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pastabal40Visiteur
La Rabine
Sympathiques, les irréductibles gaulois et leur entraineur en chef SPITZERIX qui amène tout un peuple derrière lui dans le chaudron surchauffé de La Rabine ou le barde AFONLAMUSIX et ses copains se chargent de l’ambiance. DYTHIRAMBIX, le scribe local, ne tarit pas d’éloges pour les nouveaux portes drapeau du sport breton. La péninsule se découvre une nouvelle passion, le RUBIX.
Le week-end prochain va voir l’épilogue d’une longue série de 30 batailles qui peut propulser, pour la première fois, les hommes de SPITZERIX en barrage. PREPARATEURPHYSIX, chargé d’entretenir la forme de ses gaillards, a même demandé au druide MEDICAMENTGENERIX de préparer la fameuse potion dont il a le secret. Tout à été fait pour recevoir au mieux le valeureux adversaire, le Stade Montois, une horde sauvage venue du Sud, près de BURDIGALA, qui n’en est pas à son coup d’essai et qui postule encore cette année à une place dans le tournoi final. Il faut dire que Stade Montois est un nom qui compte dans le milieu et DYTHIRAMBIX, le scribe, a eu vent des exploits de ces guerriers jusque dans la foŕêt des Canuts ou il couvrait comme a son habitude l’autre évènement de l’année, la grande assemblée des druides sous l’égide du plus célèbre d’entre-eux PRODUIFARMACEUTIX. A cette occasion, il a été évoqué dans l’urgence une préparation inédite aux effets décuplés. A situation exceptionnelle, potion exceptionnelle. MEDICAMENTGENERIX ne dort plus, l’échéance approche.
Depuis quelque jours FILM X chargé d’enregistrer et de décortiquer le jeu des montois est plongé dans ses tablettes et il est prêt à rendre son rapport à SPITZERIX pour déterminer le plan de bataille.De leur côté, les montois ne sont pas en reste, vainqueurs probants des HELVETES de Bourg en Bresse, ils se présentent à La Rabine avec l’intention d’obtenir en Armorique, le droit de disputer, chez eux, le barrage , passage obligé vers la conquête du bouclier et l’accession au super Tournoi de toutes les Gaules, le TOP 14 ou ils retrouveraient les Arvernes, les joueurs de Lutèce, de Burdigala, de Tolosa et bien d’autres. La horde est sur le pied de guerre et AÏFONIX, l’espion Landais revenu d’Armorique avec de précieux renseignements a donné les clés de la rencontre à l’entraineur en chef montois THERMOMIX surnommé ainsi parce que ses recettes ont jusqu’ici bien fonctionné.
Ils ont des arguments les visiteurs et au hasard PARENTIX l’arrière désigné ainisi parce qu’il est derrière, SUPERSONIX et ELECTRIX les ailiers, les centres HERMETIX et TECHNIX, la charnière TACTIX et VISIONPANORAMIX, FAMELIX et SYSTEMMETRIX les 2ème ligne qui culminent à 2 mètres et même si BLOCDEGRANIX notre pilier a vu rouge contre les Helvètes, il va falloir compter avec eux. Les guerriers de Novempopulanie sont en forme et les forces en présence semblent équilibrées. Bref tout est en place pour le grand combat.Une petite pensée pour GÉPÉTÉLEMENIX, un « Romain » natularisé qui a définitivement renoncé et son frère HARDTRIX l’ailier de légende, tous deux formés au club.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurEt voilà…. nos cadettes jouent les demi finale de championnat de France à X le dimanche 5 mai à Libourne !
Convois exceptionnels ???????????????????????????????? pour les encourager et passer une belle après-midi !!
Contacter Gilles Randé (06.89.77.14.86.)Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40Visiteurrejoignez nous le samedi 8 juin????????
journée découverte à la plaine des jeux à Mont de Marsan de 10h à 16h
nées en 2007 jusqu’à 19.. .????????????de minimes en seniors????
n’hésitez plus chaussez vos crampons????????Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurUn début de match comme un rêve, 3 ballons, 3 essais consécutifs à des accélérations de nos draggsters Naituvi, Taulagui, Torfs et Laborde, bourrés de kérosène, Naituvi, l’homme du match, inaugure avec un essai stratosphérique, le félin se débarassera de tous ses adversaires ce soir avec une facilité déconcertante, savant mélange de bestialité et de grâce.
