelaient de leur vœux tellement il fait froid ce soir à Boniface. Le froid certes, la pluie et une pelouse engorgée aussi, mais pas seulement, les coaches des 2 équipes avaient, pour des raisons différentes, coché ce match sur tableau de marche vers le maintien et le mot d’ordre était occupation/pression et une grosse présence sur les zones d’affrontement. Notre 8 était attendu et très vite il répondit aux attentes, derrière Cédaro et Montagner dominants nos avants font le boulot et gagnent les duels, la mêlée attendue elle aussi, résiste et notre conquête en touche est propre, Lattérade précis dans ses lancés est également présent au sol. Les Normands font des fautes, YLA enquille et 9 à 3 aux agrumes et des Landais qui contrôlent.
    La 2ème mi-temps… elle est où la 2ème mi-temps…. A Perpignan, je peste, je me lève de mon canapé, je gueule, je rage, Canal, le COVID, Macron, tout y passe. Tant pis, je me rabats sur Bleu Gascogne et la paire PAB/ Yannick AGRECH et je contiens ma déception. A écouter les commentaires glacés des 2 acolytes, je comprends aisément que je n’ai pas loupé une seule occasion d’essai et que les montois sont toujours dans la maîtrise, les coaches coachent, les « finisseurs » finissent et les Normands lâchent. 15 à 3 score final. Pas beau mais rassurant dans l’engagement et dans la discipline. Comme je disais à Popol en début de semaine, il va falloir les éteindre, d’entrée, tant pis pour le rugby, l’essentiel était ailleurs.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Après Montauban – Mont de Marsan #156924
    pastabal40
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    Notre équipe est faite de jeunes qu’on nous prête 1 an ,plus jokers médicaux , plus les fins de contrats et les vieux joueurs .A la fin de la saison tout ce joli monde s’en tape qu’on descende , comment voulez vous motiver ses joueurs ?

    Notre équipe est faite de jeunes qu’on nous prête 1 an ,plus jokers médicaux , plus les fins de contrats et les vieux joueurs .A la fin de la saison tout ce joli monde s’en tape qu’on descende , comment voulez vous motiver ses joueurs ?

    Bonjour, je ne trouve pas que Smaïli et Desaubiés soient les moins impliqués.

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    en réponse à : Après Montauban – Mont de Marsan #156900
    pastabal40
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    Au pied du mur

    Aujourd’hui ce ne sera pas un résumé du match mais plutôt une impression, un ressenti.
    On savait bien que ce serait compliqué mais il fallait l’envie pour aller chercher la confiance et avec, la joie et la réussite. De réussite il n’ y eut pas, de joie non plus. C’est ce qui frappe lorsqu’on voit le Stade Montois évoluer, on sent cette équipe engoncée dans une crainte de faire des fautes dans et contre le jeu. Hier soir j’ai ressenti de la tristesse et de la résignation, des hommes qui , à quelques rares exception près, n’expriment pas leur talent que l’on sait pourtant. C’est ce manque d’entrain qui occasionne le plus souvent un petit retard dans le timing sur une passe, sur une intention, sur un choix, une décision, cette fraction de seconde qui fait souvent la différence entre une maladresse et une occasion, entre le doute et la confiance. Cette équipe doit se débarrasser de ses habits trop étriqués qui la contraigne, elle doit se libérer dans le sillage des ses hommes de base, Cédaro, Baker devant, Laousse derrière.
    Quelquefois, face à des Sapiacais loin d’être des foudres de guerre, nous aurions pris ce match à notre compte mais des successions d’approximations ont permis aux locaux s’inverser la pression chaque fois qu’il semblait que nous pouvions revenir dans le match.
    Cette équipe a besoin de se retrouver sur les bases, la conquête, irrégulière ce soir notamment en mêlée, mais aussi sur sa capacité à dominer son adversaire dans les duels par une agressivité saine à même de restaurer la confiance.
    Contre Rouen l’heure sera au combat, la « méchanceté » celle qui fait douter l’adversaire et qui rassure ses partenaires. Dernier ce soir, le Stade n’a pas d’autres choix que de gagner contre les Normands, gagner de telle façon que chaque joueur se sente fort à l’issue de la rencontre. Avec cette confiance, ce qui ne passait pas passera, la joie reviendra, la réussite aussi.

    Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung

    en réponse à : Après Aurillac – Mont de Marsan #156699
    pastabal40
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    Consanguinité, le mot est jeté, elle serait responsable des maux actuels du Stade Montois pourtant si l’on regarde bien ce qui se fait autour de nous, bien des belles histoires du rugby français ont été écrites par des joueurs devenus entraîneur dans leur club. Novès, Servat, Mola, Sonnes et bien d’autres à Toulouse. Laussucq et Auradou à Paris et maintenant Quesada autre joueur emblèmatique du club, ne citer qu’eux serait ignorer l’expérience de Labit à Castres et plus près de nous celle de URIOS avec, pour beaucoup d’entre eux, les succès que l’on sait. Ce serait ignorer l’incroyable parcours de PROSPER et DALMASO.
    La réussite d’une équipe tient à la qualité de la rencontre entre le ou les managers et les joueurs, lorsqu’elle est sportive, d’autres acteurs si elle est entreprenariale ou autre. Elle tient à une relation qui permette au staff de tirer la quintessence de son groupe sans donner l’impression de le diriger. Elle tient à la connaissance des hommes en tant qu’individu avant que de celle du joueur. Je pense que le meilleur des managers n’est pas forcément le meilleur technicien mais celui qui donnera l’envie à son groupe d’aller au delà du jeu. URIOS c’est ça et c’est la raison pour laquelle il obtient tellement de succès quel que soit le club dans lequel il est, quel que soit le style de jeu de son équipe. Cette capacité à connaître les hommes ne dépend pas de l’origine du coach mais plutôt de son approche du groupe et des individus qui le compose. Je pense qu’un coach ne doit pas juger les performances d’un joueur mais plutôt essayer de comprendre pourquoi il ne donne pas ce qu’il devrait donner. A Mont2 l’exemple de José SUTA peut nous éclairer sur l’incroyable pouvoir de la confiance sur la performance.

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    en réponse à : Après Aurillac – Mont de Marsan #156602
    pastabal40
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    Le Stade Montois n’y arrive pas

    Le challenge est difficile en temps normal , les bougnats sont coriaces mais ce soir l’équation était particulièrement compliquée, 1 inconnue c’est simple, mais là on parle de 3 voire 4 inconnues, ça ne s’appelle plus une équation d’ailleurs mais plutôt une énigme.
    Une inconnue et pas des moindres, c’est l’état de troupes après un début de compétition cauchemardesque, 1 seule victoire en 7 matches mais surtout un calendrier bousculé par le COVID et une osmose, un rythme, absent faute de compétition. Enfin comme si ça ne suffisait pas, un groupe disséminé par une épidémie qui frappe particulièrement les rugbymen montois
    Une autre est une saison placée sous le signe du changement, changement de staff et un volonté de faire évoluer le jeu avec des joueurs issus de la formation locale, talentueux certainement mais qui ont besoin de prendre la dimension de la division.
    Une sérénité qui fuit un groupe absent des phases de conquête. Quand ce n’est pas la touche, c’est la mêlée, la présence sur les soutiens au porteur du ballon ou sur le combat au sol.
    Les voyants sont clairement au rouge et l’apprentissage d’un groupe exceptionnellement jeune se fait dans la douleur.
    C’est dans ce contexte pas vraiment rassurant que les montois abordent la rencontre, 9 à 6 pour les cantalous à la 30ème et des montois qui font apparemment largement jeu égal dans le combat et s’imposent dans les intentions. 33ème j’allume la télé, et oui je bosse ! Les rouges poussent, les montois défendent, et 12 à 6 aux citrons.
    Ont-ils tout donné ou est-ce les locaux qui décident de passer la vitesse supérieure, toujours est-il que dès le début de la seconde période nos protégés semblent dépassés par le rythme et subissent les impacts, la mêlée auvergnate prend nettement le dessus et sur un de leurs ballons portés, jusque là plutôt bien défendus, le pack montois explose, 30 mètres plus loin Nioradze s’écroule derrière la ligne, 7 points qui ajoutés à ceux glanés en mêlée permettent aux locaux de prendre le large. Dans ce naufrage certains font de la résistance, le talent de Naituvi affleure, mais c’est surtout la combativité et l’envie de Désaubiés et Smaïli qu’il faut souligner, ça coûtera un jaune au premier mais le second délivrera un ballon d’essai à Goneva pour un espoir de courte durée. Hewatt à la 69ème ira lui aussi de son essai et Salles se chargera de meubler le score au pied. 32 à 11 score final.
    Il faut que le Stade Montois joue, enchaîne les rencontres. Il faut qu’ils aient la caisse pour que s’exprime les talents de Montagner, intéressant le garçon, de Liséna, encore un jeune avec un gros potentiel, la puissance de Baker, les jambes de Smaïli, de Désaubiés de Naituvi et consort.
    Inquiétude en mêlée ? Oui certainement mais là aussi l’enchainement des matches doit nous permettre de trouver la formule.
    Si on devait se rassurer je mettrais en exergue la contre performance de Perpignan à domicile contre Béziers après avoir eu un match reporté suivie ce WE d’une victoire chez le leader Vannes.

