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tariquetteParticipant
Comme Bersyl, je pense à ce terrain, enfin, au 2ème, celui qui est entre le chemin de l’abattoir et le 1er feu de la route de Villeneuve. Il est plus grand, me semble-t-il, que celui qui est juste derrière le boulevard. Là, je verrais bien 2 pistes : athlé et vélodrome. On -mais vous connaissez on- m’a dit que c’était à la ville… Je n’ai pas vérifié. Avec le stade Guy Boniface et la Plaine, ce serait un superbe complexe sportif. Juste un détail : je suis très fauchée et ne peux donc être un quelconque recours pour du sponsoring ou du partenariat. Désolée…
tariquetteParticipantEncore mieux en chiffres romains !
C’est un résultat bien Landais : XL à O
Ça va leur rappeler les bains romains de Dax !
XL les Landes en grand !tariquetteParticipantRégis Sonnes était ce jour-là au banquet des anciens du Stade Montois, comme tous les ans à pareille époque. N’oubliez pas qu’il est d’ici et qu’il le revendique ! D’ailleurs, en ce moment, il est parti avec ses amis montois du côté de la Feria de Séville. Il faut arrêter d’en vouloir au monde entier. On est dans un système qui n’est pas tendre : le rugby est devenu pro, c’est tout !
tariquetteParticipantUne petite histoire -VRAIE- Elle date d’aujourd’hui ! Je l’aime bien, je la trouve facilement transposable…
A Seville, il y a 2 clubs de foot qui jouent tous les 2 en ligue : le Real Betis et le Sevilla. Ces clubs sont des frères ennemis, un peu les Mont-de-Marsan / Dax andalous.
Hier le Betis a perdu chez le Sevilla. Et pas qu’un peu : 4 à 0… Dans l’ABC (le Sud-Ouest local), on pouvait lire ce petit diamant bien ciselé. Je ne peux que vous le partager.
« El Betis en conclusión, es ese amigo que vas a ver cada domingo, ¿es que se va a ver a un amigo para pedirle algo? No, simplemente se va a verlo sin más, ¿me puedo enfadar porque pierda? No, me puedo entristecer porque pierda pero enfadarme jamás. Porque habrá épocas buenas y malas pero a un amigo no se abandona jamás. »
Si vous voulez, en guise de traduction :
Le Betis est cet ami que tu vas voir chaque dimanche. Vas-tu voir un ami pour lui demander quelque chose ? Non, simplement tu vas le voir, c’est tout. Est-ce que je peux me fâcher parce qu’il perd ? Non, je peux être triste parce qu’il perd, mais me fâcher, jamais. Il y a des périodes bonnes et d’autres mauvaises, mais un ami, on ne l’abandonne jamais.
Olé !tariquetteParticipantInattendu, cet article dans le journal La Croix du 07/01/13 !
La Croix 7/1/13
LA LONGUE ET EPROUVANTE SAISON DE MONT-DE-MARSAN
Le club montois a sérieusement bousculé le Stade toulousain, samedi, lors de la 15e journée de Top 14, mais s’est de nouveau incliné (12-16). Depuis le début de la saison, Mont-de-Marsan, champion de France en 1963 et plus petit budget du championnat, n’a décroché qu’une seule victoire.Les 10 000 spectateurs du stade Guy-Boniface de Mont-de-Marsan (Landes) ont de nouveau cru à la victoire des leurs. Mais une nouvelle fois, les supporteurs montois sont rentrés chez eux sur une défaite, la huitième en huit matchs à domicile depuis le début du championnat de France. Samedi, la logique a été respectée et Toulouse a gagné (16-12). Après quinze journées, le Stade Montois Rugby se situe à la dernière place du classement, avec une seule victoire (17-16) à Colombes (Hauts-de-Seine) contre le Racing-Métro 92.
Pourtant, les joueurs de Mont-de-Marsan, remontés parmi l’élite cette saison, ont prouvé à plusieurs reprises qu’ils avaient le niveau du Top 14. Mais les Montois ont pris la fâcheuse habitude de perdre de justesse. Ils se sont inclinés de peu contre Clermont (6-14), le Stade français (28-30) ou encore Biarritz (18-19). Samedi, contre les Toulousains, champions de France en titre, ils ont encore fait preuve d’une abnégation exemplaire, faisant douter les hommes de Guy Novès jusqu’au terme de la rencontre. Défaits par moins de sept points d’écart, ils se voient, en partie, récompensés en décrochant le bonus défensif. « Fiers » mais « déçus », les Landais n’ont rien à se reprocher face à l’une des meilleures équipes d’Europe.
Mais le bilan comptable est implacable ; le Stade Montois, champion de France en 1963 et héritier des frères André et Guy Boniface, figures du rugby français, se trouve quasiment condamné à redescendre en Pro D2 à l’issue de la saison. Une situation difficile à vivre pour les joueurs landais, touchés dans leur fierté et tristes pour leurs supporteurs, sevrés de victoire à domicile. Le plus petit budget du Top 14, avec un peu plus de 6 millions d’euros, moitié moins que Bordeaux-Bègles, 13e, et très loin du Stade toulousain (près de 35 millions d’euros), ne manque ni de courage ni d’envie, mais a bien des difficultés à rivaliser avec les autres clubs.
Les misères de Mont-de-Marsan illustrent la montée des exigences du Top 14. Les clubs à moyens financiers limités qui ne sont pas adossés à une métropole dynamique et à un bassin de population suffisant pour se développer ont beaucoup de mal à exister au plus haut niveau. Seul, Castres fait encore de la résistance en participant régulièrement à la phase finale. Les « petits » clubs, même prestigieux et portés par une histoire glorieuse, se trouvent freinés dans leur évolution. En Top 14, Agen, huit fois champion de France, qui se classe à la 12e place, se retrouve dans une situation proche de celle de Mont-de-Marsan. Et les divisions inférieures regorgent de clubs qui ont marqué le rugby français mais qui ont du mal à briller aujourd’hui, à l’image de Béziers en Pro D2, onze fois champion de France, ou de Narbonne.
Le Stade Montois devra, quant à lui, sans doute attendre encore pour renouer avec la victoire, car lors de la prochaine journée, il se déplace à Toulon, l’équipe la plus impressionnante du Top 14.BEVILACQUA Arnaud
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