Shingler et Taulagui en rajoute sur 2 rushes dévastateurs façon Caterpillar de Laborde et Torfs, un belge qui aime pas les blagues. 14 minutes 19 à 0, comme un air de déjà vu. Les suisses avaient eu le ballon 80 % du temps et déjà 19 points dans la musette. C’est sur ce soir on aurait droit à un festival. Eh bien non ! Plus rien pendant 25 minutes ou plutôt si, 2 essais des bressans qui confisquent la gonfle et 24 à 17 aux citrons à la faveur d’un essai supplémentaire de Momo Gribache à la sirène. Patrick, Popol et moi, on est pas fier, comment mettre la main sur cette putain de gonfle, ça sent la désillusion…
Au retour des écuries, YLA met le turbo, accélère, redresse, remet à l’intérieur pour son capitaine Juju Tastet pour un break qui semble définitif 31 à 17 après la transformation de YLA. Les montois se fachent, Muzzio se lâche, magnifique enchainement tête poing, l’arbitre surement faché avec le noble art, plutôt le MMA en l’occurrence, n’apprécie pas, ça fait rouge. Muzzio ! Un roman l’argentin, généreux jusqu’au bout des doigts, la preuve, il laisse ses camarades à 14 parce qu’il sait que l’équipe va réagir face à ce coup du sort. Force est de constater qu’il avait raison le Gaucho (non pas un type d’extrême gauche, mais un cow boy argentin) il sont 14, bientôt 13 après l’expulsion de Taulagui pour un ballon soit disant tapé volontairement, et semblent ne jamais avoir été aussi nombreux. Malgré un essai encaissé sur un cocotte bressane, c’est marrant ça, cocotte dans le pays du poulet, les montois sont partout dominent les duels, on retrouve l’équipe de caractère, capable du sublime et 2 essais de plus de Lattérade viendront alourdir l’addition et conforter un BO qui nous fuyait depuis un certain temps. 48 à 22, un état d’esprit retrouvé, des retours bienvenus (Talo, Taulagui), l’avènement de Wamé NAITUVI vraiment supérieur ce soir. Un résultat à la Rabine, victoire ou nul et nous voilà de nouveau à Boni dans 15 jours.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurOh le joli printemps !
« Y a des fois comme ça » ou l’on sent qu’il se passe quelque chose !
Hier soir à Massy, on est passé tout près d’une grosse desillusion. L’entame est idéale, vitesse, envie, inspiration et 3 essais comme une évidence plus quelques occasions laissées en route, nous laissent espérer une performance et un BO que l’on sait possible mais qui nous échappe depuis un moment maintenant. 05 à 19 pour nos couleurs à la pause, un essai massicois étant venu tempérer l’enthousiasme général au comptoir du 10 bis. A peu près dominateurs dans tous les compartiments du jeu, les landais ne laissaient que peu de place à une révolte éventuelle des titis.
Patatras ! L’arbitre décide qu’il y aura une 2ème mi-temps, les montois, surpris, sortent des écuries avec l’enthousiasme d’un adolescent prépubère obliger de se coltiner l’interro de math du lundi matin. Les parigots sont à la fête et trois essais plus tard sont revenus sur nos talons 28 à 19 à la 72ème par la grâce du pied monumental de Shingler, une trouvaille celui-là, on serre les fesses, les essoniens sont libérés et la dinde, sans sauce, a du mal à passer, stressé le type, tout comme Charles, notre édile, qui noie ses craintes dans un verre de rouge et sent danger. 79ème, on pare au plus pressé, faute et carton jaune pour Castinel, et frayeur dans les rangs jaunes et noir quand Ropiha marque le 4ème essai pour Massy. 24 à 28 faut pas se trouer sur la remise en jeu, on ne se trouera pas et l’essentiel est préservé.