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    en réponse à : Après Grenoble – Mont de Marsan #156134
    pastabal40
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    La fébrilité unanimement remarquée, les ballons perdus aux contacts sont le fait d’un grand inconfort et d’une pression constante du résultat dus à notre peu enviable 15eme place. Le même groupe situé dans la première partie du classement marque les essais suscités. Le même groupe sans cette pression inhabituelle fait moins de fautes. Le maître mot est la confiance, si facile à perdre si ardue à regagner.

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    en réponse à : Après Grenoble – Mont de Marsan #156132
    pastabal40
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    Incertitudes

    Bien des questions devaient se bousculer dans la tête des coaches avant cette rencontre, le revers contre Nevers avait considérablement altéré les ambitions du Stade Montois dans la division. C’est sur, ce match serait un révélateur des qualités morales d’un groupe qui devrait logiquement se situer dans la première partie du tableau.
    L’entâme est clairement à notre avantage et ce n’est pas une surprise lorsqu’ à la 3ème minute Lattérade récupère un ballon sur une touche cafouillée par les montagnards et s’écroule derrière la ligne. 0 à 7 et le match se déroule sur un tempo digne de la Pro D2. Les Landais imposent un jeu rythmé et 5 minutes plus tard, à la suite de plusieurs temps de jeu, Cédaro servi en moyenne position échappe le ballon au moment s’aplatir. Le Stade Montois fait la course en tête, au score comme dans les intentions. Les voyants sont au vert d’autant que la mêlée iséroise est régulièrement sanctionnée et les joueurs semblent perdus, sans solutions face à la grinta landaise.
    Toutes les bonnes choses ont une fin mais on espère toujours qu’elle vienne le plus tard possible, pour le Stade Montois se sera la 34 ème, après avoir péniblement remis le nez à la fenêtre, l’offensive au large parfaitement orchestrée voit Ange Cappuzzo prendre un intervalle déterminant et s’ouvrir la voie royale vers l’en-but visiteur. 7 partout, mal payé pour le Stade. Une première mi-temps frustrante ou quelques imprécisions et des soutiens tardifs au joueur au sol sanctionnent lourdement un Stade Montois bien au delà de la moyenne admissible d’autant que Fourie, le 8 local se distingue uniquement par sa présence au contest. Il en aurait mérité une petite sur le pif.

    2 petites minutes se sont à peine écoulées quand Fuzier le centre local met ses coéquipiers devant pour la première fois. On joue la 42ème et le score est de 14 à 7. Les Locaux semblent être revenus sur le terrain avec d’autres intentions pourtant si peu encouragé par un public étrangement discret ce soir. 10 minutes plus tard c’est au tour de Masilévu bien servi par Escande d’aggraver le score. 21 à 7 à la 52 ème. C’est lourd très lourd et même si Grenoble semble avoir trouvé ses marques, c’est Mont de Marsan qui se procure encore les meilleures occasions gâchées par des fautes de main grossières. Naituvi seul face à la ligne manque l’immanquable et il faut attendre la 65ème pour que Désaubiés bien servi au pied par Smaïli, performant en 10, reviennent à 7 points. 24 à 17 score final
    La série est noire, les sourires sont jaunes, pourtant ce match au Stade des Alpes révèle la capacité du groupe à se hisser au niveau des meilleurs que ce soit au niveau de la conquête directe avec une touche performante et une mêlée qui finit plus fort que son homologue et des intentions malheureusement pas toujours récompensées. Toujours bien trop de fautes et des maladresses inexpliquées.

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    en réponse à : Avant Grenoble – Mont de Marsan et les compos #155875
    pastabal40
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    Perso, j’y vois quelque avantage,

    On ne sera pas ridicule au niveau des affluences. Je pense qu’on fera autant que Bordeaux, Toulouse, Clermont, le Barça et le Réal Madrid et notre public sera aussi chaud et enflammé que celui de ces clubs là.

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