C’EST BON SIGNE P…..n ! 2 matches et 2 miracles, on a la barraca les gars, il ne peut plus rien nous arriver, c’est l’avènement du fameux printemps des abeilles, tremblez les Oyo, Brive, Nevers, Bayonne et consort, les montois ont fait l’essentiel ça va être dur de les stopper.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurAh le poteau
63ème, on est pas au mieux, 16 à 23 et Dorian Jones à l’occasion de faire un break définitif, pénalité pour les charentais, joli coup de sandale qui s’élève dans le ciel tourmenté montois et un silence glacé envahit les étagères.
L’entame est pourtant encourageante et rapidement sanctionnée par une pénalité de Shingler, la première de la liste, ah si, si, fallait que je la fasse, celle-là, 3 à 0, 3 à 3 puis 10 à 3 quand Naituvi, lancé comme une balle à l’intérieur de shingler, crucifie la défense angoumoisine. On y croit, il nous faut 5 point pour envisager la dernière ligne droite avec un peu plus de sérénité et ça semble bien parti. C’est sans compter sur l’adversaire qui semble définitivement avoir digéré son poulet purée et met le nez à la fenêtre, l’occupation, la possession et l’envie sont charentaise, 10 à 6 et un pénaltouche plus loin 10 à 11, rien d’inquiétant si ce n’est cette impression que le match nous échappe sous la.houlette d’un Dorian Jones aussi inspiré dans ses tirs au but que dans son jeu au pied de déplacement et d’occupation. Le SA XV pose sa patte sur le match et si le Stade vire en tête aux citrons (16 à 14), il le doit à la précision du coup de pompe de Shingler.
La 2ème période va voir les nôtres de réveiller, c’est sûr, mais quand ? Pas tout de suite apparemment, à la faveur d’une conquête impeccable et d’une envie intacte servie par un jeu au pied efficace de Jones les angoumoisins campent chez nous et un carton jaune (NAITUVI) et 3 pénalités plus tard, les voilà devant 16 à 23, 9 points comme un Everest, tant la domination de Soyaux est évidente.
63ème, le ballon s’élève, il en finit pas de de s’élever, puis de tomber et heurte le poteau, les montois récupèrent et choisissent de relancer, Dorian… Laborde ce coup-ci joue aux quilles dans la défense violette et après 2 relais, Laterrade, s’écroule dans l’en but 23 à 23 comme un miracle à ce moment là du match. Shingler, l’homme du match coté montois, rajoutera 3 points pour un succès inespéré. 26 à 23, Ouf !
Le destin du stade aujourd’hui et son avenir dans les 6 avait l’épaisseur d’un… poteau.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurAh le poteau
63ème, on est pas au mieux, 16 à 23 et Dorian Jones à l’occasion de faire un break définitif, pénalité pour les charentais, joli coup de sandale qui s’élève dans le ciel tourmenté montois et un silence glacé envahit les étagères.
L’entame est pourtant encourageante et rapidement sanctionnée par une pénalité de Shingler, la première de la liste, ah si, si, fallait que je la fasse, celle-là, 3 à 0, 3 à 3 puis 10 à 3 quand Naituvi, lancé comme une balle à l’intérieur de shingler, crucifie la défense angoumoisine. On y croit, il nous faut 5 point pour envisager la dernière ligne droite avec un peu plus de sérénité et ça semble bien parti. C’est sans compter sur l’adversaire qui semble définitivement avoir digéré son poulet purée et met le nez à la fenêtre, l’occupation, la possession et l’envie sont charentaise, 10 à 6 et un pénaltouche plus loin 10 à 11, rien d’inquiétant si ce n’est cette impression que le match nous échappe sous la.houlette d’un Dorian Jones aussi inspiré dans ses tirs au but que dans son jeu au pied de déplacement et d’occupation. Le SA XV pose sa patte sur le match et si le Stade vire en tête aux citrons (16 à 14), il le doit à la précision du coup de pompe de Shingler.
La 2ème période va voir les nôtres de réveiller, c’est sûr, mais quand ? Pas tout de suite apparemment, à la faveur d’une conquête impeccable et d’une envie intacte servie par un jeu au pied efficace de Jones les angoumoisins campent chez nous et un carton jaune (NAITUVI) et 3 pénalités plus tard, les voilà devant 16 à 23, 7 points comme un Everest, tant la domination de Soyaux est évidente.
63ème, le ballon s’élève, il en finit pas de de s’élever, puis de tomber et heurte le poteau, les montois récupèrent et choisissent de relancer, Dorian… Laborde ce coup-ci joue aux quilles dans la défense violette et après 2 relais, Laterrade, s’écroule dans l’en but 23 à 23 comme un miracle à ce moment là du match. Shingler, l’homme du match coté montois, rajoutera 3 points pour un succès inespéré. 26 à 23, Ouf !
Le destin du stade aujourd’hui et son avenir dans les 6 avait l’épaisseur d’un… poteau.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurCANTON sait pas !
CANTON va au foot ! À force de ne pas vouloir passer pour un chauvin, tu vas finir par agacer tous les montois qui t’écoutent. Je n’ai pas vu le mème match que toi et sur cette première mi-temps ou tu as vu des montois presque ridicules, j’ai compté plus de franchissements sur des phases de jeu construites du coté jaune et noir que du coté briviste, les coujous se contentant d’occuper et d’exploiter nos ballons tombés. 2 essais sur turn over et un essai en force. En dehors de ça notre mêlée se comporte bien, notre touche aussi et on voit poindre les solutions offensives capables de déstabilser les corréziens. Les Flying Fidjians n’y sont pas pour rien, entre vitesse dextérité et puissance, ils donnent le tournis à une défense qui colmate mais qui semble dépassée quand ils mettent les cannes. 24 à 6 à la mi-temps d’accord, mais que serait-il advenu sans le carton jaune de Loustalot et surtout sans cette imprécision qui nous a fait perdre tant de mètres durement gagnés.
Ce qu’il y a de bien avec le rugby, c’est qu’après la première, arrive la 2ème mi-temps, celle qui selon toi devait-être un calvaire, le calvaire, il est pour toi, coincé en tant que commentateur par la tournure que prend ce match, tu continues à trouver les montois archi battus alors qu’ils relèvent pourtant la tête et par le trio infernal WAKAMATANAITU, qui d’accélarations en crochets en passant par le pas de l’oie, font passer les frissons désagréables dans l’échine des supporters locaux et d’autres bien plus satisfaisants dans celles du kop.montois. Sur une interception de Shingler dont je ne ferai pas.là.la.liste des bonnes interventions, WAKA tout emoustillé par une météo toute fidjienne va se délecter de l’en but corrézien comme d’un.lagon bleu azur. Canton t’es pris au piège tu voyais 50 voir 60 points, comme ton collégue qui, à la.mi-temps, se fend d’un « Que peut-il vous arriver à présent » à un joueur corrézien bien plus modeste et manifestement moins optimiste. La suite on la.connaît, une grosse erreur de défense sur JURAND que tu a trouvé phénoménal, et te voilà rassuré, ton scénario se précise mais tu ne vois pas qu’à ce moment là du match les noirs et blancs subissent dans le jeu, en mêlée, ils subissent, NAITUVI marque en force, Amédée DOMENECH se tait et ce qui doit arriver survient, encore un.joli numéro de NAITUVI, toujours lui, envoi De NARDI à l’essai, au passage bien plus inspiré qu JURAND dans un contexte moins … confortable.. 29 à 27.
Morale : CANTON sait pas, on ferait mieux de se taire.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurESPOIR
Espoirs, comme ceux que cette victoire entretien dans la course à la qualification, Espoirs encore, comme cette équipe qui en comptait 5 au coup d’envoi de cette rencontre, Laterrade, Durand et Gouzou sur le terrain, Naituvi et Bultel sur le banc. C’est donc avec l’équipe Espoir du Stade Montois renforcée de 18 équipiers premiers et d’un Gallois tout fraîchement débarqué dans les Landes que le Stade Montois accueillait un Aviron Bayonnais qui ne venait pas en victime expiatoire a l’instar de la saison dernière. Oublié les 60 perles, oublié aussi le match nul du début de saison à Jean Dauger. C’est en Leader que les basques se présentaient à Boni.
Le début, l’après début, la suite et même la fin de la première mi-temps allaient posé un chape de plomb sur Boni. Pas de gonfles à se mette sous le bras, seulement de la viande, tournée, retournée mème selon l’arbitre qui envoie NAITUVI rentré à la place de Huyard bléssé, se reposer 10 mn. Les basques monopolisent le ballon à l’Irlandaise mais ne marquent pas. Tedder pour les pottoks 6 pts, et YLA pour les landais 3 pts se chargeant de vérifier le bon fonctionnement du tableau d’affichage électronique … ouai Mooosieur Electronique le tableau d’affichage « Siouplait ». Bref 3 à 6 à la mi-temps et Popol qui se casse voir Maman il avait froid.
Dans les vestiaires, il se passe toujour des trucs. Des trucs qu’on imagine ou qu’on imagine pas d’ailleurs, des trucs que les types qui sont dedans savent et qu’on voudrait savoir, des trucs qui font que des mecs en panne de ballons et qui ont chacun à leur tour brassé plus de barbaque qu’un employé de la BEVIMO pendant une semaine et tout ça en 40 mn, trouvent les ressources nécessaires pour revenir sur le terrain le couteau entre les dents et la bave au lèvre.
Les maîtres bouchers Laborde, Paulino et consort avaient découpé de la bidoche pendant une mi-temps, fallait la cuisiner, le chef étoilé Urruguayen Ormachéa un peu en panne d’inspiration laisse sa place à Loustalot, un petit qui promet dans le métier, tout semble tourner un peu plus rond, la recette, comme celle du trésorier du stade, semble être bonne et c’est ce moment que choisit Tedder pour récupérer un ballon tombé par Paulino pour filer à l’essai 60 mètres plus loin. 3 à 13 on est pas bien mais on baisse pas les bras. L’embellie se confirme, les bleus accusent le coup, sont sanctionnés et reculent en mêlée, 6 à 13, 9 à 13, puis 12 à 13 à la faveur de 3 coup de pied de notre maitre queux YLA. C’est plus le mème match, le leader est malmené, blacboulé, haché menu, sur une séquence à haute intensité sur.la ligne bayonnaise, Timoci nous gratifie d’un plongeon rageur dans l’en but déserté , sanctionnant une action avec plusieurs temps de jeu. 17 à 13. Malgré un forcing dans les ultimes minutes plus rien ne sera marqué. S’il est des matches fondateurs sur lesquels un groupe se renforce, celui là en est 1. Une confirmation, les Espoirs nous font espérer et il faut les féliciter ce soir.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
pastabal40VisiteurBonjour
Malaise, c’est ce qui ressort après ce match (?) Un sentiment de malaise. On se demande en effet comment une équipe qui a autant maitrisé son début de saison après avoir immanquablement performé les éditions précédentes, puisse à ce point oublier son rugby. Les absences de joueurs cadre peuvent en partie expliquer cette déshérence, cette perte d’identité mais il semble que le mal soit plus profond, et qu’il s’enracine dans les méandres d’une communication défaillante. Je crains que la belle harmonie supposée qui présidait lors des saisons précédentes n’ait volé en éclat à la suite de l’annonce prématurée du départ de notre head coach Christophe Laussucq. Rien ne filtre, quelques rumeurs toutefois font état de tension entre les 2 complices de toujours kiki et Bibi. Ne faut-il pas craindre une détérioration de la situation que les résultats actuels ne peut qu’aggraver ? Le Stade Montois Rugby Pro est à la croisée des chemins et c’est le crépuscule d’une génération qui a porté haut les couleurs jaunes et noires et l’on voit poindre une génération de joueurs capables d’apporter leur fraîcheu et leurs qualités techniques et physiques évidentes. Ne faut-il pas d’ores et déjà les conforter et leur accorder la confiance qui fera d’eux les leaders de demains ? Ne faut-il pas profiter de cette fin de saison pour préparer la prochaine qui verra, sous l’influence des David, une équipe se régénérer et, savant mélange d’expérience et d’enthousiasme renaître à la faveur d’un rugby ambitieux auquel le Stade Montois voue une fidélité historique.
Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
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